l’histoire du monde, des hommes et la vie;

Les carolingiens avec Pépin le Bref , puis Charlemagne in stalle un royaume franc, La France, avec sa structure  de roi divin, d’Evêque céleste, de réunion en un seul du spirituel et du temporel, de l’homme intérieur et extérieur; les racines plongent dans l’Ancien Testament; nous sommes en 751, bientôt en l’An 800; les trois ordres d’Adalbéron, héritiers des lois des pères, des Patriarches de Moise, Abraham et des rois d’Israël, Saûl , David et Salomon, sont en place; l’église, détentrice des connaissances n’a ucuns problèmes pour s’imposer à des barbares ignares, qui possèdent la force, mais pas l’intelligence; en plus les moines ont déforestés, acquis des biens immobiliers, ont la maîtrise des manuscrits, de l’écrit, du latin etc..Nos rois représentent le pouvoir, mais dans l’ombre l’église  a le pouvoir réel;  Charlemagne règne depuis la mort de son père le 25-07-768;  jusqu’en 814, le 28-01-814, 1000 ans avant Waterloo (1815) et 1100 ans avant le déclenchement de la grande guerre 1914-1918.On retiendra de Charlemagne ses nombreuses épouses, Himiltrude, Désirée et Hildegarde , 3 épouses parmi les autres; Lois-le-Pieux est son troisième fils, Charles et Pépin et Louis moururent avant; en 1813 Lois est assassiné sur ordre de son père; il fallait un seul héritier pour l’Empire (813); en fait on peut supposer que notre vision de Charlemagne est idyllique; les conquêtes, le pouvoir ; l’école , l’enseignement sont légendaires; les clercs  et l’église imposent un système éducatif qui sera prolongé par ses successeurs, Lois-le-Pieux en particulier; sacré à Reims  le 05-10-816 par le Pape ÉtienneIV, Louis- le -Pieux, comme son surnom l’indique ne laissera pas des souvenirs impérissables; il gère l’héritage de son père et accentue le rôle de l’Eglise. À sa mort en 840, il reste 3 fils, Lothaire 1er, Charles II le Chauve et Louis le germanique; après maintes péripéties , le royaume reste à peu près en l’état; le titre impérial reviendra à un saxon, Otton le Grand; décidément, c’est une obsession d’être « Le grand » depuis Ramsès le Grand.les carolingiens francs perdent le titre impérial; des incursions wikings et arabes viennent menacer l’empire,, puis le royaume et le trône qui revient à des Robertiens,(Eudes de France en 987 ); les  capétiens  vont reprendre le flambeau après la montée de l’aristocratie et des nobles qui se partagent les biens, les territoires; c’est un robertien, Hugues Capet, né en 939, qui prend le pouvoir en 987 et règne jusqu’en 996; Débute une nouvelle histoire de France .BF;

Mon histoire , mon enfance et adolescence.

Pour échapper à la routine de la campagne,je passais le mois d’aout avec ma mère; depuis la découverte de l’océan en Bretagne et de la mer Méditerranée à Ramatuelle (plage et crique de l’Escalet) grâce aux curés  et aux scouts, ma mère a pris l’habitude de camper avec mon frère Michel et ma soeur Arlette; son compagnon est interne en psychiatrie à Chambéry; on campe dans la pinède au dessus de la plage; nous disposons de 2 tantes, de matériel pour la cuisine, de sacs de couchage et de couvertures; il fallait se procurer l’eau et la nourriture; pour le reste , on pêchait des moules, des oursins, des rascasses et poissons de rochers, des soles  parfois; mon frère et André avaient du matériel de pêche sous-marine; d’autres campeurs, une dizaine, se baignaient avec nous; la plupart étaient nudistes et ces corps nus et bronzés ne me choquaient pas; nous restions en maillots de bains et nous allions espionner ces gens tous nus; les sexes de femmes et d’hommes exposés au soleil me paraissaient bizarre; mais nous n’étions pas pudiques dans la famille; de toute façon, l’absence de salle de bains résolvait le problème; la seule occasion était les douches froides à l’extérieur où nous étions en slip, ce qui choqquait les gens de la campagne; alors des nudistes à l’Escalet, ce n’était pas un problème; j’avais 13 ans à l’époque et encore impubère; ma préoccupation était de me baigner dans une eau si claire, non polluée ; aujourd’hui, le site est construit et de belles villas entourent la plage; une partie est privative avec des grilles et des radars; une villa abandonnée dominait la plage; des graffitis ornaient les murs; des excréments indiquait un lieu où les besoins naturels ne respectaient en aucun cas une histoire, une saga familial, un crime possible; on ne savait pas; des dettes, une faillite, une indivision, un abandon, un décès; le notaire , contacté par ma mère, n’a rien voulu révéler; ce fut un lieu de jeux, de bavardages entre jeunes campeurs; j’ai appris à plonger, à nager et à bronzer; pour des raisons  obscures, l’Escalet est vendu et on ne peut plus camper « sauvagement »; des panneaux interdisent le camping; pour cette raison , ma mère et André imagine et réalise un voyage sur « la Costa Brava »; sans destinée et but précis, nous quittons Lyon à 10 heures du soir, un 31 juillet 1957; la Nationale 7 était redoutable, 3 voies sans ligne du milieu; les accidents étaient fréquents sur la voie du milieu; dépasser révélait de l’exploit; surtout que ma mère possédait une 403 assez poussive; nous passâmes Pont- St-Esprit et son vieux pont romain , puis Nîmes, Sète où nous avions pris un bain à 2 heures du matin, puis Perpignan, le centre ville et bientôt la Frontière, La Junquera; Le régime de Franco se voit dès la frontière: contrôle tatillon, des heures pour rentrer en Espagne; André parlait un peu l’Espagnol, ce qui arrangea nos affaires; nous arrivons sur la Costa Brava, sans destination précise, La Escala, San Féliu de Guixols, Tossa des Mar; la route est longue, étroite, avec des camions qui dégagent de la fumée, des travaux nombreux ralentissent la circulation; les espagnols font les routes avec des paniers pour mettre le goudron; les équipements sont rudimentaires; arrivée à la frontière à 7 heures du matin, nous débarquons à Blanés-des-Mar; impossible de camper avant; on nous signale une grande pinède au Sud du village de pêcheur où loge la garde civile et où campe les jeunes franquistes; après des discussions assez amicales, les militaires nous permettent de s’installer près de leur campements; de grandes tantes et quelques bâtiments en dur pour les toilettes et les commodités; nos hôtes allaient nous fournir l’eau et des avantages  pour les baignades ; le soir la plage était en principe interdite; cette chance était une divine surprise; un camping sauvage payé par Franco; BF

L’histoire du monde, des hommes et de la France.

Les Mérovingiens ont délimité le territoire national, en gros comme aujourd’hui; la Belgique basse, la Wallonnie , faisait partie du royaume franc, par contre la Franche-Comté restera longtemps absente, comme la Savoie et la Catalogne française; toutefois l’Empire ou les Empires de Charlemagne et Napoléon allait bien au delà de ces frontières, toutes théoriques; celles-ci n’étaient pas figées et selon les époques, les circonstances, les mariages, les guerres, les paix, les accords, les alliances, ces pays, régions passaient de pouvoir en pouvoir; les populations n’avaient pas le choix; on dépendait d’un roi, d’un prince, de sa foi, de sa religion; par exemple, le royaume d’Israël a été juif pendant 1000 ans,puis grec, puis chrétien, puis arabe et musulmane, puis à nouveau chrétienne ( royaume de Jérusalem) pendant 100 ans, enfin arabe, turc et musulman et à nouveau juive; les palestiniens de souches ont subi et sont devenus au gré des envahisseurs et des occupants des »chimères » humains polyculturels; l’intelligence des palestiniens trouvent son origine dans ce mélange étonnant; les Israéliens , les Juifs de toutes origines, qui ont été déportés par les Romains, qui ont erré pendant 2000 ans ont retrouvé une patrie, un sol aux dépens de ses habitants; puissent-ils comprendre les autres. l’ONU, la SDN avant, a figé les frontières des états, tout en reconnaissant le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes; ce qui n’est pas toujours appliqué; revenons à nos carolingiens; Pépin le Bref, mari de Berthe ‘ »aux grands pieds », père du futur Charlemagne prend le pouvopir en 751; son père , Charles Martel a vaincu les Arabes à Poitiers; maire du Palais, il laisse sa place à son fils Pépin; avec l’Évèque Boniface, il théorise sur la fonction de roi, prince et prophète; il relie l’Ancien et le Nouveau Testament, et « Saûl devient Charles, joint du saint-Chrême; on comprend mieux les futures trois ordres des successeurs; Adalbéron de Laon va définitivement sceller les lois des pères qui rappellent fortement les lois de Mani -7000 ans; 8000 ans plus tard sur les conseils d’un Pape, un pouvoir temporel, terrestre va devenir  à l’image du Père Céleste l pouvoir spirituel; le Pharaon est de retour; un seul homme à la fois Évêque de l’Intérieur et de l’Extérieur; c’est une théocratie royale; le patriarcat définitif s’installe aux dépens des traditions d’hommes libres des anciennes tribus et peuples celtiques; les druides, Druidesses, chamanes , et sorcières variées et diverses vont subir la dure loi des déviants et hérétiques de sa Sainteté, le Roi divin , en fait sous la tutelle des Évêques et des Papes; les trois ordres d’Adalbéron représentent que trois castes; les Evêques, Clercs  représentent « La Pureté », Ceux qui combattent ou commandent et protègent, les Rois et les Nobles, ceux qui travaillent ou obéissent, les Serfs , les Productifs, les Agriculteurs, ceux qui nourrissent; les autres, surtout « Les Purs » prient, prêchent, consolent, confessent; les Nobles et le Roi protègent contre une éternité, un paradis dans le ciel; les classes moyennes et les pauvres, intouchables ne sont pas mentionnés; mais le principe du PAPA, patriarcat aryen pyramidal et abrahamique est respecté; les femmes ne sont pas citées; elles sont toujours à côté, côte d’Adam oblige; l’Ancien Testament a pris le pouvoir sur le christianisme primitif de l’empathie, de la générosité et de la féminité; le nouveau Testament, Les Evangiles , La Bible réécrite, réinterprétée, réinventée va s’adapter au pouvoir; il reste aux clercs de l’église à inventer ‘Intériorité Spirituelle ». BF.

Mon histoire, mon enfance , mon adolescence.

Pour échapper à cet « enfer » scolaire et patriarcal, nous avions des samedis et dimanches de travail manuel:jardin le printemps et l’automne pour retourner la terre , l’enrichir, planter, semer, mettre du fumier, parfois à la main autour des fraisiers, repiquer, dégager les asperges,surtout désherber, traiter les pucerons, les insectes, le mildiou, les larves, les chenilles, et surtout la « courtilliére »; mon père n’aimait pas ce gros ver blanc; il l’écrasait ce parasite avec plaisir; il est vrai que la courtillière dévaste les jardins; l’arrivée des doryphores sur les feuilles des pommes de terre déclenchait un traitement rapide; je devais les ramasser et les détriure; çà coûtait moins cher que les traitements chimiques; les taupes étaient un gros problème; tous les pucerons, mauvaises herbes, insectes, vers, chenilles étaient « L’ennemi »; nous étions récompensés de nos efforts; en avril commençait la cueillette; les fraises bien sûr, mais surtout la première « jardinière », petits pois, carottes et pommes e terres nouvelles; cueillies à 11 heures, mangées à 12 h 30; « çà fondait dans la bouche »; je ne crois pas avoir mangé des légumes aussi bons; la dégustation des fruits et légumes biologiques du jardin s’étalait sur l’année; les saisons étaient respectées et l’hiver on consommait les endives, les réserves, confitures et conserves; la nature nous apportait le reste; à la campagne, on ne meurt pas de faim, mais les efforts, l’envie de jardiner sont considérables sans parler des heures; celles-ci ne comptent pas; ma boulimie de travail a probablement quelques origines dans cette débauche d’énergie; la visite de vignerons et les vendanges constituaient un dérivatif important; les vignes me nourrissait; la maraude des raisins , des grappes me fascinait, ainsi que la maraude des cerises; le soir, je m’échappais et montais sur les cerisiers du champ voisin ou me cachais dans les vignes; je mangeais ces fruits à l’abondance jusqu’à ce que mon ventre ne puisse plus en absorber; les réactions intestinales étaient parfois violentes; le raisin était traité au sulfate de cuivre; des vacances  se passaient parfois à Villebois dans le Bugey; lieu de fêtes et de vendanges avec René Perrot et ses enfants adoptés , les Vaufrey; je me rappelle des batailles de polochons mémorables dans une vielle maison en pierres sèches typiques des villages  de cette région de vins du Bugey, près du barrage de Génissiat, sur le Rhône.Cette famille de ST-Claude  compta beaucoup dans notre enfance; j’ai suivi en tant que gynécologue de nombreux membres de la famille; je me suis occupé de René pour ses hernies discales et son cancer de la bouche., en fait orienter et conseiller.Le fait que je sois « Médecin », le seul médecin, en plus spécialiste, interne des Hôpitaux de Lyon et gynécologue de surcroît, a déclenché dans notre communauté jurassienne des réflexes de consultations permanentes; ma fille Éléonore, généraliste à Baume-les-Dames, a le même problème ou soucis, soigner sa famille élargie.BF.

Mon histoire, mon enfance et adolescence.

Mes autres préoccupations, en dehors des études difficiles; il faut rappeler que mes notes étaient fonction de l’estime que je portais à l’instituteur ou à l’enseignant de Maths;   je ne sais pas pourquoi, j’ai toujours eu des professeurs de mathématiques que j’aimais; déjà il dégageait une force qui m’impressionnait; ma facilité pour les mathématiques venaient de l’enseignement de mon père pour la logique et du père As; au sol mon père dessinait des carrés, des cercles, mettait des chiffres en égalité, de l’algèbre ( çà= çà); parfois il était désespéré devant les évidences que je saisissais pas; au bout de nombreuses tentatives, j’avais compris et une lumière s’allumait chez mon père; je l’aimais beaucoup dans ses moments d’apprentissage; son fils n’était « pas con »; j’étais assez obéissant dans l’ensemble; mais il fallait une admiration, une certaine justice, quelqu’un qui transmet, qui fait ressentir et je regrette de constater que ces gens-là sont rares; ce que j’ai ressenti de ma scolarité: des professeurs formatés dans leurs disciplines avec des programmes peu renouvelés, des spécialistes de l’histoire, du français, des langues, ancrés dans leurs certitudes de « Maîtres »; la supériorité du maître sur l’élève, le bureau sur une estrade, le dos tourné ou le regard froid vers une classe tremblante ou indisciplinée; in n’existait aucun « esprit » de classe; celle-ci reflétait la domination des pères, des maîtres; « Le maître a toujours raison » répétait mon père; les femmes professeurs enseignaient aux filles; j’ai eu un professeur féminin en Sciences naturelles; elle était belle ,j’étais en seconde; j’étais absorbé par sa féminité et le cours se passait bien; je voulais travailler pour elle et non pour moi: l’orientation Math et Sciences était prise; l’éducation républicaine n’est pas adaptée au plus grand nombre; l’élitisme, les notes, les meilleurs ont toutes leurs chances; c’est pas un problème de moyens, c’est un état d’esprit catastrophique; carrières, syndicats, arrêts de travail, vacances et dépressions jalonnent cette profession que je connais bien; on retrouve en médecine les mêmes défauts; le patriarcat pyramidal fait ses ravages partout; les opportunistes, les déviants s’adaptent très bien au système: experts, planqués, auditeurs, conférenciers bavardent pendant que les « actifs » bossent; les libéraux, les boulangers, les artisans, les restaurateurs etc..L’irresponsabilité se cache derrière des arguments fallacieux de diplômes; c’est tout pour aujourd’hui; je suis de mauvaise humeur ce dimanche matin, c’est pas bien88BF.

L’histoire de la vie, du monde et des hommes.

Pour une fois, je ne vais pas alterner les articles sur mon enfance et l’histoire; Les Mérovingiens débutent avec Clovis; j’ai peu parler de l’histoire gallo-romaine, période de paix, de constructions de ponts, de palais, de routes, de villes, de nombreuses maisons et temples; on trouve en France de nombreux vestiges et ruines de cette époque; des amphores, des objets, bijoux, le Pont du Gard, les monuments d’Arles, les arènes de Nîmes etc..L’époque gallo-romaine dure près de 4 siècles: de -52 (jules César) à 496 après Jc,  avec la dynastie mérovingienne; Mérovée a donné son nom à la dynstie, mais c’est Childéric 1er et surtout son fils Clovis, qui , après avoir battu le légionnaire romain Syagrius et les Alamans, s’empara des territoires de la Belgique Seconde, c’est à dire La Gaule Septentrionale; puis il conquit l’Aquitaine des Visigoths convertis au catholicisme, les battit à Vouillé en 507; il renonça à prendre la Provence de Théodoric; le royaume Franc venait de naître; Clovis se convertit à reims et fit de Paris sa capitale vers 507; le peuple des francs, La France, ; à sa mort, en 511,,le royaume est divisé entre ses 4 fils; Thierry à Metz, Clodomir à Orléans, Childebert à Paris et Clotaire à Soissons; Réunifié sous Clotaire 1er, divisé à nouveau par les fils de celui-ci, les descendants s’entendent pour étendre le royaume; les burgondes abandonnent en 532 la vallée du Rhône et la Provence; les Francs occupent la totalité de l’Ancienne Gaule; malgré les divisions, les assassinats,  (Clodomir), les querelles entre Sigebert et Childéric, entre les épouses, Frédégonde et Brunehilde; celle-ci fait assassiner Sigebert, les enfants de Clidéric, son mari en 584,  et Childebert II en 596; après 50 années de troubles Clotaire II réunifie le royaume et rassembla ou annexia l’Austrasie, la Neustrie la Burgonde (Bourgogne); clotaire II meurt en 629 et lègue à son fils Dagobert 1er le royaume; celui-ci s’agrandit jusqu’au Danube; en 639  Dagobert, ce roi qui »mettait son pantalon à l’envers », se marie à Gomatrude; Lentement le pouvoir des  Mérovingiens déclina; ce fut la période des « rois fainéants »; l’invasion arabo-berbère réveilla  le royaume et le nouveau roi , Charles Martel les arrêta à Poitiers en 632; il se fâcha assez rapidement avec l’église, le pape Boniface; à sa mort, son fils Pépin le Bref conclut un accord avec le pape Zaccharie; il fit emprisonné le dernier mérovingien et se fit proclamé roi en 754 à St-Denis; son avènement marqua le début des rois carolingiens, nom de son fils Charles; Que retenir de cette période,; une organisation patriarcale, le roi, le Connétable, le Maréchal, le référendaire et surtout le Maire du Palais, un premier ministre en quelque sorte; les relais en province se faisait par Comtes ou compagnons, base d’une noblesse naissante; la vie ressemblait assez à la vie romaine de l’époque et en dehors de l’unification d’un royaume qui ressemble à notre France d’aujourd’hui, les mérovingiens ont laissé des souvenirs de luttes fratricides; les carolingiens avec Charlemagne vont créer un empire, l’école, des lois importantes et un souvenir inoubliable ; celui dont les écoliers sont fiers. BF.

L’histoire du monde, de la vie et des hommes.

Comme je l’ai déjà exprimé, mon intention n’est pas de tout raconter; les repères historiques comme les moments de sa vie retracés, mémorisés avec toutes nos mémoires, 7 d’après les spécialistes, encastrées comme des poupées gigognes, structurées de telle façon qu’on retienne l’essentiel; la mémoire de l’humanité, ma mémoire , l’histoire peut être tronquée, déformée, pour mentir; notre déviance naturelle à occulter ce qui nous gêne, fait que notre histoire personnelle peut aussi mentir; ce qu’on appelle le déni, la fausse transparence, se heurte aux réalités historique, aux faits réels; la responsabilité n’incombe pas forcément aux générations suivantes; les repentances, les droits d’expression doivent pouvoir s’exprimer en dehors des remises en cause historiques; on ne peut nier les génocides, la Shoah, le génocide arménien; les négationnistes s’appuient sur des interprétations fumeuses; alors oui, pour la mémoire, l’histoire; laissons les historiens travailler et interdisons aux hommes politiques d’utiliser  les génocides comme un empêchement du droit d’expression; cette utilisation politicienne et électoraliste de la repentance d’un état est u scandale; personnellement , je ne me sens aucunes responsabilités dans les crimes nazis et le régime de Vichy qui s’y est associé; par contre , les camps de concentration, d’extermination,les ghettos, les déportations de Juifs, Arméniens, le Régime Khmer Rouge de Pol-Pot, etc sont des faits réels et cette mémoire doit nous interroger sur nos déviances personnelles et collectives où les théoriciens  des soi -disantes injustices sociales doivent faire leur « Mea Culpa »; Robespierre, ST-Just, Marx, Lénine, Trotski, Che Guevara et tous les autres;  les révolutions amènent toujours d’autres injustices souvent pires; il faut justifier, punir, massacrer, abattre les profiteurs d’avant; des hommes remplacent d’autres hommes, aussi masculins, guerriers qu’avant; la testostérone est toujours là; des barbares remplacent d’autres barbares; dans les pseudo-démocraties, une fiscocratie de droite ou de gauche remplace l’autre; on aime les riches ou on les déteste , mais on fait vite comme eux; un fils de mineur devenu président de région, député et maire est capable de dépenser des milliers d »euros aux frais de la « princesse » (lire Rose Mafia); ce monsieur a très vite oublier ses origines; mon histoire est celle de mes origines et j’espère qu’elle va se croiser avecl’histoire de l’univers, de la vie , et des femmes du monde puisque « nous sommes des femmes mâles et des femmes femelles ». BF.

Mon histoire, enfance et adolescence.

Mes 7 années à Attignat, Bourg-en-Bresse, et les vacances à Lajoux ont  été parfois entrecoupées d’épisodes de déplacements, de vacances avec ma mère, de couchages dans la famille chez mes oncles et tantes; à Lyon, par exemple , chez » Tonton Croissant », l’oncle Robert Jaillet, chemisier, qui coupait et fabriquait  des chemises sur mesure aux Bourgeois de Lyon, en particulier les hommes politiques, le Maire Édouard Herriot, puis Louis Pradel, tous des radicaux et des franc-maçons; ma tante tenait un magasin de vêtements et elle m’habillait; j’ai donc eu mon premier pantalon à 13 ans; un pantalon de golfe avec des grandes chaussettes; enfin je pouvais ne plus avoir froid l’hiver; depuis mon en enfance , on était habillé en culottes courtes; au lycée , la blouse était obligatoire; grise et mal coupée; on était tous logé à la même enseigne; pas de « classes sociales »dans les classes; pas de différences; on avait des cours d’instruction civique et religieuse; l’uniforme tendait à l’uniformité; les garçons étaient séparés des filles; la mixité viendra lorsque j’aurais 18 ans; mon père s’habillait peu; l’argent pour la nourriture, pour le quotidien ne lui permettait pas de s’habiller; les médecins n’étaient jamais appeler; l’aspirine, la teinture d’iode, le bleu de méthylène, les ventouses, les infusions, le jeûne, la soupe, les plantes, le rebouteux était sa médecine; en dehors des vaccinations, des visites des médecins scolaires je n’ai quasiment jamais vu de médecin à la maison; à St-Claude , nous avions le Docteur Chemelle, père de 5 enfants dont 4 filles superbes; son fils unique a fait ses études de Médecine à Besançon et je l’ai fréquenté de nombreuses années après mon installation; il est radiologue à Lyon; son père , médecin généraliste, à St-Claude, rue du Pré, m’avait fait opéré des végétations et des amygdales sous éther; le réveil et les suites étaient très douloureuses; je ne pouvais rien avaler; mon calvaire durera 3 jours chez ma grand-mère; j’ hurlais à la mort; mes souvenirs médicaux sont essentiellement  ceux de ma gorge; par contre mon attirance pour la médecine restait concentrée autour du jeu du Docteur; ma soeur Catherine se mettait toute nue sous mes ordres et j’effectuais piqûres, palpations, massages etc ..j’avais 7 ans!! ma curiosité pour l’anatomie, la macroscopie, l’observation, puis la microscopie grâce à mon cadeau: »un microscope » offert par ma marraine; je pouvais exercer mon art  et mon regard de curieux; il n’y avait pas de médecins dans la famille; je serais le premier et ma fille, mon cousin « Le petit quinquin », mes neveux et nièces; 5 suivront ma voie; mon expérience d’enfant aurait pu m’éloigner de ce métier si passionnant, si révélateur de la vie et de la mort, ce mélange permanent auxquelles sont confrontés les hommes et femmes  conscients de la terre. BF.

L’histoire de la vie, du monde et des hommes.

Mon ambition n’est pas de tout raconter; vous le savez, l’histoire écrite ment, l’histoire vraie est cachée; par contre les faits historiques, les preuves paléontologiques, les fouilles, les livres , les manuscrits, la recherche contribuent à décrire la réalité, une certaine vérité historique; entre la fiction, les inventions,le symbolisme et la réalité-vérité, les hommes ont volontairement écrit ou réécrit l’histoire pour la déformer, la falsifier, la romancer, en fait la trahir pour les mêmes raisons: « la défense du patriarcat »; les hommes ont horreur de la vérité historique sur la peur des femmes; chaque fois qu’une petite avancée pour une plus grande justice sociale a pu se produire dans l’histoire , les femmes en ont été exclues par les religieux; la démocratie athénienne a exclu les femmes; la révolution française n’a rien fait,et étrangement les femmes arabes d’aujourd’hui se font voler leur combat et engagement pour la liberté; la » charia est de retour » alors continuons de parler des grands hommes, tous les grands; Alexandre le Grand, César , Auguste, bientôt Carolus Magnus ( Charlemagne), Pierre le Grand, etc..notre président Charles de Gaulle était grand, « carolus de la Gaule », Napoléon était petit par contre; mais tous était grand par les conquêtes, le pouvoir, les femmes, le trône, ; la liaison avec le pouvoir spirituel est constant et l’obéissance au Pape dans notre Occident naissant est une constante de l’histoire; pour divorcer, se marier, se faire roi, président, empereur, il faut passer par une décision papale; les combats homériques entre les rois et les papes sont très fréquents; il faudra attendre les accords de Latran pour clore une histoire longue et vaticanesque; l’Eglise continue de jouer un rôle politique énorme et disproportionné; les présidents américains jurent sur la Bible au moment de leur élection et prise de leur fonction; le prince de Monaco s’est marié dans un cadre catholique étouffant; les envahisseurs barbares  pour la plupart, adorant les Dieux celtiques, Taranis, Ésus et Toutatis, et parfois les Dieux nordiques des Wikings, par exemple, Odin et Watan, et obéissant aux druides, prêtresses et valkyries, trouvent dans la conversion une solution pour garder le pouvoir; un seul Dieu est plus simple; nous trouverons de façon constante cette problématique du pouvoir patriarcal basé sur le mensonge ou l’oubli ou l’absence ,ou le déni historique: quid de la continuité Akhénaton- judaisme, du greco-bouddhisme, des khazars, de l’enfance chrétienne ce Mahomet, Amin de Gazaoui; les « Patriarches, Abraham-Moise, Jésus-Mahomet »les Messies,les fondateurs des monothéismes sont un peu La CGT, La CFDT, et FO; les 3 syndicats majoritaires des religions qui absorbent la plupart des croyances des humains; à part le bouhddisme, les autres religions ont peu de place; mais les Athées et les non-pratiquants sont majoritaires en France; alors Clovis s’est converti; l’histoire parle  » du vase de Soissons » appartenant à l’Évèque de Reims cassé par un guerrier de Clovis; celui-ci le paya de sa vie ; on parle  de Clothilde et du sacre de Clovis ,ou plutôt de son baptême à Reims vers 496-499 après JC;  les Mérovingiens débutent l’histoire de France. BF

Mon histoire, mon enfance et adolescence.

j’ai déjà insister sur mes occupations campagnardes, mes études, je vais parler de sports, de vacances espagnoles, de mes lectures favorites , et d’anecdotes et souvenirs qui m’arrivent au fur et à mesure que j’écris; le sport ne constituait pas d’envies préférentielles; j’étais actif physiquement, mais des entorses au ski, des blessures avaient créer une certaine méfiance en moi pour les sports en général; mon frère ,par contre, joueur en tout, aimait « la gagne », les exploits, la performance ; moi , j’aimais plutôt le collectif, le jeu, mais peu l’effort pour l’effort; mes endorphines m’ignoraient; par contre j’étais résistant et je pouvais marcher des heures pour grimper, courir pour atteindre le sommet, par principe, sans me mettre une pression particulière; je revenais souvent à la maison après des heures de marche, de cueillette; il me fallait une raison de contraindre mon corps; cette raison était plutôt mentale; mais le combat, la guerre, les numéros un, ce n’était pas mon « truc »; j’aimais les poupées, les habits, la couture, les cahiers, le dessin, la peinture; à ce propos, j’ai eu un professeur de dessin extraordinaire et les deux heures passées à dessiner, à peindre étaient un grand moment de joie au lycée; ces cours là, je ne les loupais jamais; je pense que les cours et dessins d’anatomie futurs , mes expositions des années 1990, mes peintures  futures datent e cette formation lycéenne; lorsque il a fallu faire du sport, des cours d’éducation physique, je n’aimais pas la gymnastique, les assouplissements, les abdominaux, les pompes; mais j’étais assez souple et résistant; mon engagement alla au rugby; le professeur de gymnastique, kiné à ses heures, était entraîneur au club de rugby de Bourg; les « violets »; ce club était le concurrent du club de St-Claude , à l’époque en 1ère division; les affrontements St-Claude-Bourg-en-Bresse donnaient lieu à des combats féroces qui tournaient parfois aux pugilats et cartons rouges; j’ai commencé comme minime, puis cadet, enfin junior B; nous fûmes vice -champion junior B , j’avais 16 ans; une photo me représente captant le ballon; je jouais 2ème ligne à l’époque de cette photo qui a été entouré par mes enfants et petits-enfants; elle est accrochée dans une petite pièce du haut; puis j’ai joué 3 ème ligne et ailier en junior A; j’ai continué en faculté de Sciences et abandonné en médecine; l’athlétisme  a été une année de défense du lycée, il n’y avait personne pour le 1000 mètres et j’ai battu le record du département; 2 minutes 56 pour mon premier 1000 mètres!!!après un dernier tour où je dépassais tout les concurrents; le tennis était un prétexte pour voir les filles du tennis-club; mon frère était déjà classé 1/6; mes études de médecine, puis mon installation ont contribué à l’abandon du sport; j’ai gardé la natation et la marche; j’étais aussi sauveteur et plongeur et j’avais passer les stages de moniteur pour être moniteur de colonies de vacances ; lorsque j’écris sur les bienfaits de l’activité physique, je mets le sport à part; BF.