Suite l’imaginaire quantique, l’arbre et ses branches et ses racines.
J’ai fait allusion à l’obsession des hommes, de toutes croyances, obédiences, et surtout de sciences de remonter le temps, à nos origines, nos soi-disantes identités et j’ai, en rêve,pensé à l’inversion du raisonnement; En fait, moi qui a peint de nombreux arbres bleus, roses, des vergers multicolores, ce matin je vois un énorme arbre avec ses branches , ses fruits, ses fleurs, ses branches mortes de l’amour (Depardieu ), ses feuilles, ses toutes petites branches et ses capillaires. Faut-il reprendre le chemin inverse pour comprendre l’arbre, de passer de ses fleurs, fruits, feuilles, abandonner aux sorts de la maturité, puis de la pourriture et du recyclage de ses feuilles. Puis arriver au point chaud du tronc, le point supérieur, le plus haut avant sa division en nombreuses ramifications (Le système vasculaire, le système pulmonaire etc..), il faut partir du point froid , le point bas à la limite de la terre, du trou noir ou fin de celui-ci et rejoindre le point chaud par le tronc, ce cordon, cet ombilic de l’arbre, point de concentration des informations quantiques de la terre, puis on remonte à ses racines, ramifications en sens inverse et miroir en double, qui évoquent les cellules miroirs, les intrications etc.. Mon schéma rêvé n’était qu’une représentation d’images , de formes simples, image réelle du vécu de tous les jours; si les hommes tiennent tant aux arbres, à leur énergie, à leur complémentarité (métabolismes inversés, producteur d’02 par la chlorophylle, et nous émetteurs de C02 par l’hémoglobine ; consommateurs de C02 et consommateurs d’02 etc…)Notre sort dépends du sort réservé aux arbres (déforestation) Ils nous donnent de plus notre schéma de nos origines, de notre vie intra-utérine, de notre naissance , de notre croissance, de notre vie et de notre mort; on perd nos feuilles en continue par l’apoptose, certains arbres aussi, les épineus avec leurs aiguilles ; mais la plupart sont caduques et permet les cycles annuels, à la base de leur auto-suffisance, de leur longévité, de leur croissance infinie etc..Les tumeurs existent dans les bifurcations , chez les rosiers par exemple; je pourrais m’étendre sur le sujet, mais mon sujet est de remettre le temps dans le bon sens, de s’inspirer de l’arbre , qui garde ses racines mères toute sa vie sans jamais couper le tronc sauf si l’homme ou les catastrophes naturelles le font. Nous, nous coupons le matériel, mais pas le cordon spirituel, cordon quantique de téléportage invisible ; le reste est simple à imaginer; la sélection, les simples mutations et évolutions ont fait leur travail de sculpture , et notre corps est un résultat remarquable des bifurcations naturelles et culturelles, parfois ils existent des « moches » comme nos légumes et fruits moches qu’on ne jette plus, pour les commercialiser (tout se vends avec un bon marketing), même les moches; les humains ont leurs moches, parfois fabriqués » comme l’homme qui rit » de Victor Hugo et tous ceux , les nains etc..qui ont trouvés leurs places chez les princes et les rois. Hitler a voulu les éliminés pour purifier la race blanche nazie, indo-européenne, nordique, prussienne, teutonne, celtique, etc..L’arbre élimine ses fruits pourris, ses branches mortes, mais pas ses moches. Partant dans ce nouveau sens tout se déroule à merveille: racines d’univers multiples, trous noirs, et vols nuptiaux quantiques, point froid et ses bits puis ses kubits d’informations multiples du 0 et du Tout,UN, binaire de naissance, un et multiple créant le les cycles caduques, les niveaux d’échelles, de conscience, ses chiffres symboliques, et les 12, les 7, les 4 etc..On déroule dans le cordon , qui crée le point chaud ,notre bing bang classique enrichi par l’énergie d’expansion et d’entropie, de désordre Puis on déroule à l’endroit, d’un côté l’expansion, la multitude, la prolifération, la fractalité , les branches vasculaires de la placentogénèse et de la vasculogénèse, les branches et les tuyaux, un copiage de la mère par les racines placentaires en intrications, en télépathie et les formes rondes, étoilées, en plus et en moins de la théorie du chaos de la morphogénèse, les deux s’intriquant par la naissance des 3 feuillets, des migrations successives, de la crête neurale en particulier, de l’invasion des courants vasculaires par les éléments de la circulation etc.. Dans l’autre sens la complexité, la cristallisation, la négentropie, le retour au Un, les chocs thermiques, l’application des ensembles. Les premiers agencements sont mathématiques, les branes, les supercordes , les cordes en 12, puis les formules de Feymann, informel crée lumière, virtuel qui crée la matière dans les deux sens, en fractalité dans un sens et complexité dans l’autre. Ainsi naissent les particules, les quarks, les photons , les électrons, les neutrons et protons dont les nombres ont été déjà cités, puis les atomes, et bientôt le visible, les molécules de la vie, les protéines, les ARN et les virus, les ADN et les noyaux, les cellules procaryotes, les caryotes, (« Les Horaces et les Curiaces », les savanas et les voraces, les doux et les coriaces, les simples d’esprits et les tout esprits, les pauvres et les riches, les sexués et les stériles,) ; les multicellulaires et les unicellulaires , les zéros et les multiples, les acculturés et les cultivés, les intelligents et les simples, les doués et les nuls etc..Où l’on voit que nos lois sont identiques dès l’origine, les multi-univers variés, de races multiples, d’informations multiples et ce premier « »Métissage quantique », cette création à la fois unique et multiple par des processus qui évoquent bien sûr les processus de notre naissance (il est vrai que j’ai vécu de nombreuses naissances, un nombre premier évidemment autour de 30 000 pour un gynécologue ), ces lois que je recherche depuis ma seconde naissance étaient sous mes yeux; j’ai été informé de différentes façons (peinture, écriture, lectures ,peu de musiques et beaucoup de formes et de chiffres) J’en ais fait des écrits, des dessins, des schémas etc.. pour aboutir aujourd’hui au vrai sens de la vie, un grand aller et des retours , puis un trou noir et une mort physique thermique (biomasse oblige) pour un éternel quantique et le champ « du cantique des quantiques » .Bernard Fanton.