Les 7 clefs de la santé et les plantes, molécules naturelles qui agissent à chaque niveau.

Dans l’article précédent, j’ai mis toutes mes connaissances au service d’une prévention certaine et d’une piste possible pour des traitements naturels des maladies. Des clefs connus comme les radicaux libres, la glycation, VEGF ( la néoangiogénèse ), les anomalies  mitochondriales du métabolisme énergétique, puis des pistes évoquées, mais délaissées, les voies mTOR, BCR, voies de la glycolyse, voies détournées du cycle de Krebs , régulation des divisions cellulaires, théorie des pertes d’informations au cours des processus de différenciation, les divisions asymétriques des souches, les protecteurs des MEC, la silice et les GAGs . A chaque étape des processus normaux de la vie , quantique, numérique, minérale, végétale, unicellulaire, puis pluricellulaire, des protections naturelles ont été élaboré par notre terre depuis son origine , notre planète se situant à une distance du soleil exceptionnelle pour permettre la vie, les chocs thermiques, les métaux, l’ordre et le désordre, la fractalité et la complexité, l’eau, les gaz, les solides, les liquides . Ces protections naturelles sont essentiellement dus à la complémentarité de la vie végétale et de la vie animale, du vert et du rouge, de O2 et de CO2, du ying et du yang, des dualités complémentaires, des antagonismes, des conflits et des fraternités. On retrouve depuis des millénaires ces connaissances chez les curieux, les observateurs, les contemplatifs, les inventeurs, les chercheurs, les cueilleurs , les voyeurs, les hommes premiers, les civilisations primitives. Observer les plantes, les racines, les feuilles, les branches, les fleurs, les fruits, les troncs, les souches, goûter, compter le nombre de pétales, de feuilles, de bifurcations, analyser l’équilibre du visible et de l’invisible, respirer, sentir, écouter, toucher, embrasser les troncs, communiquer, intriquer, voir les analogies des formes, des couleurs, voyager, garder, et conserver des données qui ont traverser les siècles. Ainsi les qualités des plantes ont accompagné les découvertes des molécules actives , mais jamais la chimie n’a pu copier les totums, les subtilités, les subsidiarités et les complémentarités des plantes. Par exemple, la chimie ne peut pas expliquer les actions du corossol ou graviola; on suppose une action des acétogénines sur le fonctionnement entre les acétyl-coenzymes A et les ATP, comme l’acide acétique ou le DCA; mais les composants et le fonctionnement de Graviola reste à découvrir. Il en est ainsi de nombreuses plantes des écosystèmes des forêts primaires. On peut malgré tout dès aujourd’hui classer un grand nombre de produits naturels en fonction de leurs activités  sur les principaux mécanismes pathologiques. Il en est ainsi des antioxydants (théorie des radicaux libres mainte fois citée) et rappelons à ce sujet l’importance du thé vert et de l’épicatéchine gallate, anti oxydant puissant naturel, je ne vais pas répéter tous les antioxydants protecteurs des 3 membranes, les glycophénols, les anthiocyanes, les vitamines diverses, les enzymes et coenzymes etc..Les radicaux libres d’origines multiples sont dangereux en excès ; produits par l’air, l’eau, la terre,par les pollutions diverses, les processus métaboliques, l’oxydation naturelle pour les terriens, la respiration; ils sont partiellement contrôlés par les SOD, Catalases, Q10, mais la lutte est située dans l’apport normal d’une nutrition réductrice et comblant des carences en AAI, en AGE, en sucres C5, en vitamines et oligoéléments. Les crèmes Budwig , Octavine , Henderson, les salades composées d’avocats, de fruits secs, de germes, de mâches, de pommes, de comté, d’huile de lin, de noisettes, de courge, de vinaigre de cidre, de mangues etc..répondent à ces besoins naturels en antioxydants, sans parler du Goji, de la grenade , des fruits rouges . Sur les antiangiogéniques et la protection des MEC, la silice, le cartilage de requin et de raie, les GAGS dont l’aspirine et l’héparine et les anti-VEGF (toutes les glycoprotéines naturelles). Pour la glycation, rapellons le rôle de l’acide glycolique des baves, salives, de la consoude, de DCA, de la rhubarbe, du vinaigre, du jeûne, de la réduction des sucres lents et rapides. Pour les anti-mTOr, le rôle du revesratrol sur les sirtuines. Pour les anti-télomérases citons encore le revesratrol, l’astragaloside IV, la Buprève. Pour la régulation des bifurcations entre immortalité et mortalité, la P57kda ou royalactine de la gelée royale et de tous les allèles de cette protéine contenue dans les nutriments variés des germes, oeufs, fruits, légumes. Encore les régulateurs , stimulateurs  ou inhibiteurs de P53, la protéine de l’apoptose, 4 allèles chez nous et 40 chez l’éléphant qui explique sa faible sensibilité au cancer. On peut bien sûr parler de la P27 et P16 , des hormones régulatrices des stérilisations des rat-taupe-nus qui, eux , ne font jamais de cancers. L’altruisme, le lien social et bien sûr l’ocytocine, voisine du cannabis. On peut encore et encore parler de ces plantes aux mystères dévoilés qui nous accompagnent dans notre vie pour peu qu’on s’y intéresse. Je n’ai pas parler de l’eau à forte résistivité. Au cours des différents articles, on perçoit les différents aspects des clefs de la santé, en sachant rattacher celles-ci aux fondamentaux des bases mathématiques de la vie . Bernard Fanton.