Expériences pouvant comprendre mieux notre monde passé, présent et futur.

Sciences et Avenir ont toujours des nouveautés; celui de Mars 2013, N° 793, ne déroge pas à des pistes nouvelles. Mathieu  Baudin et Philippe Durance développe les idées de « Prospective », de « Futurs souhaitables »non déterminés par un pouvoir pyramidal, mais par un avenir probabiliste., rejoignant les conclusions de Niels Bohr sur le monde probabiliste et universel du monde quantique, opposé à l’idée d’un monde déterministe d’Albert Einstein. Progrès et conservatisme s’opposent toujours par le hasard ou la nécessité, le déterminisme ou le probabilisme; les conservateurs pyramidaux préfèrent que le monde ne change pas ou qu’il change dans leurs intérêts; les progressistes voudraient un monde de futurs probables non déterminés par le haut , mais plutôt par le bas. » Dieu ne joue pas aux dés », déclarait Einstein, Si Dieu existe , il existait avant les Univers, en particulier le Nôtre, et il était obligatoirement  Mathématicien(nombres premiers, nombre Pi, nombre Phi ou nombre d’Or, nombre d’Euler, nombre 1/137 et 1/80); sans ces chiffres,pas de bing bang, pas d’univers , pas de complexité, pas d’hommes, pas d’émergence philosophique par le bas, donc pas de Dieu; celui-ci ne peut émerger, être, que par une émergence, une alchimie, une transmutation de la matière, donc de la chair en « Amour »divin immatériel et invisible; si Dieu est mathématicien, magicien, il est essentiellement « amour » donc non puissant, non guerrier, non vertical ou pyramidal; cette adoration , cette prosternation des hommes formatés par les religions est absurde et contraire à l’idée même d’un Dieu bon. mathématiques, physique, probabilité et théologie peuvent faire bon ménage Les expériences menées à Genève par Nicolas Gisin sur « L »intrication quantique », , sur la téléportation quantique, ; puis par le prix Nobel  Serge Laroche sur ces mêmes intrications quantiques, puis sur des superpositions d’états quantiques, et d’intrications quantiques, ces expériences permettent de dégager de nouvelles approches du monde microscopique et macroscopique; des idées , farfelues hier, deviennent de vrais concepts; par exemple l’idée d’intrication quantique entre 2 objets, entre 2 particules etc.;, amène à considérer que les 2 objets ( 2 cristaux vert et rouge, de l’ytterbium ou YB pour le vert et du néodyme ou Nd pour le rouge, éléments faisant partie des terres rares) conservent les mêmes caractéristiques, même si les objets se retrouvent à des centaines, des milliards de kilomètres!!une seule condition pour une intrication, que ces particules, objets, etc.. aient interagi à un moment donné de leur existence, en échangeant par exemple un photon ou parce qu’elles ont été émises en même temps; cette étrangeté du monde avait été perçu par Einstein, Erwin Schrödinger avec des conséquences stupéfiantes; si 2 particules se trouvent « intriquées », la connaissance, les mesures effectuées sur l’une permet de déduire aussitôt l’état de la seconde; ceci rappelle l’effet papillon, la théorie du chaos, la causalité formative, les redondances, les dissipations etc..un rat de laboratoire de même souche reçoit sur de longues distances les informations d’expériences de mêmes rats d’Écosse et en Australie sans que les rats soient éduquées; spontanément par effet d’intrication quantique à distance; cet effet s’appelle de la téléportation quantique; pour l’instant les expériences concernent que quelques milliards d’atomes, on espère plusieurs centaines de milliards d’atomes  pour reconstituer à distance une sculpture en plâtre par exemple; sa mémoire quantique suffira!!; L’intrication quantique débouche sur le principe de superpositions quantiques rapellant les principes de symbiose et des systèmes complexes; les photons, particules, onde et particule à la fois, dualité onde -particule, opposition des contraires, complémentarité matière-lumière( lois de Feymann) , état excité ou non excité,vie et mort des particules, alliance de l’immortalité et de la mort;  ces choix de rester en vie, de se reproduire par effet d’intrication, d’être dans le camp des immortels ou le choix de mourir, de se suicider ou d’être suicidé, des reines et des abeilles, des cellules souches et des des cellules différenciées, de la multiplication et de l’apoptose etc..cette  notion de l’impermanence, de l’interdépendance quantique, des déformations de l’espace temps, des temps enroulés, de la vibration des cordes et des supercordes, des lois musicales de l’énneagramme, de la dualité ying yang des forces physiques, du tic tac des montres et de l’horloge du temps, du « toum ta » du coeur, ces choix sont déterminés par le hasard; nous avons 50% de chances d’être vivant ou mort; l’addition des 2 états aboutit à 100%; l’être devient complet lorsque on associe sa partie mortelle inactivée et sa partie immortelle activée; le cycle vertueux ne peut être linéaire ou vertical; dans certaines circonstances le système est bloqué au hasard: mort ou vivant; c’est le principe de la  » décohérence »ou perte du caractère quantique; cette frontière entre un monde quantique excité, conservé, vivant, et un monde réel familier  parfois non excité décohérent représente une frontière entre le vivant, et le mortel, peut-être aussi entre le mouvement et l’immobile. là encore , ces découvertes confirment mon schéma d’une trinité originelle, des lois de bifurcation, des lois d’émergence, de complexité etc..Bernard Fanton.