Pourquoi tout se superpose dans une concentration d’idées comme si je sortais d’un camp, d’un « Stalag » et des coups de « slag »

Je concentre , c’est vrai , mais mes passages successifs en paraphrénie, puis acedie, mélancolie et de nouveau, une acédie explosive , expliquent ces comportements à la limite. Je suis « Border Line ». J’aime pas les frontières, les limites, de vitesse en particulier. J’ai fait des progrès en supprimant la conduite. Ce n’est pas une explication à mes conduites, au fait de rentrer dans le rang. La vitesse est une fiction, une addiction, une folie, pour vivre l’ »Extrème », ces sports de l’impossible, ces risques, ses excès, mais çà fait goder, çà excite, çà stimule et les exploits attirent les médias, les sponsors, les experts, les entraîneurs etc .. Il faut des héros, des gladiateurs, des spectacles, comme à Rome, Mais ces excessifs, ces athlètes sont exploités, manipulés, drogués comme les stars, les « Johnny. » et tous les autres. moi, je suis un cinglé des exploits des codes, des secrets, des mystères et surtout des mots, des jeux de mots, des calembours ,après une connaissance des « maux ». J’ai aussi subit mes propres maux et ces douleurs physiques et psychologiques m’ont interrogé. C’est alors que mon impatience est devenu des impatiences, mes rapports de force des douleurs, mes conflits des tumeurs, mes manque de souffle des souffrances et mes indigestions des colites, des misères. Mon cerveau et surtout mon cervelet ont retréci, se sont atrophiés pour un manque d’équilibre  manifestement psychique. L’ataxie, après l’Acédie, la paraphrénie  me guettent; Il faut absolument sortir d’idées concentrées pour une vision plus sereine de la vie. J’ai aimé les concentrés de lait, de tomate, de jus etc ..Je me suis concentré sur les femmes et j’adorais leurs centres. tout se concentrait sur un lieu mythique. Combien de mots ont évoqué cet endroit cosmique; par monts de vénus et vallées profondes et mystérieuses, combien d’hommes se sont perdus et ont pour certains trouver la mort ou rebrousser chemin. Le but, c’est bien le centre.Alors pourquoi se déconcentrer, pour se perdre dans les méandres de la pensée, pour écrire plus, des pages et des pages. La pédagogie m’impose de ne pas trop concentrer mes idées ou mes superpositions d’idées, surtout si je juxtapose des idées réelles, rationnelles à des idées imaginaires, des connaissances historiques, géographiques, humaines, civilisatrices etc .. Et parfois ,je juxtapose des jeux de mots. Ces raccourcis de la pensée s’expriment en concentrations d’idées qui se superposent et qui se juxtaposent, comme si mon impatience, ma liberté, mon innocence  prenait un sens imaginaire, réel, pas toujours transmissible. Je tire des missiles, des fusées, des idées par des vitesses des sons et de la lumière et de ma masse corporelle sort une formule connue: E=Mc2.  Pourquoi ,j’ai évoqué une prison, un stalag, des coups de mon enfance?, parce que le silence qui suit, la solitude permet la concentration et évite les obstacles, les rond-points, les stop, les grilles, les barbelés de la vie. Les interdits peuvent déboucher sur des silences, des détournements de la pensée, parfois des perversions, des frustrations et des comportements agressifs et rarement à des narcissiques dépravés.  L’enseignement, l’éducation veulent des explications transmissibles débarrassées des parasites de pensées superposées. Il faut que je trouve une voie faite de schémas explicatifs, de dessins qui parlent comme j’ai fait avec mon jeune paysagiste qui a parfaitement compris mes explications, mes fils de communication; c’est vrai que j’ai beaucoup parler des arbres. manifestement il se protège, s’enferme dans ses pensées , quand il coupe, taille et harmonise; A la fin , il est sorti de son isolement, de sa prison et a parfaitement communiqué sur des sujets qui lui causait. Bernard Fanton.