Trinité originelle, centre, cercle, montre, aiguilles, théorie des hydrogènes, enseignement inconnu (Ouspensky)

j’ai écrit sur la trinité originelle, un cercle, un pôle nord: « L’esprit invisible immatériel », le Tout, le Un, l’Absolu, puis un pôle sud, le corps matériel multiple, un sexe, un soma asexué, un cerveau dont les cellules éclaireuses se perpétuent par neurogénèse active sans se diviser, en étoiles , représentées dans chaque organe par un cerveau indépendant, le SNE ou 2ème cerveau ou système nerveux entérique, lié aux cellules épithéliales intestinales  (cellules butineuses à la recherche des protéines régulatrices  P57, P16, P27, P53, P21 et des protecteurs des MEC, les GAGs ou glycosamines glycates, collagène, acide hyaluronique, glucosamine, héparine , le fameux squelette extra-cellulaire qui protège du cancer; en plus la flore intestinale au service  de l’organisme (pucerons des fourmilières), est régulé par le SNE pour produire du silicium organique rejeté dans les matières fécales  et dont les aliments « BIO » produits par le fumier nous restituent l’essentiel; il faut rappeler que les « rats-taupes-nus » hétérocoprophages mangent les excréments des frères et soeurs pour se charger en silicium organique, stimulés la P16 et la P27 et se protéger des tumeurs ( seul mammifère vivant comme une ruche, une reine unique et 400 individus stériles) . Revenons à notre trinité, il reste le centre, l’équateur, l’ombilic quantique, la roue animée par un axe, qui intègre les 11 dimensions des cordes, 3 visibles, plus le temps géré par les gènes du temps (kai 1, kai 2, kai3) ; ces gènes sont présents chez tous les eucaryotes et les bactéries; les mathématiques (nombres premiers nombre Pi, nombre Phi ou nombre d’Or, Euler, Higgs ou 1/137, et 1/80) sont à l’origine du cordon quantique et la sortie de l’axe conduit par complexités successives ( particulaire, minérale, végétale, animale, humaine, sapiens, sapiens sapiens, complexité culturelle philosophique , à l’ »Amour » quantique invisible, présence subtile immatérielle du tout, de l’Ame énergétique, de la Mère nourricière, de la Reine, de la Lumière, du Sens; mon code « LARMES 44″ représente ce centre plus important que l’esprit; sans « Âme », RIEN, pas de bébé, pas de multiplication, pas de renouveau de l’esprit et de la conscience; le centre est plus important que le pôle nord: « Lumière, Âme, Reine, Mère, Énergie, Sens » ces 5 lettres rappelle les 5 doigts de la main gauche, le pentagramme d’Ouspensky, le message du sphinx (Apprendre, Comprendre, Vouloir, Oser , Se taire), le pouce, l’index, le majeur, l’annulaire (cercle, alliance) et le petit doigt, le glinglin, celui qui se tait, l’enfant, l’infante, le fanton, l’auriculaire, l’oreille, le sourd; le pentagramme nous donne la clef: un centre ou une roue intellectuelle (SNC),  un centre ou une roue émotionnelle(SNE et Système solaire), un centre ou roue physique, un centre ou roue instinctive, et un centre ou roue sexuelle; les 5 rayons etc..; le point, le cercle sont présents partout; c’est ainsi que , regardons ma montre, je restais consterné par cette présence permanente, sur mon poignet gauche , d’un cercle avec des aiguilles , une grande et une petite , une  subjective et une objective pour créer 2 temps permettant le futur présent, la prédiction; rappelons que les 5 doigts de la main droite sont la continuité du message du sphinx , aimer , aimer, aimer, aimer et aimer. j’ai rapprocher la montre simple à quartz à la dualité, les forces duales complémentaires, les antagonismes musculaires, hormonaux , les couleurs etc..le ying yang; ce premier examen de passage permet de gérer le temps simple , le tic tac de l’horloge, le « toum ta » du coeur, l’alternance des creux et des bosses, origine de métamorphoses et résiliences successives de la vie; si cette montre simple permet le passage au pentagramme , 4 étant le double de 2 la médiation par le 4; le pentagramme ou étoile de David  ou sceau de Salomon, est décrit par une montre plus complexe; un mécanisme de 5 roues dentées (roue intellectuelle, émotionnelle, physique, instinctive et sexuelle) chaque roue entraine les autres pour une gestion plus fine du temps; chaque roue en panne ou bloquée par un stress, un mauvais entraînement, est responsable de l’arrêt de l’ensemble; si les 5 roues fonctionnent bien dans l’harmonie, le corps s’allège les hydrogènes lourds de la dualité ventre – thorax, deviennent plus légers; le 6 émerge du 5et si il s’inverse par rotation du cercle (une fois par an) c’est aujourd’hui le 28-02-2013; la somme est 9: le passage à l’Énnéagramme devient possible; la loi d’Octave ou loi musicale des danses se met en route; le sons de fréquence en mégahertz (11000) , chants grégoriens, gospen, musiques sacrées, ; les 9 roues , 7 notes et les demi-tons se relaient pour alléger les hydrogènes qui reviennent à leur origine : une masse et une énergie primaire H2; qui comme un carburant des étoiles, se catabolise mieux pour créer la conscience et l’amour invisible; le passage des 3 étages d’Ouspensky-Georges Gurdeiff, se font dans les 3 sens; le jeûne permet une rapidité pour le passage à l’Énnéagramme; cet état dans le 9 n’est pas constant, ni raisonnable; la voie ascétique ou spirituelle  (les savannahs) conduit à une impasse de catabolisme, à des carences nutritives de P57 en particulier; la voie du juste milieu est préférable pour assumer une vie plus altruiste, plus aimante; bien entendu la voie matérielle alourdit les centres émotionnelles;, physiques, bloque et formate le centre intellectuel, produit un amour  de pulsion, de miroir, un amour terrestre visible et dangereux (le coup de foudre)les hydrogènes sont lourds, la jouissance, les biens matériels sont et deviennent indigestes; les roues du pentagramme et de l’ennéagramme font penser aux « séphiroths » des kabbalistes; je terminerais par Rabelais: « Science sans Conscience n’est que ruine de l’Âme » Bernard Fanton.

Proteines de régulation extérieures, intérieures, voies de l’immortalité, voies de la spécialisation, multiplication et apoptose.

Si on résumait l’ensemble des recherches sur la prévention, prédiction de notre homéostasie, on peut déjà tracer de nouvelles pistes. 1) -de nombreuses molécules d’origine extérieures, nutritionnelles, vibratoires  régulent notre équilibre  depuis le origines; on les retrouvent chez les eucaryotes  et les bactéries; nos fonctions digestives, le goût, l’olfaction, le toucher, la peau, la vision, l’audition, autant de portes d’entrées de molécules , de formes, d’odeurs, d’aliments  pour des molécules mimétiques; la découverte de la « Royalactine  » dans la gelée royale des abeilles agissant sur la protéine P57, régulant la voie d’immortalité des futures reines et la voie des abeilles spécialisées mortelles, nourricières, nettoyeuses, gardiennes, butineuses et éclaireuses pour voir la lumière à 30 jours, puis se spécialiser pour les fleurs ou une fleur ou se transformer en éclaireuses par apport de dopamine et pratiquer la danse des abeilles et indiquer l’endroit de la nourriture; les abeilles stériles mortelles se suicident à 45 jours; c’est l’apoptose des abeilles; probablement les acides aminés indispensables, dont le tryphophane base de la dopamine, la thymine, la guanine, l’uracile, la cytosine, l’adénine, bases des ADN et ARN, la xanthine base des hormones , adrénaline et noradrénaline, la choline pour l’acétycholine, la sérotonine, le GABA, les neurotransmetteurs et enfin tous les ingrédients du cycle de Krebs, avec les oligoéléments, les vitamines, les AGE ou acides gras essentiels, ; nous dépendons de « L’extérieur » pour nos équilibres reine-abeilles spécialisées, cellules souches -cellules différenciées mortelles; une reine vit 8 ans, une abeille 45 jours, une cellule souche (zygote, cellules totipotentes ou pluripotentes) vit 120 ans et un globule blanc 3 heures, une cellule épithéliale intestinale 3 jours, une hématie 45 jours etc..cette équilibre apoptose- immortalité relative  dépend de l’extérieur.2) -de nombreuses molécules naissent de notre propre métabolisme; ainsi la voie du mévalonate qui conduit à la fabrication du cholestérol, est essentielle pour la fabrication des membranes extra cellulaires et cytoplasmiques; de nombreux cycles internes biochimiques (cycle des folates par exemple) contribuent à notre santé; là encore nous dépendons de l’intérieur; 3) – notre première  cellule, les souches,  , les reines ont besoin au départ des 2 systèmes; c’est pourquoi elles pratiquent le cannibalisme des cellules filles, des oeufs; elles sont sûres de trouver les nourritures indispensables avant d’établir une prédation normale des écosystèmes; nos habitudes de consommer des oeufs, des graines, des germes viennent de là. L’autophagie, le cannibalisme sont des éléments de survie outre le cannibalisme culturel  du désir mimétique et des effets pervers des systèmes miroirs.4) -  les régulations des voies de différenciation, des voies de division asymétrique cellulaire, des voies de répression génique, des voies de signalisation, des voies de migration, (la crête neurale) dépendent de ces molécules externes et internes; puis les voies des cycles internes , bases de fabrication de molécules indispensables pour la survie des membranes( collagène, acide hyaluronique, glucosamine, glycosamines glycates, protéines glycates etc ..) sont régulés aussi par l’apport extérieur qui peut se substituer à tout moment à l’organisme; multiplication division cellulaire; suicide cellulaire ou apoptose  , coïncident , s’équilibrent, cohabitent pour un eéquilibre constant à croissance finie; le poids, les mises en réserve d’hibernation (tissu adipeux) font partie de cet équilibre; l’homéostasie  se fait à partir de ces règles incontournables; le SNC, Le SNE (deuxième cerveau entérique), les neurotransmetteurs, les cellules chimériques et les systèmes miroirs règlent cette « machine bien huilée »; AGEs, VEGF, Radicaux libres  viennent perturber la machine ainsi que de nombreuses molécules chimiques de l’industrie (insecticides, médicaments, pesticides etc.-.)les ruches malades des pesticides, OGM, insecticides, engrais, phosphates, nitrates etc.. nous indiquent les efets sur notre santé. Bernard Fanton

À propos du cholesterol et de la voie du mévalonate.

Le livre du Professeur Philippe Even, « La Vérité sur le cholestérol »,  éclaire les erreurs de la connaissance en biochimie de nos médecins et de l’influence du lobbing pharmaceutique sur les prescriptions. plusieurs milliards d’euros dépensés inutilement et des effets secondaires inquiétants des statines. D’abord les Américains depuis plus de 15 ans affirmait que les thromboses (infarctus, AVC, embolies) n’avaient aucun rapport avec le cholestérol; c’est une protéine héréditaire anormalement élevée chez les fumeurs, les obèses, les porteurs de thrombophilies, lors de la prise d’oestrogènes , qui présentent un risque élevé de thromboses; seule, une prévention par arrêt du tabac, ou une prise quotidienne d’acide folique et d’aspirine peut lutter contre l’homocystéinémie. Philippe Even nous apprend que le cholestérol « n’est pas une graisse »; son origine métabolique est complexe; il dépend de la voie de l’acide mévalonique ou voie de « l’HMG-CoA réductase »; cette voie issu du cycle de Krebs produit de nombreux métabolites nécessaires à la vie; cette voie est présente chez tous les eucaryotes supérieurs, chez la plupart des bacréries et une alternative existe chez les plantes.  ce processus est présent pour la synthèse des terpénoides, des stéroides, de la prénylation des protéines, la maintenance des membranes extracellulaires, des membranes cytoplasmiques , l’ancrage des protéines et récepteurs membranaires et encore son rôle est essentiel dans le maintien des membranes plasmiques et son action se poursuit dans la N-glycosylation pour éviter les corps de Maillard si importants pour la gravité du diabète; ces différentes fonctions , qualités et métabolites de la voie du mévalonate montrent l’importance  dans la croissance cellulaire, la division cellulaire, l’inflammation, la cicatrisation et la construction osseuse; la métabolisation du cholesterol se fait par 36 étapes chimiques; c’est un stérol et non une graisse; il est assimilé aux lipides, car il n’est pas soluble dans le sang; cette molécule est « un miracle »; sans clolestérol, pas d’hormones stéroides, pas de vitamine D, pas hémoglobine A, pas e protéines prénylées et farnélysées, pas d’ubiquinine (co-enzyme Q10), pas defacteur nucléaire NF kappaB, pas de protéine Tau, pas de sels biliaires etc..les statines en bloquant la synthèse des voies du mévalonate et du cholestérol, qui se régule tout seul en agissant sur les récepteurs LDLR (sorte de fead-back) et en inhibant à forte dose la HMG-coA réductase, ce qui empêche la poursuite de sa production; les statines font de même.On retrouve avec le cholestérol, le problème de la nutrition; les aliments riches en cholestérol (oeufs, graisses diverse ) n’augmente que peu le cholésterol sanguin; l’excès est transformé en coprostanol et l’absorption n’est que de 20% supplémentaire; les relations entre protection des MEC, des membranes de toutes sortes deviennent évidentes et le cholestérol , avec la silice organique, les protéines P16, P27 et P57 devient un outil anti-AGEs, anti-HIF1, anti-VEGF et anti RL (radicaux libres); quelle leçon de biochimie nous donne le Professer Philippe Even; il n’existe pas de bon ou mauvais cholestérol, pas de HDL, pas de LDL, et pas de LDL oxydé à l’origine des plaques athéromateuses; les fameuses cellules spumeuses, nées de macrophages, de déchets calcifiés, de LDL oxydé; ces approches onr permis l’adaptation des cardiaques au régime crétois et à la prise de vitamine E; les traitements complémentaires en statines pendant des années est contestable; par contre l’aspirine trouve une place en agissant sur les protéines d’ancrage AKT , donc sur les processus de thrombopathies.En tant que gynécologue, les lésions observées sur les placentas, infarctus, oedémes, calcifications se voient chez les fumeuses, les obèses, les retards de croissance intra-utérins et les prééclampsies.Un régime peu sucré modifie le taux de cholestérol en diminuant ou augmentant la voie du mévalonate; mais saccharose et fructose sont différents; les oses sont nécessaires à la voie  de production du choléstérol; on retrouve les conseils habituels: aliments variés, légumes et fruits, huile d’olive, graisses végétales ou beurres, viandes blanches, produits de la mer, yaourts, céréales complètes et compléments nutritionnels:  jus d’orge vert, miel de thym, silice organique, algues, fruits rouges, thé vert, épices etc..Bernard Fanton.

pouvoir de la nutrition sur notre régulation cellulaire, désir mimétique, réseaux miroirs, devenir des cellules souches chimériques.

Cet article est une synthèse de l’article précédent, des émissions du Docteur Ameisen (« Sur les épaules de Darwin »), des livres de René Girard ( « La violence et le Sacré », « Le bouc émissaire »);  1) – comme on l’a décrit , notre nutrition recherche des molécules spécifiques , protéines régulatrices du cycle cellulaire respectant l’orientation sexuée , immortelle, migratrice, cannibale des cellules souches, des reines , des futures reines en fonction des besoins de la ruche, de la fourmilière, de notre corps humain plus complexe; mais les principes sont les mêmes; dépendance d’un schéma intérieur  colloïdal (cercle, centre, rayons,grilles vibratoires réglées par des mathématiques intangibles), associée à des lois d’incomplétudes, extérieur régulant l’ensemble des sous ensembles; . 2) – le trafic des cellules souches au cours des grossesses dans la circulation utéro-placentaire, indiquait une présence de cellules souches pluripotentes de l’enfant chez la mère et l’inverse; les femmes étant plus chimériques que les hommes; une femme peut posséder les cellules souches de sa grand-mère , de sa mère et de ses enfants; le devenir de ces cellules restent mystérieux. On peut évoquer des dédoublements de personnalité, des comportements étrangers comme chez les greffés et peut-être  des comportements de désir mimétiques de meutes, foules, carnavals, fêtes, de partages, de violences ou d’empathies, de perceptions à distances de phénomènes vibratoires ( récepteurs émetteurs); la découverte de réseaux miroirs dans les parties motrices cérébrales réglant des comportements de désirs mimétiques pourraient correspondre à une neurogénèse active parallèle de souches chimériques. Le cannibalisme des oeufs, des petits, des autres, de leur coeur, de leur cerveau etc, les interdits et leurs substituts écrits, romanesques, de tragédies, de contes et légendes, de fables correspondent à ces violences  nécessaires à une lutte entre l’intérieur et l’extérieur; ouvertures, fermetures, cycles, boucles, naissance, mort, renaissance; la vie n’est qu’un passage entre 2 morts ou l’inverse, la mort étant le passage nécessaire entre 2 vies; ce transfert de vie par cellules souche immortelle, oeuf cosmique, reine, mère, âme nous éclaire sur notre vie complexe; cette philosophie de la connaissance est la seule voie possible entre la vie matérielle et la voie spirituelle; « il faut changer le monde », « une autre vie est possible »,  » indignez vous »; les mondes des riches, des pauvres, des femmes, de la grossesse, du conservatisme, du progrès, le monde matériel, virtuel et spirituel; tous ces mondes se côtoient, s’ignorent, s’attirent; les classes, castes, ordres survivent par peurs, par mépris, provocations, haines; le monde d’en bas fait peur et ce vivier de la pauvreté devient la hantise de l’ascenseur social en panne; alors la connaissance de soi, l’interdépendance, le respect de règles simples: nutrition, empathie, éthique de réciprocité, permet la seule vie possible, la voie du juste milieu , où la vie matérielle reste un moyen, la vie spirituelle, une sagesse en devenir et la vie virtuelle de l’âme une dynamique de creux et de bosses , enseignement permanent  sur les désirs, plaisirs contrariés;  » Apprendre, Comprendre, Vouloir, Oser, Se taire et Aimer », le langage du sphinx , énigme de poupées gigognes à découvrir par métamorphoses personnelles souvent douloureuses, régénératrices en second temps. Le soi et le non-soi doivent cohabiter pour un équilibre permanent nécessitant l’autre comme complémentaire de nos désirs communs, si possible orientés vers le partage, le don, l’empathie et la fraternité; les phénomènes de communautarismes, de protections par le groupe, la tribu, les tendances maffieuses sont des dérives de la peur de l’autre, de l’étranger, des identités meurtrières. il n’est pas simple de vivre, de comprendre ce passage, mais les évolutions sociétales basées sur des dogmes, des ordres établis, un conservatisme des nantis bloquent les évolutions personnelles qui apparaissent comme des utopies; les livres pouvant changer le monde ne sont lus que par une minorité.notre moteur de la vie et de la mort, cycle de Krebs, acétyl-coenzyme A, ATP, énergie dépendant de nos molécules nutritionnelles ( cholestérol, mévalonate, folates etc..) doit se demander : »Que vient faire l’Argent » dans le monde biochimique!!Bernard Fanton.

régulation du pouvoir de la nutrition sur les orientations et différenciations cellulaires.

Si on résume le rôle de la Royalactine et de la P57 ink4, produite par les glandes salivaires des abeilles butineuses, elles-mêmes dépendantes des fleurs, nectars, huiles, nourriture variée selon les régions, elles mêmes hyperspécialisées dans une fleur, un nectar, elles-mêmes soumises aux informations des neurotransmetteurs de la dopamine, du glutamate, de l’acétycholine, se changeant en éclaireuses , elles -mêmes participant à la danse nuptiale pour participer à l’orientation de la nourriture (danse pour 500 mètres, danse pour 1000 mètres, ces danses ont été très étudiées, et participent aussi de la forme hexagonale des rayons et alvéoles de la ruche) . Ainsi la gelée royale, le miel ou les miels, le pollen et le propolis sont essentiels au fonctionnement de la ruche; la Reine , une fois en place se contente de se reproduire, souche immortelle de 8 ans;  La présence de nombreuses substances, P57ink4, acétycholine, vitamine B5, proteines, sucres, lipides, oligoéléments fait de la gelée royale un aliment complet, dépendant des prairies, des forêts  etc..La reine  et les futures reines sont régulés par les protéines (P57, P21, P53, P16 et P27), elles mêmes agissant sur le système protéines -kinases-cyclines de la régulation de la division cellulaire; de plus les protéines P57, P16, P27 protègent les MEC, la peau des atteintes des RL, sucres oxydés et de la néoangiogénèse. Le tri, la nécessité pour les abeilles butineuses de trouver à l’extérieur les substances essentielles à leur survie, surtout à l’esprit de la ruche, à l’âme de la ruche, la reine . Si on veut appliquer à l’être humain cette obligation d’une nutrition , d’une alimentation médicale, les aliments , le système de tri digestif, le SNE (système nerveux entérique), les informations entre humains (butineurs, éclaireurs, agriculteurs, planteurs, cueilleurs, etc..)sont d’une importance capitale. Pour les aliments , en théorie complets, le jus d’orge vert , certaines algues, les fruits de Gogi, le miel de l’Atlas (thym), d’autres apports (silice organique, thé vert, curcumine, pipérine, resvératrol etc ..), ces apports semblent logique; pour le tri intestinal, si la digestion est très bien connue (enzymes du début, salive, estomac, duodénum, grêle et gros intestin, annexes foie, pancréas, rate), si les régulateurs des systèmes cholinergiques et adrénergiques sont connus; si le rôle du plexus solaire sur les flores intestinales, sur ces équilibres subtiles  entre cellules épithéliales intestinales et flores sont abordés dernièrement , il reste beaucoup à trouver, chercher, sur ces cellules intestinales remplacées tous les 3 jours; la découverte de la protéine « Ménine » paraît majeure et rentrerait dans cette recherche de molécules régulatrices des orientations entre souches immortelles sédentaires et cellules souches migratrices rentrant dans les lignées terminales aboutissant à l’apoptose, mort cellulaire programmée, suicide ignorée après des transformations en spécialistes compétentes; nos cellules intestinales, butineuses, travailleuses décèdent tous les 3 jours; leur rôle paraît déterminant. La vie et la survie des cellules souches immortelles de 120 ans dépendent de ce travail d’abeille , de fourmi!! des cellules butineuses. Notre alimentation prend un sens; les surplus inutiles (sucres, graisses, sel, )sont évacués par les émonctoires tant que ceux-ci ne sont pas trop remplis; les évacuations pathologiques mineures (mucus, sueurs, selles, urines, vomissements) peuvent désengorger les émonctoires, les pathologies inflammatoires plus graves avec hyperthermie, douleurs, rougeurs et tumeurs deviennent des maladies; parallèlement des processus de « tuyauteries » néo vaisseaux  » vont remplacer la « chair » , les muscles pour créer des pathologies vasculaires. Si ces protéines  de la régulation entre vol nuptial, (sexualité), entre soma (asexualité, bourdons, cellules somatiques orientées vers les lignées cellulaires de l’ectoderme, de l’endoderme et du mésoderme) et stérilisation des cellules butineuses , stérilisées ; se pose le problème de nos neurones qui ne se divisent pas (mais qui se renouvellent); cellules butineuses de l’information sont des éclaireuses, laissant aux cellules butineuses de l’intestin le soin de trier et de trouver  les alicaments.  Notre système de relais de l’information par synapses neuromusculaires et intersynaptiques éclaire nos besoins nutritifs, mais aussi nos besoins intellectuels, philosophiques et spirituels; Nature et culture se rencontrent à nouveau, mais cet ensemble dépend de quelques millions de cellules intestinales prêtes à se dévouer pour faire ce tri à la recherche de molécules qui se trouvent indispensables pour se reproduire (orientation vers les reines), pour se maintenir en jeunesse (orientations vers la différenciation et l’apoptose) et il se trouve que ces protéines sont elles-mêmes  suppressives de tumeurs; elles agissent en stimulant les gènes suppresseurs de tumeurs (P21, P16, P57 et P27)ou augmentant l’apoptose (P53); il reste à découvrir les protéines pour chaque organe (ménine pour l’intestin), P57 est étudié dans le cancer du poumon, VEGF pour la vessie; on parle de la géminine, des récepteurs orphelins, du rôle du protéasome de l’ubuquinine (co-enzyme Q1)etc..Ce champ des protéines extérieures régulatrices laisse à penser que nous dépendons de la nature, des autres; nous sommes des « Chimères » Bernard Fanton.

conséquences de la pensée cannibale sur la nutrition.

Rappelons que cette pensée »carnivore » s’applique à toutes les espèces; la prédation est le seul moyen de survie, de reproduction des espèces vivantes; Notre philosophie de l’interdit nous dicte des règles éthiques qui condamnent cette nécessité et pourtant nous sommes comme tous les êtres vivants soumis à ce besoin; certes notre cuisine s’est transformé en art, nos abattoirs  et nos élevages semblent plus respectueux des souffrances animales, mais notre regard sur les écosystèmes  semblent varier selon nos sensibilités. Par exemple manger du chien en Occident est une sainte horreur, contrairement aux chinois; manger du cheval est rare; par contre , l’autruche, le kangourou, le serpent et le crocodile peuvent être acceptés comme animaux consommables; ce sont les habitudes, les rites, les médecines, les croyances , les besoins, les famines, la rareté ou l’abondance qui ont crée la prédation, et le progrès de l’alimentation humaine s’est  structuré autour de l’art, des puissants, des reines et rois partisans des excès, du pouvoir sur leurs sujets, des recherches permanentes des cuisiniers pour plaire aux classes supérieures etc..La cuisine s’est transformée, modifiée, conditionnée, congelée pour se démocratiser, mais la globalisation, la mondialisation des groupes alimentaires (l’industrie agro-alimentaire) a permis à des milliards de personnes de se nourrir, mais a oublié les équilibres ancestraux, subtils des repas qui apportaient des substances extérieures indispensables. Cette dépendance d’un intérieur à un extérieur, un cercle, un centre , un univers a priori fini, mais ouvert sont la base des lois d’incomplétude. La reproduction à l’infini de formes, de chiffres, de lettres, de sons, de couleurs , les fameux hologrammes dépendent d’une nourriture quantique, minérale, végétale et animale; « Gloire aux cantiques des quantiques »; l’ombilic apparaît là encore comme la pièce essentielle du système. Revenons à cette recherche des abeilles butineuses et éclaireuses, de la nourriture; spécialisation maximum pour chaque fleur, chaque nectar, chaque substance, des éclaireuses  émettant des phéromones, véritables neurotransmetteurs du plaisir (GABA glutamate, dopamine), et rappelons que la gelée royale est constituée d’ acétylcholine à 75%; le but est de trouver le maximum de substances , outre les sucres pour le miel, qui déterminent les alvéoles en hexagrammes, qui orientent les larves en futures reines, en aserxuées et en abeilles travailleuses; en 45 jours elles effectuent des spécialités successives: nettoyeuses des alvéoles, croques morts, nourrices, sortent de la ruche, voient la lumière, gardiennes, puis butineuses et éventuellement éclaireuses; elles viennent mourir  et le cycle de régénération par les nouvelles abeilles continue; la gelée royale, le pollen, la propolis, le miel constituent la production, la nourriture de base des abeilles; un système immunitaire, antiinfectieux, un système régulateur des orientations sexuées ou non par le biais de la royalactine, protéine P57 dk 40; il est probable que les protéines kinases classiques et toutes celles à trouver régulent nos cellules de la même façon; ces protéines dépendent de notre nutrition spécifique. La découverte de la régulation de P53 par les fruits rouges, le thé vert et le Maca, de P16ink, de P27 par la silice colloidale ou silicium organique chez le rat-taupe-nu, donc de P57 chez les abeilles constitue des pistes de réflexion intéressantes; le fait qu’un « TOUT » dépende des parties du tout est logique, mais les parties du tout dépendent elles-aussi des autres sous-ensembles etc..la théorie des ensembles, de la symbiose et des systèmes complexes est incontournable. Les mathématiques dans cette vision des choses paraît « la première nourriture »; on peut parler de « cannibalisme des chiffres » Il reste à relier les aliments spécifiques des cuisines anciennes, les plantes médicinales; les repas des centenaires, les secrets des chamans, avec les protéines kinases, les fameuses régulatrices des cyclines en interaction avec les hormones, les neurotransmetteurs, les facteurs de croissance et toutes les anomalies liées à une nutrition carentielle, à un excès en sucres, graisses et sel, c’est-à-dire les productions excessives d’AGEs, d’HIF1, de VEGF et EGFR et de RL. Comme les radicaux libres, les cellules souches, la néoangiogénèse et les corps glycosylés, une nouvelle approche de la santé préventive et prédictive est possible; restera à lier cette notion de dépendance à l’environnement (épigénétique) aux connaissances sur les histones, les processus de phosphorylation, d’acétylation et de méthylation; La découverte de P57 n’a pas fini de nous surprendre. Bernard Fanton .

Cannibalisme primitif des cellules souches et orientation future pour une reine ou des cellules mortelles différenciées.

L’article précédent reflétait l’importance de trouver pour les reines de fourmis, d’abeilles, nos souches immortelles , des protéines , des vitamines, des dopaminergiques, des neurotransmetteurs, des hormones pour réguler le système de régénération permanente et cyclique de notre corps, de la ruche ou de la fourmilière; la reine , le zygote se développe à une vitesse de multiplication exponentielle de type fractale; les premières cellules immortelles puissantes disposent des moyens  pour se nourrir: l’angiogénèse, la migration, l’autophagie ou le cannibalisme des oeufs ou des bébés cellules; l’apoptose est un autre façon de recycler les constituants des des cellules différenciées; rapidement les reines, les souches se contenteront de se multiplier pour laisser aux abeilles nettoyeuses, gardiennes, butineuses ou éclaireuses, cellules différenciées chez nous, le soin de trouver  le « Butin »; le métabolisme interne permet grâce au cycle biochimique , de Krebs en particulier, de produire lipides, acides aminés, protéines diverses, sucres, énergie, de consommer rapidement les alicaments indispensables (oligoéléments, acides aminés indispensables, acides gras essentiels, protéines non pourvues de type P57, P27 ou non stimulées par carences).  Le jeûne, l’hibernation, qui a mis en évidence la voie de réserve mTOR, permet de mieux approcher les mécanismes de cannibalisme invisible; l’apoptose régulée par la protéine P53, ce suicide programmé des cellules différenciées ( 3 heures pour certains globules blancs, 3 jours pour les cellules intestinales épithéliales, 45 jours pour les globules rouges , 7 ans pour d’autres cellules, cartilages, muscles ou encore les , le squelette, résidu qui restera  des milliers d’années en forme rapellant l’espèce. L’organisme humain, comme certains animaux hibernants est capable de se nourrit sur ses réserves et peu consommer d’énergie; les ascétiques jeûnent et vivent de la lumière; sont-ils carencés? probablement.Les cellules intestinales très différenciées, vivant que 3 jours, donc à renouvellement rapide, semblent jouer un rôle déterminant, comme les butineuses, pour trouver tous les ingrédients manquants à notre gelée royale humaine; le système nerveux digestif (SNE) est capable d’analyser toutes les situations émotionnelles, liées à la nutrition, comme chaque butineuse est destinée à une odeur, un nectar, une fleur etc..le tri lors de la digestion, qui débute par la bouche  (salive), puis l’oesophage, l’estomac, le duodénum et ses annexes (foie, bile, pancréas, insuline, suc pancréatique, amylases, lipases etc..), puis l’intestin grêle et le gros intestin, ce tri sélectif pourrait ressembler aux apports des nutriments de la gelée royale; nos cellules mortelles travailleuses serviraient à nourrir par leur mort (apoptose) les souches par des apports classiques  et travailler avant pour trouver les nutriments extérieurs de la  gelée , qui régulent la séparation , l’orientation, entre futures reines, futures souches immortelles en repos ou en division permanente; le sort des reines et des souches dépend du travail des butineuses, des travailleuses et de leurs suicides programmées; si les reines mangent leurs oeufs au début, leurs filles, c’est pour mettre en place le système du cycle des arbres et des feuilles. Entre les cellules mortelles et les cellules souches, 5 protéines kinases, et d’autres paraissent jouer un rôle majeur: P53 pour réguler l’apoptose et la voie mTOR associée à SIR2, P16ink, P27 pour protéger les MEC, P57 pour réguler les voies de différenciation cellulaire avec le cycle des folates, de la voie Hedghodg ou voie hérisson, P21 qui régule les voies e répression génique avec les ARN mi pu ARN microinterférents et l’épigénétique; les relations entre protéines kinases, les cyclines régulatrices de la division cellulaire et les facteurs pathologiques intervenants dans le dysfonctionnement  de cette même division sont élucidés; la suite d’événements biochimiques liant les sucres oxydés , glycosylés, les corps de Maillard, le fameux « caramel », puis le déclenchement de l’hypoxie (HIF1), puis de VEGF, facteur de croissance vasculaire , d’EGFR ou facteur de croissance épidermique ( néoangiogénèse augmenté par l’alcool, le tabac, le saccharose, le stress oxydatif, par les récepteurs FSH-R), enfin la production finale de RL ou radicaux libres qui réalimentent l’oxydation des sucres  etc..La boucle est bouclée; un chien , s’il consomme des sucres rapides perd 10 ans de vie; notre corps est résistant, mais si ce cycle infernal est enclenché et entretenu par une nutrition en graisses, sucres et sel avec des carences, il ne faut pas s’étonner des pathologies diverses et variées; nos régulations, productions , hormones, neurotransmetteurs dépendent souvent de l’extérieur, des cellules différenciées; les endorphines du plaisir peuvent être produites par le sport, mais sont consommées par la nutrition; cette réflexion biochimique permet d’associer cannibalisme primitif, puis cannibalisme secondaire invisible (l’apoptose) et une possibilité de l’humain de copier le système en créant des rois et des reines et leurs sujets; existe t-il un « cannibalisme social » entre les riches et les pauvres ? Bernard Fanton.