Genèse de la domination sociale.

Le croisement de mes origines, mon histoire et l’histoire du monde , de l’origine théorique, le bing bang, jusqu’à l’organisation pyramidale des sociétés humaines, en passant par l’historicité fausse et vraie, fait apparaître de façon évidente les défauts et les confusions à l’origine de la domination sociale. Le début se situe à Our,Sumer, à peu près avec la fin des Déesses-Mères; les dernières des Empires Ethiopiens, Nubiens ou Kuschites ( Royaume de Méroé  avec les Candaces); la fin du Grand Féminin a commencé avec Gilgamesch; les hommes ont mis en place un système « débile » de supériorité des uns sur les autres; la femme reste à côté, complice de son niveau; de 4 castes chez les hindouistes, on passe à 3 clesses ou 3 ordres chez Abraham et Moise, puis chez Adalbéron 1er, inspiré par les rois d’Israël, Saul, David et Salomon; Clovis, Pépin le Bref et Charlemagne, ignares , incultes se font dominer par les ordres religieux; les clercs créent la première intériorité, la spirituelle où l’homme face à un Dieu, puissant, jaloux ne peut qu’acheter son paradis par les « indulgences »; la puissance du savoir, de l’écrit, des connaissances prend le pas sur la force physique, le pouvoir des forts, des guerriers, des chefs; les 3 ordres d’Adalbéron 1er se retrouveront à la Révolution:la noblesse,  le clergé, le tiers-état; d’Abraham, à Moise, puis le christianisme récupéré sous Constantin et Théodose, enfin l’Islam, de Mahomet à nos jours, les religions ont dominé le débat théologique; la parenthèse grecque, avec ses philosophes, sa démocratie sans les femmes, n’a rien changé dans la définition des rapports humains; au contraire, l’apparition des banquiers vénitiens, juifs, protestants, des villes franches crée les conditions d’une domination sociale; le dominé en relation de servitude volontaire (La Boétie)  et en échange d’une protection physique et matérielle va rapidement en quelques siècles se retrouver en situation de domination, mais de » damnation sociale »(Victor Hugo); les révolutions, les utopistes, les penseurs, les pacifistes, les partisans de l’indignation, les lois sociales, les conquêtes sociales, l’assistanat et autres formes d’humanisme, Jésus, Ghandi, Mandela etc..n’ont rien changé aux dures lois des pyramides sociales; chefs, sous-chefs, mandarins, tyrans, despotes, harcèlements des supérieurs, pervers en tous genres, déviants , tous se démerdent dans les opportunités d’un système fait pour eux; un ordre établi, qui favorise les opportunistes, les pervers, les déviants, les egos; comment, après une double bifurcation culturelle, les humains, les hommes, l’humanité qui a quitté la « nature » pour une culture philosophique est-elle arrivée à un tel désastre  ; des inégalités en tout, intelligence , cerveau, physique, émotionnelle, des écarts de niveau de vie, des provocations matérielles et de suffisance; cupidité, vice et suffisance  font la « UNE » des médias; les fortunes , les réussites, les records,les exploits, font la mécanique des sociétés humaines; de temps en temps , des reportages à visages humains viennent nous rappeler notre condition d’être mortel, faible, malade, handicapé ou encore vieux; les problèmes existentiels surgissent brutalement pour les riches, les pauvres, les dominés, les damnés ou les dominants; alors peut-on changer? le monde peut-il changer? les catastrophes  naturelles, les malheurs de la terre, non. Mais les catastrophes culturelles provoquées par notre bêtise, oui. Alors il faut changer les « règles » du jeu; j’ai apporter une solution, un schéma, qui respecte nos origines atomiques, moléculaires, biologiques, démocratiques et culturelles; ce schéma peut être appliqué pour soi, pour une santé-conscience qui coûte ou qui revient à 3 euros par jour ( la moitié d’un paquet de cigarettes, ou 2 litres d’essence) ce schéma qui intègre le respect et l’intégrité du soi et aussi grâce à nos origines chimériques, le non-soi, l’autre, les autres , les minéraux, végétaux, animaux et humains, virus, bactéries, parasites. ces facilités d’être soi et les autres nous définit comme un « Altruiste » désintéressé opposé à cet être égoiste, déviant , moi-je séparé des autres tourné unquement sur lui-même; éduqué par un système élitiste, l’être égoiste se retrouvera rapidement prisonnier de ses 3 chaînes, de ces trois intériorités de l’enfermement freudien, monothéiste et matériel; alors pour être « libre », il distinguera sa vie publique  et privée, séparera sa vie sociale et familiale et inventera un bonheur factice du profit de vie; il est quand même étonnant qu’un jeune de 18 ans puisse rêver d’une vie heureuse à la retraite; il nre pense qu’à ces 20 à 25 ans de retraitée en pleine forme physique, avec ses facilités matérielles payées par les plus jeunes; quel avenir, rêve pour notre jeunesse qui est déjà vieille avant d’avoir assumer quelques responsabilités; avec une pensée de ce type , comment s’étonner de vouloir être dominé; les dominants n’ont aucun souci à se faire, sauf à entretenir  un monde qui ne va plus les nourrir; les marchés devront réinjecter une société malade, entretenue, miséreuse, dont les réactions ne pourront être que violentes et brutales; féminité, conscience, eusociabilité, solidarité, don mystérieux, amour invisible seront les maîtres mots de demain, si l’intelligence du coeur l’emporte sur la bêtise du cerveau.BF.