Lier mes pensées, mes conseils médicaux, mes origines, mon univers avec l’autre.

Comment être pédagogique avec mes écrits et mes textes. La solution, c’est le dessin, mes cercles, mes sabliers, mes pyramides, mes triangles, mes carrés, mes ondes, mes spirales, mes tuyaux, mes bouts, l’intérieur et l’extérieur. Cette représentativité du monde, comment la faire partager et lire dans mes pensées. Il est vrai que mon plaisir est d’exprimer mes pensées, les lier entre elles, les comparer, les analyser, les concentrer et enfin les transmettre. Il est toujours difficile de parler de tous; tous les jours, de nouveaux structurants, de nouvelles personnes qui sont formidables de réflexions, depuis les attentats. Des économistes, des psychanalystes, des écrivains, des juges, des politiques, des gens de bon sens, des experts de C dans L’air, les journaux , du Nouvel Observateur, Le Point, L’express, Challenges, Lire, et de nombreux commentaires d’autres médias, apportent au quotidien, voir toutes les heures, des informations, des concentrés de nouvelles, des compléments à mes pensées qui se lient et expliquent ces mélanges parfois imbuvables, inexploitables, Sauf pour les amoureux des jeux de mots.  Lacan parlait »de « Frérocité » pour des frères en guerre « , en perte de repères et souvent d’absence de pères. J’ai expliqué mon parcours à de nombreuses reprises, mes étapes, mes auteurs, mes 57 structurants, ma naissance non désirée, née d’un rapport forcé, en 1944, Bernard, ours mal léché, nourrit grâce à Alice, ma nourrice; j’ai manqué du lait maternel, de la bave et salive, du mélange des signes, des codes, des secrets, des mélanges base de l’intrication quantique. Privé de P57kda, et d’ocytocine, de lien social, j’ai erré  pendant mon enfance et mon adolescence, trouvant progressivement ces signes, ses codes et ses secrets . Mes luttes et coliques intestinales prouvaient une absence de flore déterminée. Mes excès de cerises et raisins maraudés prenaient des proportions gargantuesques et rabelaisiennes. De façon paradoxale, j’ai voulu être Médecin pour satisfaire les mystères de la vie, de la santé et surtout des femmes. Ma spécialisation en gynécologie-obstétrique n’est pas un hasard. Mes curiosités ont été satisfaites, mais rapidement les échecs  gravissimes de ma spécialité ( hémorragies mortelles maternelles, pathologies foetales, malformations, maladies gravidiques, obésité, diabète, HTA, hypotrophies et retard de croissance intra-utérin) m’ont insatisfait. Mes conseils, mes surveillances, mes gardes, mes interventions, mes accouchements ne réglaient qu’une partie des problèmes; j’essayais de prévoir plutôt que de soigner en retard. Il est vrai que je vivais de l’ignorance de moi et de mes clientes. Alors, avec les radicaux libres, j’étais déjà en avance  , même si le régime crétois allait aussi dans le bon sens. La néoangiogénèse (VEGF), la glycation, les MEC, l’hypoxie, l’inflammation, l’oxydo-réduction, venait s’intégrer dans le tableau que parallèlement, je construisais pour comprendre mes origines. Du ver, à la larve, à la nymphe, au ver, la chrysalide et le papillon, puis la ruche et les abeilles, les arbres, je forgeais un schéma qui ne m’a pas quitté. Trois plans, 3 cercles, 3 grilles de lecture, une âme et une reine au centre, un tout et son multiple, .Tout concordait, même la théorie des cordes, la théorie du chaos  et ses ensembles, même Guillé, Bentov, Gurdeieff, Einstein, Les fractales, la géographie , la sphère, l’histoire, la philosophie et évidemment la biologie et la biochimie sans parler des autres matières (sans jeux de mots). Il a fallu digérer tout çà, pour çà.Pour un handicapé des tripes, à quand (Caen) remontait mes cours d’équitation; il fallait se mettre en selle. j’aurais préférer monter à nu pour compenser l’absence de « peau à peau. Après avoir été étrillé, j’ai repris le chemin de mes études, de mes origines. J’ai ouvert les yeux, sans écouter Dieu ou le tout-puissant. J’étais fait pour les concepts, les recherches, la vérité plutôt que la sagesse. Je compte souvent par sept, parfois à douze, mais 3 et 4 sont intéressants, zero et un aussi; 5, 6, 8, 9, 10 et 11 complètent mes visions, me font découvrir un univers qui se transforme en mon univers, peut-être difficile à pénétrer; mais je fais tout pour y parvenir; il faut laisser du temps au temps.Vous en savez déjà beaucoup  et suivez si possible le fil de mes pensées, ne coupez pas le cordon qui nous relie. Bernard Fanton.