Nouvelle coincidence et une bonne surprise pour la santé.

Dans le chapitre sur la connaissance du cancer, j’avais été ravi de la découverte des récepteurs FSH-R dans 19 tumeurs solides dont le cerveau et le rein (prostate, sein, vessie etc..); ces récepteurs ne siègent habituellement que dans les follicules ovariens ( granulosa) , les testicules ( cellules deLeydig),  ou encore dans le placenta; Fsh-R est un stimulateur de VEGF (facteur de croissance vasculaire) , , de PIGF (facteur de croissance placentaire), , et D’EGF (facteur de croissance épidermique), bien sur FSH-R est un récepteur de la FSH hypophysaire; les facteurs de croissance de façon générale sont inhibés et bloqués à la puberté  par les hormones sexuelles par feed-back classique; ils peuvent être secrtétés dans des circonstances classiques (cycle menstruel, grossesse, cicatrisation, hypoxie, ménopause, andropause) alors ils peuvent être bénéfiques et participer à la restauration homéostasique du corps ou être dangereux et participer à la pathologies de scléroses, de la néoangiogénèse , de la cancérogénèse. La connaissance des mécanismes biochimiques intimes de ces processus est capital pour une prévention intelligente ;  outre la nutrition, la suppression des corps sucrés oxydés glycosylés, les antioxydants, et les antiangiogéniques naturels ( collagène, acide hyaluronique, glucosamine etc.. ), et la régulation de la voie mTOR par les enzymes SIR2 et le résvératrol,  vient se rajouter le contrôle des facteurs de croissance VEGF et EGF; si on peut emp^cher la migration des récepteurs FSH-R et la production excessive de VEGF , on prive les futures tumeurs de cette nourriture qui les développent; et on connaît le rôle des sucres, des disaccharides en particulier. La découverte dans la gelée royale d’une protéine spécifique , la P57 kDa4 ou royalactine, régulatrice de l’orientation en futures reines ou abeilles stériles butineuses, par un processus classique sur la voie Notch et Ras mapk, en fait sur les voies de différenciation ou de conservation des propriétés de multiplication cellulaire; ce sont les mêmes voies entre les divisions des souches immortelles et les lignées cellulaires aboutissant à l’apoptose; rentre en ligne le facteur EGF ou facteur de croissance épidermique qui est présent dans toutes les MEC, la peau , notre grande MEC, ; la dérégulation des MEC, l’atteinte de celles-ci et donc des voies de régulation Notch et Ras Mapk sur la transcription et la division cellulaire paraît déterminante; peut-on rajouter des protecteurs, des produits qui empêchent les facteurs de croissance épidermiques d’être eux-aussi détournés ; la consommation de gelée royale d’abeille, donc de royalactine, associé à l’acétycholine et la B5 très présente dans la gelée royale, est une solution avant de trouver d’autres substances identiques pour l’homme.  La découverte de la royalactine rapproche encore embryogénèse et cancérogénèse, miroir à deux faces de mêmes processus.Reste à travailler sur les relations MEC, EGFR, VEGF et les voies de transcription et de différenciation, de répression génique, sur les gènes  de de régulation des chromosomes X, du role des protéasomes , de comprendre la peau , MEC globale, siège des énergies etc..Bernard Fanton.

Phrases à retenir pour se méfier de soi.

Je ne prétends pas changer le cours des choses , écrit Fabrice Luchini. ; il est vrai que depuis Bouddha, Jésus, tous les Saints, Ghandi, etc.. un grand nombre d’humains, utopistes, philosophes, écrivains, démocrates, humanistes se sont attaqués à cette vasta question , : « peux t-on changer le monde »,  » qu’est-ce que l’ homme », « pourquoi le monde est-il comme  cela , comme ceci »,  » l’homme est un loup pour l’homme ». La culture, la nature philosophique de l’être humain ferait penser à une nécessaire empathie, fraternité humaine; le constat est désarmant; un confort technique, matériel performant, des inventions, des innovations, des livres, des connaissances approfondies etc.. et une barbarie de comportements déviants, pervers, d’accoutumances diverses, pour des désirs, plaisirs toujours incomplets; le bonheur social demande toujours plus, aux dépens de la conscience de soi. des sociétés en déséquilibre où règnent l’argent, le vice, la cupidité, la spéculation, la corruption, et ces mêmes sociétés laissent le champ libre à des religions totalitaires , faisant croire à des romans imaginaires  et à des théologies infantiles; alors changer le paradigme pour établir des réseaux transversaux, oui; mais cette évolution se fera par une évolution personnelle et non collective; alors certaines paroles prennent un sens: « Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, et j’accoutume mon âme à souffrir ce qu’ils font »,  » c’est le visage de l’Autre qui te sort de ton intériorité », « Nul ne ment plus qu’un homme indigné », « Économisez votre mépris, il y a trop de nécessiteux »,  » Et c’est une folie à nulle autre seconde de vouloir se mêler de corriger le monde « ; si on rapproche ces belles phrases  de modestie toute simple d’autres formules:  » tu seras toujours puni par où tu as prêché », il n’est pas facile de s’engager, de s’indigner, d’avoir des idées pour les autres; le livre de Pascal Bruckner, » La Maison des Anges » nous un parfait exemple des faux engagements humanitaires; mon schéma trinitaire de ma bifurcation originelle donne des clés pour un fonctionnement, un comportement  individuel non égoiste, une solution pour une bonne santé; il permet d’éviter les métamorphoses trop brutales, les maladies de civilisation; se basant sur une voie individuelle de transfert de connaissances gratuites, il permet à chacun de faire émerger cette conscience, cet amour invisible, cette présence mystérieuse, subtile qui peut nous rendre puissant, fort, altruiste, empathique, étant respectueux de soi et des autres; l’éthique de réciprocité va déclencher des processus de restauration du corps grâce aux cellules souches régénératrices très sensibles à la démocratie (systèmes complexe), à l’amour mathématique. On se heurte à l’obstacle du mirage du bonheur terrestre, de la réussite sociale, des modes, des expériences toutes azimut, du culte de l’énergie, des sports extrèmes, de la santé égoiste; mes idées rejoignent bien sûr La voie du juste milieu du Bouddha,le corps restauré de Jésus, la tolérance de Mandela, les émotions des Gospen, des moines de Tibbérine, des champs grégoriens, mais j’essaye par mon schéma trinitaire, mon parapluie spirituel, mon cercle, de centrer la féminité sur le cordon ombilical; le centre paraît plus important que le pôle nord(l’esprit) ou le pôle sud ( le corps fait du sexe , du soma et du cerveau); ce centre détermine toute l’histoire de la complexité, dont nous sommes issus; j’ai déjà suffisamment développé le sujet; alors je ne prétends pas non plus changer le cours des choses, je peut malgré tout apporter ma pierre à cet édifice de la conscience humaine;Bernard Fanton;

Savoir ou connaissance.

La différence entre savoir et connaissance peut être subtile; en effet le savoir se concentre sur les connaissances objectives, prouvées, démontrées; la connaissance recouvre un champ plus large autant exotérique qu’ésotérique, l’invisible, le prédictif, ne fait pas peur ; le savoir impose une réalité, des faits matériels démontrables par la science et fait appel aux sciences cognitives , à l’intelligence et la mémoire cérébrale,; l’autre connaissance fait appel à l’esprit, à l’intelligence du coeur, à des sciences  plus sensibles, plus invisibles, en fait plus mathématiques symboliques; les esprits sont difficiles à saisir; immatériel et invisible l’esprit du tout est une réalité incontournable, subtil , puissant comme l’intelligence du tout supérieur à la somme des intelligences des parties du tout; la loi d’émergence , base de la symbiose, est installée dès le départ, bing bang initial. Il n’y a pas  d’opposition entre savoir et connaissance; celle-ci est le prolongement du savoir; la séparation entre profane et sacré, entre temporel et spirituel empêche toute connexion ; le sacré, le spirituel reste dans le domaine de la théologie, science  inventée de toute pièce par des clercs de l’ Eglise pour asseoir le pouvoir pyramidal.Les romans de Gilgamesch, de la Bible, Ancien et Nouveau Testament, Les Évangiles, La Torah, la Kabbale, le Coran sont des romans remaniés, interprétés, souvent traduits et écrits après la mort de leurs auteurs; ceux-ci parlant , mais ne sachant écrire; les paroles sacrées de ces livres  imposent à leurs croyants des rites, des prosternations, des obéissances, de gestes quotidiens, des prières dignes de la soumission. « La Connaissance de soi » et du monde intérieur et extérieur impose d’apprendre , de comprendre, d’oser, de vouloir , de se taire et d’aimer; les textes fondateurs classent la trinité en masculinité terrestre en ignorant la féminité reléguée à coté; hors on ne peut accéder à la connaissance de soi qu’en réorientant notre trinité biologique où la trinité place la féminité au centre, à l’ombilic; cette opposition entre la trinité biologique naturelle féminine et la trinité culturelle masculine reste au centre des combats pour la santé; le blocage à la terre crée par une situation stérile entre le père , le fils et le Saint-esprit , qui juste  présent est improductif en transfert de vie, massifie l’être humain d’une part ou spiritualise par excès; la voie du juste milieu peu empruntée est nécessaire; la connaissance  des cellules souches , base de la féminité de restauration, de régénération, de reproduction, de multiplication, de l’immunité de tolérance ajoute à la voie du juste milieu sa force, sa puissance, son immortalité; le savoir terrestre des sciences démontrables est incapable de percevoir les sciences de l’invisible pourtant simples , puisqu’elles utilisent les mêmes mathématiques pour une autre finalité; l’alchimie de l’Amour Invisible est un problème mathématique !!Le Savoir est comptable de ses réussites et doit déboucher sur un business terrestre; l’investissement dans le savoir (un milliard d’euros pour Neuropolis à Lausanne) sera un gouffre financier pour un aléatoire résultat; le cognitif n’est pas la conscience, donc pas l’amour.Bernard Fanton.

Que retenir des voies personnelles, des voies collectives et du juste milieu.

On a fait le tour de la question: qu’est-ce que l’homme? un bifurquant de la nature ayant acquis par le phosphore, la bipédie, la main, le larynx , des capacités de langage et d’écrit qui lui ont donné le pouvoir sur la nature. La nature a toujours imposé ses lois mathématiques : nombre de plumes, de feuilles, de pétales, couleurs de robes, nombre de pattes, de doigts, gènes architectes (ventre-dos, droite gauche, tête -queue), gènes du temps etc.. la double bifurcation culturelle a donné aux êtres humains la possibilité de jouer sur les sons (la musique), les formes, les lettres, les chiffres et les couleurs; l’art transforme les hommes; la complexité biologique de nos cellules soumis aux cycles, boucles, ouvertures, fermetures, détachement , attachement, communications, informations dans une démocratie cellulaire de réseaux transversaux et verticaux; l’analyse des systèmes complexes, des symbioses, de la théorie des ensembles confirment cet enchevêtrement des éléments de l’univers (particules, atomes, molécules, protéines, cellules etc..); nous sommes les héritiers de l’univers, à son image, mappemonde humaine énergétique , dont le centre;, l’ombilic quantique , va relier nos origines mathématiques ( Pi, Phi, Euler ou e, nombre de Higgs ou 1/137  et 1/80) à notre finalité culturelle philosophique, c’est à dire cette partie de nous, invisible, immatérielle, cette présence de puissance de santé personnelle qu’est l’amour de soi et de autres, c’est-à-dire le non-soi. Ce schéma trinitaire déformé par la trinité masculine intègre tout: l’esprit, l’âme , le corps multiple, le sexe, l’asexué ou le soma et le stérile, le cerveau chez nous; il n’y a plus de confusions possibles; ce schéma s’oppose au pouvoir pyramidal masculin né de la connaissance de la reproduction; le sperme était le pouvoir;la  maîtrise de la fécondation revenait à dominer la femme, la Déesse Mère perdait son statut de gros ventre mystérieux; les hommes de pouvoir inventèrent les castes, les classes, les ordres et exclurent les femmes; de plus pour maîtriser le plaisir ou la reproduction les hommes sont devenus homosexuels  pratiquèrent le retrait, la sodomie et les jeux sexuels sans amour; la prostituton en fût la conséquence. La voie matérialiste du confort et du progrès technique liée à l’intérêt plus qu’à l’investissement empathique, généreux, ou de partage, se mis en route; cette voie avec ses avantages de la gestion des grands nombres, de la création de la ville, mégapoles aujourd’hui aboutit au monde d’aujourd’hui où les principaux problèmes de l’homme conscient ne sont pas réglés; les barbares sont toujours là; crimes, guerres, esclavages, tueries , massacres, violences, maffias, drogues, accidents, tous ces faits divers distillés par des médias complices; l’autre voie spiritualiste a parallèlement profité du pouvoir de l’écrit pour imposer aux puissants des ordres dont le clergé; l’emprise sur le sacré est devenu un monopole des bibles, corans et torah; le profane n’a droit qu’aux usages et coutumes, sauf si des rites et des pratiques quotidiennes sont imposées par des règles religieuses, la Charia , en particulier. Le formatage religieux s’additionne au formatage du bonheur matériel social; grâce à un enseignement et une éducation élitiste le système  impose un schéma introverti favorisant l’égo, le moi-je et l’inconscient.  Les bases de la perversion, des déviations comportementales sont là: culpabilité spirituelle, course à l’argent, renforcement de l’égo, médiatisation des meilleurs etc..alors si Le Bouddha a choisi la voie du juste milieu entre ascèse et matérialité du confort et des biens terrestres, comment s’y retrouver dans cette alliance hypocrite des 2 voies  où le Banquier fait bon ménage avec l ‘Éveque.  La voie du juste milieu du Bouddha représente une évolution de la pensée où le poids des 3 intériorités disparaissent au profit d’une émergence légère, une spiritualité laïque, philosophique, une transcendance, un hapax vertical; cette unité constamment renouvelé par un cycle alchimique de transmutations, comme un arbre et ses feuilles, se révèle à soi ou pas; certains mations cette puissance de soi est présente; parfois elle ne se manifeste pas créant un désarroi, une angoisse et des peurs; le système nerveux entérique, le plexus solaire se noue; une certaine lourdeur débute; mon évolution personnelle, mon histoire personnelle qui ne doit pas influencer mon ego, a toutefois permis de trouver cette force; mes métamorphoses successives (mon hapax, ma crypte) ont fait émerger une résilience; celle-ci soumise à des matérialités  s’est progressivement installé pour des décisions toujours de légèreté; la découverte de mes origines mathématiques (les frères Bogdanov) et de ma finalité d’amour invisible ( L’Apothicaire) ont confirmé le schéma; une voie matérielle de la moitié du message du Sphinx, « Apprendre, Comprendre, Vouloir, et Oser », et une voie spirituelle « se Taire et Aimer, aimer neuf fois différemment »; alors les 2 voies peuvent converger vers le plaisir de la bonne santé de l’esprit, de l’âme et du corps ( nutrition, sions énergétiques et philosophie de l’empathie); ce plaisir est largement supérieur au plaisir des nombreuses boulimies, accoutumances, drogues , plaisirs addictifs dont la séparation est difficile et douloureuse; une certaine sagesse, un certain détachement, un besoin de rien et un regard sur le monde lucide, fait d’indignations, de révoltes, contre la sottise, la bêtise, le manque d’intelligence; il faut faire attention à ne pas mépriser, mais pour ceux qui ont tout, et qui se comportent en maîtres et seigneurs, il est difficile de ne pas les mépriser; l’ignorance des pauvres, des malades, des intouchables , des handicapés, des damnés des sans-logis est difficile à admettre; la connaissance de ces êtres faibles, exclus conduit à un comportement humanitaire d’engagement, d’abnégation et de foi; cet état mental de saint est difficile; l’amour puissant émergent peut aider à cet engagement; la voie du juste milieu permet une adaptation permanente entre vie matérielle limitant sa prédation et une vie spirituelle laïque émanant de soi qui prmet de régler ses problèmes existentiels. Bernard Fanton.

A propos de l’ordre libertaire.

Dans le dernier numéro du Point  le 13012013, Michel Onfray ,écrit sur l’ordre libertaire, et l’un de ces précurseurs , Anselme Belleguarrigue. « le premier des libertaires  » (De Michel  Perraudeau ) L’ordre libertaire est « une anarchie positive » (Proudhon); Bellegarrigue n’aime pas le socialisme, qu’il assimile à l’égalitarisme, au collectivisme, au nivelage, à la dilution de l’individu dans la communauté, qui revendique tous les droits sur lui. Pas plusqu’il n’apprécie les partis, les écoles, les élites, les hiérarchies, les classes, les ordres, les castes, , il estime que droite et gauche confondues, le gouvernement est systématiquement oppresseur et dangereux pour les libertés; il affirme que les ministères sont un frein aux libertés sociales, individuelles, surtout une source de dépenses inutiles ( rappelons que la dépense publique représente 57 %  du PNB !! ); les soi-disant représentants du peuple devenus des professionnels de la politique se moquent d’exercer la souveraineté et responsabilité pour des soucis  et des intérêts d’engraissement et de jouissance du pouvoir; il veut dégraisser le mammouth des fonctionnaires, des militaires, des administrateurs, aujourd’hui des experts, des technocrates. Bellegarrigue refuse la révolution violente et armée qui débouche toujours sur un nouveau pouvoir et une nouvelle violence; celles-ci changent de main seulement.  Il n’a pas le culte du peuple transformé en idéal de la raison; il se méfie de la classe ouvrière, si facilement manipulable, et formatée; il existe chez Bellegarrigue une certaine « Anarchie positive » comme chez Proudhon contre l’État pyramidal, l’ordre établi, la hiérarchie jacobine.Il croit à l’organisation communale, l’échelle idéale pour réaliser la société libertaire; il veut une presse libre, sans censure. il souhaite un crédit anarchique en faveur de la liberté du travail et pour éviter la taxation qui entretient le molosse étatique, il veut réduire les prélèvements de l’état. Comme beaucoup d’anarchistes français, Bellegarrigue pense qu’il est possible de créer un ordre libertaire opposé à l’ordre établi, au dogme du pouvoir pyramidal à l’ordre bourgeois qui serait le véritable désordre , exploitant, aliénant, paupérisant le peuple; en ce quoi il nomme les impurs et les purs comme jésus;   » Qui dit affirmation du peuple dit liberté individuelle, qui dit liberté individuelle dit souveraineté de chacun, qui dit souveraineté de chacun dit égalité, qui dit égalité dit solidarité et fraternité ; qui dit fraternité dit ordre social  » ceci rejoint Victor Hugo:  l’égalité nécessite une perte de liberté en échange d’une fraternité;  Le libertaire est un homme libre, étranger à l’ambition, ardent au travail, dédaigneux du commandement, rebelle à la soumission et animé de fraternité; ce genre d’homme ne coure pas les rues; raison de plus de s’attacher et de travailler à sa multiplication comme nos cellules souches qui pratiquent « la démocratie cellulaire » en fermant, ouvrant, alternant cycles et boucles; ces comportements cellulaires d’inhibition de contact sont à la base du fonctionnement des systèmes complexes des symbioses biologiques; attachement pour le pouvoir pyramidal, détachement pour l’ordre libertaire. Ces mots et réflexions sont de Michel Onfray avec mon analyse personnelle; on retrouve tous les ingrédients des utopistes qui veulent changer le monde testostérone; de Bouddha avec « La voie du Juste Milieu », avec Jésus et ses discours sur les impurs et les purs, puis avec le refus du capitalisme des Marchands du Temple, puis Montaigne, La Boétie avec les dominants dominés et La Servitude Volontaire, puis Thomas Jackson et l’Éthique de réciprocité ou la Règle d’Or, la fameuse Golden Rude, puis Victor Hugo et la damnation sociale, Zola, Gandhi, Mandela, les Abbés Pierre, Saint- Vincent, Saint -François d’Assises , les Soeurs et Mères Thérésa, Emmanuelle etc.. on retrouve les mêmes ingrédients de lutte, d’indignation contre ce pouvoir pyramidal  générateur de perversions, d’égocentrisme, d’inégalités, de vices, de comportements cupides, de délations, de corruptions, de violences, de meurtres, de guerres, de maffias, de familles etc..malheureusement toutes ces tentatives échouent pour 2 raisons: 1) – les bases  et les données sociales, humaines, philosophiques sont insuffisantes pour multiplier l’homme libertaire; pour convaincre l’être humain , il faut lui apprendre le schéma trinitaire de base que j’ai longuement présenté dans mes articles.2) – il faut aussi se heurter au pouvoir pyramidal en expliquant « aux hommes malades qui nous gouvernent, qui nous dominent, qui nous rend esclaves modernes, apprendre au « Monstre Doux » que le cancer, cette peste moderne ,les guettent; car le pouvoir, l’argent rend »FOU », rend malade; ces tyrans, dictateurs, autocrates sont en mauvaise santé et il n’existe que l’amour invisible pour échapper aux maladies machiavéliques. Bernard Fanton.

Évolutions sociétales, coutumes, peurs, hontes, banalités, traditions, fêtes, bêtises.

Tous les auteurs que j’ai lu récemment dénonce, espère, ricane, se moque d’une société pyramidale, bourgeoise, , organisée de façon conservatrice ; ils en font partie, mais ils ne supportent pas l’hypocrisie, le mensonge, l’adoubement, l’obéissance,la religiosité, la bêtise, la sottise, la banalité, les vices, la cupidité, les peurs de la maladie, de la mort, des épidémies, de l’autre, de l’étranger, de l’impur; Montaigne dans ses « Essais » dénonçait « Le Gouvernement des Nourrices »; il traduisait et s’inquiétait que « La Coutume », les vrais semences et les vrais racines de la cruauté, de la violence, des perversions et déviations futures de l’adulte , que cette « coutume » ou ces « traditions » prennent naissance dès l’enfance; 3Montaigne: »Car c’est à la vérité une violente et traîtresse maîtresse d’école que la coutume. Elle établit, en nous, peu à peu, à la dérobée  le pied de son autorité. Mais ce doux et humble commencement, l’ayant rassis et planté avec l’aide  du temps, elle nous découvre un furieux et tyrannique visage, contre lequel nous n’avons plus la liberté de hausser seulement les yeux. Nous lui voyons forcer tous les coupsdes règles de nature; en toutes choses , l(usage est le maître le plus puissant.. L’accoutumance n’est pas chose de peu. (Platon). Nos grands vices prennent leur pli dès notre plus « tendre enfance »; c’est un passe temps que de tordre le cou à un poulet; , de s’ébattre à blesser un chien, de battre un chat, , d’être satisfait de voir son fils gourmer injurieusement un paysan ou un laquais ou abuser de ses compagnons par déloyauté ou tromperie ou encore user de ses droits de cuissage sur les servantes. Ce sont là les vrais semences et racines de la violence , de la cruauté ,de la tyrannie et de la trahison .; elles sont là, tapis, elles germent, s’élèvent gaillardement et profitent à force entre les mains de la coutume.Et c’est une très dangereuse « Institution » qui excuse ces très vilaines inclinaisons par la faiblesse de l’âge et la soi- disant  légèreté des sujets; l’enfant favorisé des puissants se détermine par reproduction du système à l’identique.La voix de l’enfant serait plus pure , plus grêle et constituerait une force . Il faut apprendre aux enfants de haïr les vices de leur propre contexture, pour leur nature propre et leur en apprendre la naturelle difformité, à ce qu’ils les fuient surtout en leur coeur, plutôt que dans leur action, que cette pensée devienne odieuse, quelle soit le masque qu’elle porte. » Montaigne a tout expliqué; le système des classes, ordres et castes déterminent le futur de leurs enfants à leur image; « Tu seras un homme , mon fils », dans la tradition, l’hérédité, la coutume, la bêtise, la sottise. L’enseignement est basé sur les mensonges historiques, les événements guerriers, les fondements des nations, frontières, peuples, extensions, colonisations, victoires, défaites, guerres, massacres , tous événements excusés, justifiés par la coutume, la guerre des hommes avec la complicité des femmes de pouvoir, Nos écrivains, poètes, humanistes, ont dénoncé ces habitudes, ces coutumes, ces banalités, mais ils étaient peu lus (5000 exemplaires des essais de Montaigne, et c’était beaucoup pour l’époque), peu entendus; le peuple était bridé, formaté, manipulé par les trois ordres d’Adalbéron. Le spectacle des tortures, des bûchers, des exécutions, des supplices de la roue etc.. montraient et confirmaient cette coutume de l’enfance qui torturait les animaux; la barbarie des systèmes pyramidaux a toujours été « à la hauteur de sa réputation »; L’Église a torturé (Inquisition), a voulu Les Croisades , a installé le pouvoir pontifical; les Rois, Empereurs, ont massacrés, génocidés  et ils continuent sous des formes de tyrannies, dictatures, autocraties etc.. La coutume  reliée par l’éducation des élites, des meilleurs, des héritiers secrètent ce genre de personnages , mégalomanes, pervers, vicieux, cupides dont les exemples récents nous confirment la catastrophe du système patriarcal; nos démocraties bienveillantes excusent trop souvent  pour des raisons de business, de diplomaties, de raison d’état, de droits internationaux ces comportements barbares; et si tout commençait dès l’enfance, dès l’arbre de l’inconscient?  comment apprendre dès le début la »Conscience de soi »; c’est le problème des confusions, des sciences cognitives déviantes que j’ai essayé d’expliquer depuis le départ de mon blog. Nous reviendrons sur ce décalage entre évolution, personnelle, collective, et ces concepts de la bêtise humaine  « on peut consulter le dictionnaire de la bêtise » de Jean Claude Carrière. Bernard- Fanton.

 

Ce que traduit la « Fête ».

Nous avons tous fait la fête, les 2 réveillons avec sa famille ou ses amis et nous avons continuer à ritualiser ces fêtes païennes destinées à se libérer de temps en temps du joug des instances pyramidales.  Les reportages sur les Champs- Élysées, dans tous les pays montrent que le peuple se libère quelques heures , quelques instants en s’embrassant, en buvant, en chantant, en hurlant, Bonne Année, Joyeux Noël; la plupart sont favorisés, nombreux les gens du peuple mélangés, et ceux qui sont exclus , les SDF, sont là pour nous montrer que la descente est toujours possible. L’échelle des besoins de Masslov montre bien que les besoins insatisfaits sont dangereux et générateurs d’angoisses, de peurs et de stress; le système pyramidal créant classes, castes et ordres a parfaitement réussi à copier l’échelle des besoins; il est toujours intéressant pour le pouvoir de montrer aux hommes qu’ils peuvent à tout moment descendre dans l’échelle sociale; c’est pourquoi nos sociétés hypocrites garderont toujours leurs sans logis ,leurs restaurants du coeur, leur secours catholique etc.. L’Etat se repose sur ces associations pour faire passer le regard ignorant des humains sur ces populations damnées, exclues par les autres et aussi par eux-mêmes. Le peuple se rassemble dans la rue, dans les stades , dans des terrains pour des festivités, des rêves, des rav, des concerts, des révoltes, des indignations, des revendications, parfois des révolutions; le peuple est dangereux si les promesses de bonheur social ne sont pas tenues; pouvoir d’achat, emploi, sont synonymes de bonheur; l’aspect collectif du bonheur est supérieur à la joie individuelle; jeunisme, consommation, loisirs, voyges, dépaysements, vacances énergétiques, sports de masse et sports de l’extrème, sont les nouvelles mamelles du bonheur terrestre; l’amour pulsion, l’amour passion, l’amour attachement reste la règle; lorsque le miroir se brise, l’inverse se produit, haine, violence et drames se succèdent; le pouvoir essaye de canaliser la fête, les rassemblements qui peuvent à tout moment dégénérer; cette évolution sociétale n’est pas nouvelle; Noël est une fête païenne, les carnavals, la fête de la bière etc..sont des défoulements nécessaires pour supporter nos vies quotidiennes de labeur, de dominations , d’ordres, de pressions, de résultats etc.. La fête est une récréation, une forme de dissipation, un désordre avant l’ordre nouveau ou ancien  puisque on revient à subir l’ancien système. . Alors , oui, la fête constitue une parenthèse nécessaire pour souffler, respirer dans les sociétés pyramidales, c’est même devenue un business; mais on ne peut considérer la fête comme une évolution sociétale; dans ce contexte de fête, l’individu éveillé voit son âme , cette présence invisible, subtile, cette puissance individuelle  se diluer, se cacher voir disparaître au profit d’un mal-être traduisant la fractalité, la dilution; au contraire d’une messe, d’un chant grégorien , d’un gospen, il n’y a que peu de communion , d’émergence dans la fête; c’est plutôt une jouissance individuelle noyée dans une multitude alcoolisée; c’est pourquoi les lendemains sont difficiles, outre les excès; la réalité des jours suivants est un retour en arrière; il y a lieu de retrouver le silence, le calme, la diète et surtout son âme vendue au diable quelques heures . Bernard  Fanton.