Nutrition et grossesse , suite.

Mes expériences, mes observations, mes échecs, mes vérités, mes communications, mes échanges, mes apports des autres dans cette confiance entre moi et les les autres, ce refus du négoce, le secteur 1 est en accord avec le serment d’Hippocrate . Mon évolution nutritionnelle, que j’ai appliqué trop rarement, été un champs extraordinaire  pour vérifier mes coïncidences, mes intuitions, mes eurékas et mes   changements de mes états de conscience. Mes suivis de grossesse ont été influencé par mon évolution personnelle. Les radicaux libres  ont joués sur mes conseils et mes prescriptions, l’immortalité devenait héréditaire. Mais les résultats étaient prometteurs  mais inconstants et il était difficile de tout contrôler. Les résultats en double aveugle était devenus une constante des associations  de médecins classiques et d’un médecin hors preuves. Mais à travers trois expériences associatives , j’ai pu évaluer mon travail et constaté mes résultats sur les pathologies gravidiques , les fausses-couches etc..Les conseils nutritionnels, comme la ceinture de grossesse ont perdu avec les années de laxisme des gynécologues, de leurs valeurs, de leur importance, de leur côté préventif, de leurs intérêts, de leurs obligations; pas de contraintes, pas de perturbations des modes, habitudes alimentaires, culturelles, des envies, des addictions ( le tabac c’est de 10 à 20 % des femmes enceintes) Après l’accouchement et les suites post-natales , il est toujours choquant de voir ces femmes fumer leurs clopes. Un spectacle affligeant est le quotidien de l’obstétricien. Lorsque cette demande simple de supprimer toutes addictions paraît naturelle et que les conseils nutritionnels sont déviés pour des contraintes, il est parfois plus simple de prescrire des antioxydants et des folates etc..La simple application de ces conseils est facile chez des personnes sensibilisées. Il est difficile pour un gynécologue de voir se détruire un corps parfois admirable de sensualité au cours d’une grossesse. Les dégâts corporels d’une prise de poids avec oedèmes et vergetures, avec une adipose globale conduit à des divorces et des sexualités de frustration. Même  si l’amour peut cicatriser ses situations, le désir passe et les passions, pulsions se raréfient jusqu’à la frigidité. On fait mieux l’amour à jeun!!Si la nutrition est si importante chez les femmes enceintes, c’est pour elles et aussi pour l’enfant et son avenir d’obèse ou de futur diabétique. Le respect de son corps est déterminant pour l’accouchement et pour les suites. Une nutrition et des apports en prénatal devient pour un couple une approche mixte pour la réussite d’une conception désirée après des périodes contraceptives .La continuité de cette nutrition pendant les neufs mois de grossesse est évidente. toutes les statistiques montrent qu’une grossesse avec une prise de poids de 7 kilogs sans carences et sans stress se passe bien et des absences de complications à l’accouchement et dans les suites. On a oublié les statistiques effroyables des mortalités foeto-maternelles, des fièvres puerpérales etc…Aujourd’hui on a abaisser les risques , mais trop d’inconnues pour faire du 100%. On a par laxisme laisser les fumeuses, les alcooliques, les obèses, les groseilles sans racisme particulier, etc..se reproduire et on a perdu une certaine hygiène alimentaire, physique et psychologique chez les femmes enceintes; les contraintes de la nutrition, des cours d’accouchement, les ports de ceintures, etc.. ont conduit à des cours de formatages spécialisés en « tabac et grossesses » , « obésité, excès de poids, diabète gestationnel « , cours et consultations pour satisfaire la profession de sages femmes frustrées; quid! des formations en biochimie, marqueurs etc.. Les gynécologues ne sont pas exempts de reproches: ils tombent petit à petit de leurs piedestals  et délèguent leurs pouvoirs à une profession frustrée mais inculte; si les expériences des sages femmes sont incontournables (elles m’ont formé ), leurs insensibilités et leurs  incapacités dans les situations d’urgence « césariennes, hémorragies, etc.. »  ont développé cette spécialité de gynécologue, obstétricien , chirurgien, parfois anesthésiste et pédiatre. Cette dépendance  et pour moi cette interdépendance a été mal vécu par une profession salariée, de libéral rarement. Elles ont su occuper les espaces abandonnés par les gynécologues sur des matières, comme les conseils, la nutrition, les suivis de poids, de TA, de contractions, les monitorings, les médecines naturelles, l’acuponcture, l’ostéopathie,  etc.. Les sages femmes ont repris le pouvoir , mais ont toujours besoin du gynéco pour les gardes, les urgences, les assurances, les coups de fil à 3 heures du matin etc..Qui connait véritablement l’embryogénèse pour donner des conseils quantiques, nutritionnels, préventifs, d’analyses  et d’interprétations objectives ou d’ intuitions par le « Pif ». les connaissances nutritionnelles ne s’arrêtent pas à de simples conseils; il faut une recherche rationnelle, biochimique, moléculaire, etc..Nous reviendrons sur les aspects pratiques des aliments , nutriments et compléments des femmes enceintes.Bernard Fanton.