Vieillissement, immortalité, cancer, transhumanisme, télomères, maladies des bifurcations, trou noir et fontaine blanche.

J’ai toujours des confirmations sur mon schéma originel de l ‘ Y inversé; Le dernier numéro spécial du Nouvel Observateur sur l’astrophysique confirme mes intuitions. On y parle des univers mères, des multi-univers, des univers stériles, des trous noirs et trous blancs (le passage serait une fontaine blanche ). On y parle des univers exogènes, des exoplanètes, de l’exobiologie, de notre étoile, voie lactée, de ses planètes circonférentielles, de rayons gravitationnels, de trous noirs fusionnels  ( danse des trous noirs ), de début et fin de notre univers, du résidu de fer, de bombes thermonucléaires, de super amas de galaxies ( Laniakéa), de trou noir « Sagitarrius A », de météorites, de comètes, de naissances et morts des étoiles, de naines blanches, de raccourcis du temps, et de nombreux articles concernant nos origines et notre avenir: mort thermique ?, big crunsh, ? expansion illimitée ? explosion de notre étoile, . Nous disposons, à priori, de temps pour réfléchir à notre avenir lointain. Pour l’instant , l’humanité est préoccupée par son avenir précoce de l’instant : terrorisme, cancers, réchauffement climatique, ordre républicain ou désordre civil, démocratie ou états totalitaires, Dasch et Daech, maladies individuelles et maladies collectives, catastrophes naturelles et culturelles.

En regardant toutes ces informations et regroupant mes pensées, peux-t-on imaginer une mauvaise régulation chiffrée , entre le trou noir, singularité initiale, le passage du cordon, la singularité circulaire et le trou blanc, sortie terminale du trou blanc, entre l’unité primordiale de l’univers mère et la complexité terminale de l’univers fille. Oui, l’univers multiple ou le tout sera toujours immortel, oui l’univers mère sera toujours la médiation regroupant l’entrée et la sortie du cordon, du passage des nombres froids de -273 degrés Celsius , aux nombres chauds de zéro Celsius à 25 degrés, choc thermique indispensable à la naissance de l’eau et aux zones dites « habitables ». Une ou des erreurs de chiffrage, de codage entre les chiffres froids et la fractalité chaude et sa complexité de retour ( il existe bien un cycle de retour, ne désespérons pas! ), n’est pas impossible.

En y regardant bien, P57kda, la royalactine, la fécondation de prolifération, le spermatozoïde, la queue des comètes, les rayons, les éclairs, les chocs thermiques , les arcs électriques qui permettent, reproduction, prolifération, en ordre ou désordre, fécondation des galaxies, de la terre à partir du fond diffus cosmologique (CMB ou « Cosmic Microwave Background « ), cette molécule, cette particule, cette onde ou tout à la fois en qubits, ces substances ou une simple substance, qu’elle soit sa nature informel, virtuel ou matériel, est ou sont de nature extérieure, une simple nourriture qui dispose d’un orifice d’entrée; cette substance régulatrice va naître de l’association-intrication quantique, de la salive, bave, informations digestives des chiffres froids, de bactéries quantiques et d’éléments du monde cosmique en gestation,; nos chiffres butineurs vont créer une prolifération régulée pour créer cet univers fille que nous connaissons; chiffres chauds, fractaux, premiers, entiers, complexes, triangulaires, reproductifs, asexués et stériles. Un désordre dans cette programmation, des plus et ce sont des tumeurs, des moins , des trous, des ulcères, des sarcopénies, du vieillissement, des raccourcis et des raccourcissements (des télomères en particulier) .

J’ai bien regardé les photos du Nouvel Observateur et j’ai été ébahi devant une protéine extraterrestre, ressemblant à une levure , un mycélium, une tumeur sans limite. Une deuxième image est celle d’un multiunivers, une fluctuation aléatoire du vide quantique, rappelant du corail, des fleurs, des ampoules lumineuses, des leds, des excroissances . Il m’a paru évident de comprendre et d’imaginer un cancer quantique. Si notre répartition entre cellules souches et cellules différenciées, entre futures reines et abeilles ouvrières, entre univers mères et univers filles sexués, asexués et stériles, entre reine rat-taupe-nu et enfants de rat-taupe-nus, entre mère bulle de champagne et bulles filles, si cette répartition est essentielle à la continuité de la vie quantique, atomique, moléculaire et cellulaire et humaine, si cette répartition dépend de la nourriture entre le trou noir froid et le trou blanc, du temps de passage, du débit ombilical, des informations, des aliments et des excréments, alors P57kda a de beaux jours devant elle.

Le cancer et les maladies, la naissance et le vieillissement, la croissance et les excroissances, la fin de vie et la fin des éléments souches, la perte de sa queue, bientôt de son péroné, de ses poils, de sa fourrure, la perte d’informations sont-ils incontournables? Les transhumanistes ont du souci à se faire, malgré les progrès scientifiques, les épiciers de la santé, les techno-prophètes.

Il est frappant de constater que les plus doués, les plus intuitifs, de Richard Feyman, de Raymond Kurzweil à d’autres précurseurs travaillant sur la nutrition, les neurosciences, La NBIC, (nano-technologies- bio-technologies, informatique et sciences cognitives), et évidemment les nombreux programmes de la Silicon Valley, le BAM ou « Brain Activity Map », associé au MIT ou Massachusetts Institue of Technology » se sont réunis  pour un transhumanisme qui ont pour ambition d’améliorer la condition humaine et en augmentant artificiellement ses performances physiques et intellectuelles . Grâce à l’Intelligence artificielle, les greffes, les robots, la NBIC, les transhumanistes se sont fixés d’abord une vie en bonne santé aux limites de Haefflick (116 ans) et par des travaux chez les animaux divers, comme les souris de Roy Walford, sur la sous-nutrition,sur certaines bactéries, algues et méduses,  l’hibernation, les voies mTOR, la dédifférenciation cellulaire, comprendre le vieillissement et multiplier l’espérance de vie par 2 voir 3. Ces limites sont-elles de l’ordre de l’éthique, du bon sens, de l’égoïsme, de la simple évolution de la science sans limites.

Si les maladies, dont le cancer sont là pour nous rappeler sans cesse notre fragilité, si Rabelais avait déjà averti, que « Science sans Conscience n’est que ruine de l’Ame », que le tout et le complexe ne sont rien sans le cordon qui les relient, que le corps n’est que la fusée de l’esprit grâce à l’énergie des moteurs de l’âme. L’immortalité du corps n’est qu’une  » vue de l’esprit ». Si le trou noir débouche par une fontaine de bifurcations, si les molécules cancérigènes et les lois de l’asymétrie de divisions des cellules souches, des univers mères, des branches , des artères, des bronches, des capillaires du marbre, si tout se trouve au niveau des bifurcations 3-5, 3′-5′ des chromosomes, alors , « OUI » les solutions pour soigner se trouve là. Déjà les traitements pour le cancer se trouve dans les contrôles du cycle G1, S, G2 et M, les cyclines et kinases, catalases, les régulateurs deP57kda, les oncogènes et gènes suppresseurs de tumeurs, les anti-mTOR, les antitélomérases, les protecteurs des MEC, les antioxydants, les anti-VEGF, tous déjà évoqués.

Alors , tout se rejoint, et nos chiffres, nombres se retrouvent inlassablement, à la frontière du visible et de l’invisible. Puis-je espérer un jour que la finance abandonne ces chiffres comptables et investisse dans les vrais nombres, ceux qui nous ont créé, qui nous maintiennent en vie, en bonne santé, mais aussi qui nous rendent fragiles, malades, qui nous font vieillir et mourir. Le secret réside effectivement dans la connaissance des mathématiques, les équations qui nous relient de la vie à la mort. Bernard Fanton.