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4 décembre, 2015

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Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 12:02

Si j’écrivais à mes structurants, j’attendrai longtemps leurs réponses; C’est déjà fait. Rien!Pourtant ils auraient la compétence pour critiquer, pour enrichir des domaines où je me suis introduit par missions successives et pour voir comme James Gleick, « La Réalité cachée ». Le seul avis est littéraire et j’ai des progrès à faire dans ma façon d’écrire.Plus de paragraphes courts, de ponctuations, de rappels et surtout pas d’etc..J’ai besoin d’un vrai écrivain, pas d’un nègre.Je rêve de réunir, Gleick, les Bogdanov, Mandelbrot, Reeves, Badinter E, Nicole le Douarin, Feymann, De Rosnay, Rufin, Houelbecq, Depardieu, Sansal, et combien d’autres.En fait, ce qui nous reunit, ce sont les obsessions de nos origines.La recherche du temps perdu. Une autre obsession, la parité homme femme ; nous sommes tous nés d’une mère et nous possédons tous un côté féminin; le masculin est une invention des hommes pour combler leur Y. On n’a jamais penser à une égalité femelle mâle; nos anatomies sont différentes, faites pour une complémentarité, parfois une fusion, même si  nos habits tendent à une certaine égalité, on est encore loin d’une ressemblance à l’identique. Notre point commun, c’est l’esprit du tout . Nos sous-ensembles qu’ils soient mâle, femelle, sexué ou asexué, stérile, notre multiplicité commune  se dirigera vers une égalité du tout ; Nos esprits sont de même nature , culture et nos compétences dans ce domaine égales. Le problème , ce sont les tâches, les distributions des rôles. Comme dans les ruches, les fourmilières, chez les rat-taupe-nus; ces fonctions sont différentes, inégales peut-être, mais les rôles sont définis par la différenciation; nous sommes différents, pas que les femmes et les hommes, les fainéants, les bourdons, les sans-grades, les puissants, les guerriers et guerrières, les éclaireurs, ceux qui ouvrent la voie, ceux qui nourrissent, ceux qui plantent, labourent, ceux qui nettoient, ceux qui comptent, ceux qui se reproduisent, parfois les mêmes, ceux qui butinent, ceux qui élèvent, les ouvriers et les ouvrières, les cadres , ceux qui  récoltent, ceux qui amassent, qui mettent en réserve et ceux qui dirigent. Nous sommes égaux dans l’esprit, transmettant les mêmes choses, les mêmes symboles, les mêmes chiffres, les mêmes nombres, les mêmes couleurs,les mêmes sons et les mêmes formes; à part quelques différences anatomiques. Nous avons accès aux mêmes connaissances, si on s’en donne la peine.Les transmissions, les perceptions, les impressions, les synthèses, les concentrés, les mélanges sont différents, métissage oblige. Mais la copie finale ressemble aux autres; Nos obsessions de ne pas  ressembler à l’autre, se différencier, parfois de rejeter l’autre, « l’étranger », de se croire supérieur, de compenser nos insuffisances par la suffisance, de se penser un génie pour soi , de posséder les corps, les âmes et les esprits pour prendre à l’autre son coeur, son souffle et ses pensées. Là s’arrête les égalités; on ne peut posséder l’autre. ce fait établi depuis l’apparition de la conscience d’un tout, la double conscience de Spinoza, reste ignoré du plus grand nombre. Lorsque qu’on assiste à ces débats stériles sur la condition de la femme en 2015 , les uns voulant revenir à la charia, les autres aux origines de la virginité chrétienne, d’autres encore les prostituent, les battent, les exposent, les rendent complices de leurs phantasmes, de leurs perversions, avec leur fric, leur situation dominante. Pourtant la simple égalité de l’humanité, c’est » l’amour  » et pas le droit de cuissage . Les conflits, les rapports de force, les éclats, les disputes, les rapports de couple, les divorces ne sont que les résultats du pouvoir hiérarchique, Il faut ajouter à l’égalité, la liberté, et la fraternité, la » Subsidiarité ».  Ces défauts se retrouvent chez tous les humains. Pour certain, le célibat, la solitude, la peur du lien social, la peur des autres, les rendent sauvage, mais ils ne font de mal à personne. Combien faudra- t’il de temps pour mettre ce temps dans le bon sens; les obsessionnels du temps inverse n’ ont pas fini de perturber l’harmonie du monde et sont à la base des inégalités ressenties. Harmonie du temps créé, du temps de transmission, du temps recyclé , tous nés du temps originel . C’est une vraie valse à mille temps. Bernard Fanton.

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