Relations, santé, croissance, niveaux de conscience, sociabilité et les maladies.
Tous les ingrédients pour comprendre la bonne santé, les maladies sont à notre portée. Je résume mes évolutions successives. Études médicales classiques, étudiant, externe, interne, formé au lit du patient ou du malade. Voir, ausculter, palper, toucher, observer, trouver des causalités pour les maladies sans causes, sentir les masses, les tumeurs, les kystes, les déformations, couper si possible sur des vivants, parfois sur des morts, autopsier, négocier une intervention, un médicament, , un nouveau rendez-vous, exercer un pouvoir sur des patients en devenir, des cobayes, des futurs malades qui s’ignorent et seulement , parfois, s’intéresser au terrain’ à l’histoire, aux conflits, aux véritables causes, aux maladies orphelines non rentables pour les laboratoires, au cas par cas, et essayer de ne pas ranger les patients dans des cases, des séries, des numéros, des essais en double aveugle, etc… On a progressivement déshumanisé la médecine, pour des progrès qui satisfont les égos médicaux, les exploits de la chirurgie, les greffes, etc.. sans songer aux effets secondaires et aux dégâts collatéraux; Si on expliquait les cancers secondaires des souches greffées, il n’y aurait que peu de donneurs, sans parler des habitudes alimentaires et psychologiques des greffons sur les greffés; les médecins se sont éloignés progressivement des sciences fondamentales, des patients, des malades pour un business très lucratif. Le monopole des « patrons » , des universitaires, des double-appartenants, des hiérarchies hospitalières, des études bidons pour des AMM de complaisance, des observations bâclées , manipulées, remplies par les esclaves habituels ( externes, internes)peu récompensés , leurs noms apparaissent parfois sur les revues et documentations, mais les enveloppes vont aux chefs. Dans ces conditions, comment comprendre ces politiques de santé peu préventives, sans des conflits d’intérêts évidents; la maladie rapporte à la TVA, aux assureurs, aux lobbistes, aux laboratoires, aux médecins etc.. Je me suis posé des questions 7 ans après mon installation en gynécologie-obstétrique. La grossesse et la gynécologie sont des spécialités médicales, chirurgicales, endocriniennes, de normalité ( la grossesse n’est pas une maladie, mais peut devenir une maladie ) . Dans cette spécialité, on voisine les problèmes de morphogénèse, d’embryogénèse, de foeto-pathologies, de la croissance intra-utérine et des pathologies néo-natales, des consciences maternelles ou des dénis , des grosses, des gros ventres, des esthétiques corporelles, des prises de poids anormales souvent irréversibles. etc.. et rapidement les relations entre les maladies gravidiques et les causes nutritionnelles, psychologiques, physiques et sociales sont évidentes. J’ai été très vite sensibles au retard de croissance intra-utérin, aux fausses-couches à répétition, au décollements placentaires (DPPNI ) aux toxémies gravidiques , pré-éclampsies et éclampsies, aux risques hémorragiques, au risque de CIVD et des cas de mortalité infantile et maternelle incompressible (embolie amniotique par exemple). Comment prévenir ? C’est à titre personnel que j’ai découvert les radicaux libres et les antioxydants, les folates ,les vaso-dilatateurs puis le rôle de la glycation et caramélisation, des MEC, de la néoangiogénèse, de VEGF et de PIGF, surtout dans les thrombophilies et le rôle de VEGF2; les traitements par l’aspirine et l’héparine , qui ont été prescrit de façon intuitive, se sont révélés scientifiques comme souvent en médecine. Progressivement, facteurs de croissance, protéines de croissance, hormones de croissance, oncogènes, ADN et ARN surtout les ARNmi, compactage sont apparus dans ce paysage préventif. Sauf cette bizarrerie de l’arrêt de la croissance et l’inhibition de ces facteurs qui, dans des circonstances particulières, physiologiques et pathologiques, vont être à l’origine des maladies gravidiques, des tumeurs, de l’obésité, du diabète gravidique ou non, L’aspect social de convivialité, ou de conflits sont à prendre en compte. Tout se tient et vient confirmer mes recherches dans ce sens; mes intuitions récentes sur les relations des origines mathématiques, cosmiques, quantiques etc.. la grossesse , les maladies et la santé sont à la hauteur de l’espérance. Suite, Bernard Fanton.