La Vème République, Giscard, Mitterrand et Chirac.
Comme je l’ai indiqué la superposition des 2 histoires montrent qsu’il est difficile de séparer les événements historiques des miens; c’est plus mon histoire que l’histoire qi demande du recul et du temps, comme on le voit avec les événements de la guerre 1940-1945, la guerre d’Algérie et les autres faits historiques; 1914-1918 se termine avec la mort du dernier « poilu »; le ministère des Anciens Combattants s’intéressent aux pensionnés de la 2ème guerre mondiale moins nombreux, et à ceux des conflits coloniaux; l’instauration d’une Europe pacifiée sous l’égide de Charles de Gaulle et de Konrad Adenauer donne à ma vie et à celle de mes enfants et petits-enfants des chances de ne jamais être des Anciens combattants; les derniers conflits, Afghanistan, Libye, Côte d’Ivoire, Tchad sont des conflits locaux, régionaux; les risques d’être blessés ou tués existent; ce sont des militaires de métier; en Algérie tous les « trouffions » partaient au combat; le service militaire était obligatoire; le maximum a atteint 4 ans pour i an ensuite et après la suppression du Service National sous Chirac et la création d’une Armée de métier., les engagés sont volontaires; c’est un changement radical pour une Europe en paix où on peut circuler librement et payer dans une monnaie unique; déjà pour ces raisons on peut être européen; pour les problèmes économiques, c’est plutôt le manque d’Europe que le trop d’Europe qui pénalise la France trop jacobine; l’abandon de souveraineté économique est déjà une réalité avec la non possibilité de prêter aux états ( la banque de France ne pourra ainsi prêter à l’État français à des taux bas de l’argent obligeant à des emprunts sur les marchés; Giscard n’a jamais donné d’explications valables) puis c’est Bérégovoy qui décide du début de l’abandon du rôle de la Banque de France, son rattachement à La BCE; Balladur sonne le glas du retour au Franc et la Banque de France n’a plus qu’un rôle subalterne.L’abandon du franc sans une Europe politique, sociale, juridique et fiscale nous livrait mains et poings liés à la finance; les dettes contractées et étalées ont redu la situation irréversible; à moins d’un miracle la France est condamnée à rembourser des dettes faramineuses et à continuer à payer ses services publics hypertrophiés; nos présidents de la Vème ont tous commis l’irréparable; une ponction sur les patrimoines privés et publics, sur l’épargne, sur les intérêts publics et privés est indispensable; en particulier la taxe foncière est un bon outil, juste et répartie sur l’ensemble des richesses; BF.