Nos mitochondries et notre système énergétique au centre de la santé.

Suite à mon dernier article sur les 4 systèmes biochimiques qui nous gouvernent,je voudrais revenir sur notre machinerie énergétique liée , bien sûr, à la nutrition.  Au centre, les fameuses mitochondries, mais aussi les lysosomes, les protéasomes et les corps de Golgi; n’oublions pas que les mitochondries possèdent leur propre ADN. ces anciennes bactéries intégrées au patrimoine des cellules par symbiose et complexités successives se sont transformées en mitochondries eucaryotes; elles sont porteuses de protéines spécifiques , sur leurs membranes internes, les UCP , protéines découplantes. Ce sont dans ces organites que se passent les choses essentielles pour l’équilibre homéostasique des êtres vivants animaux; (les plantes peuvent se servir de la lumière en direct pour fonctionner, mais dépende de l’eau et de la nourriture du sol en oligo-éléments). Sans énergie produite par les mitochondries, sans alimentation spécifique en produits extérieurs non métabolisés (vitamines, acides gras essentiels, oligo-éléments, acides aminés indispensables, sucres et pentoses etc..), sans un me mécanique bien huilée évoluant au cours des siècles et qui permet aujourd’hui d’utiliser ses propres cellules souches au maximum (soit 14 fois 7 ans , sept niveaux de conscience, de renouvellements, de régénérescence, de résilience, soit 98 ans et une finition variable de plus ou moins 22 ans , soit 120 ans, 98 ans cyclique et 22 ans pour perdre ses télomères soit 22 ans en linéaire)pour construire, échafauder, entretenir, déxoxyder, nettoyer, défendre, finir sa croissance, éviter les ennemis chimiques, énergétiques, climatiques, humains, il est important de comprendre tous les évolutions, les apprentissages de ce corps quantique , soumis aux intrications, aux dissipations, aux effets papillons , aux métamorphoses, aux cycles des fameux sept années, pour renouveler la totalité des cellules différenciées mortelles en apoptose régulière .Les chaînes respiratoires des mitochondries jouent  un rôle essentiel. J’ai repris les éléments concernant le cycle de Krebs, les voies accessoires du cycle, la voie du mévalonate conduisant au cholésterol, donc à l’ensemble du monde des stéroides et des stérols, essentiel à la santé. Puis j’ai repris les  voies qui conduisent les aliments au cycle de Krebs ou cycle de l’acide citrique, producteur d’énergie ATP, et acétyl coenzyme A; les voies de la glycolyse, lipolyse et protéolyse, lezs voies inverses de la glycogénèse, lipogénèse et proteigénèse se font soit , à partir du recyclage des produits de la mort cellulaire, soit à partir des éléments apportés par la nutrition dégradés au cours du bol alimentaire et absorbés sous formes petites assimilables: acides aminés, glucose, triglycerides et graisses  , AGE essentiels; les voies digestives et les macrophages réalisent des recyclages de type nutrition pour permettre la combustion et évntuellement l’élimination des déchets. En reprenant les éléments constitutionnels des organites principaux des cellules ( noyau, mitochondries, ribosomes, appareil de Golgi, protéasomes et les autres, on est frappé par les coincidences entre les archéees, procaryotes, eucaryotes, pluricellulaires, végétaux, animaux pour la présence de protéines régulatrices, de facteurs de croissance, de neurotransmetteurs (par exemple de la dopamine pour transformer une butineuse en éclaireuse), de gènes communs du temps Kai, des gènes architectes Duox Hox et bien sûr des centrales énergétiques ( ATP); toute nutrition prédation conduit à la production d’énergie, de CO2 et d’H2O. Sont présentes  les protéines UPC, les protéines P57, les sirtuines, les récepteurs aux sucres, les enzymes régulateurs des télomères, les  neurotransmetteurs nés par acides aminés indispensables (choline, ), les ADN, ARN qui nécessitent de la guanine, de la cytosine, de l’adenine et de la thymine etc..là encore l’Acétyl coenzyme A est central: tout ce qui va perturber cette belle machinerie va déclencher des mécanismes pathologiques de terrain ou de symptomatologie fonctionnelle, puis organique; malgré des réparations et des régénérations possibles, l’organisme va s’épuiser et les pathologies évoluent de façon fatales. Respectons nos centrales à 37° qui produisent une énergie peu chère, propre, rejetée par la respiration (peau, cellules, poumons); CO2, H2O; les plantes sont à part: la photosynthèse fait en direct et produit de l’O2. le cycle de Krebs est une merveille comme le tableau périodique des éléments de Mendeleiv. Bernard Fanton