les clés de la santé

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25 mars, 2012

L’histoire de France, l’histoire du monde.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 11:39

Des Capétiens Valois, de Philippe VI le Valois, à François Ier, en passant par Jean II, Charles V, Charles VI,  Louis XI, Charles VIII, Louis XII et François Ier, on retiendra tout l’épisode de la deuxième guerre de Cent-Ans, Crécy, Poitiers, Orléans, Azincourt, la dynastie de Bourgogne de Philippe le Hardi à Charles le Téméraire; les personnages de Jeanne d’Arc, Charles le Navarre, de Dugesclin, du prévôt Étienne Marcel, , d’Anne de Bretagne, de Bayard, du cardinal de La Balue etc..on retiendra que le royaume de France à l’agonie sous l’invasion anglaise des Plantagenêts et de ses successeurs, divisé en deux s’est reconstitué progressivement de puis Jeanne et Charles VII par le mariage d’Anne de Bretagne au fils de Louis XI, Charles VIII; la guerre contre les Bourguignons et la mort de Charles le Téméraire met fin à la division du royaume; la guerre de Cent-Ans aura dominé cette période ; aujourd’hui les anglais reviennent de façon préférentielle habiter en  Aquitaine, Normandie; le tombeau des Plantagenêts se situe à l’abbaye de Fontevrault en Sarthe (72) ou abbaye d’Epau. l’épopée de Jeanne d’Arc dite « La pucelle », le sacre de Charles VII, le siége d’Orléans, sa capture , son procès et son exécution par l’évèque Cauchon et les anglais pour hérésie, mortre brûlée vive sur le bûcher à Rouen; un autre épisode du début de cette longue guerre, c’est la reddition de Calais et des bourgeois de Calais remettant les clefs de la ville la corde au cou en chemises blanches ; le 17 juillet 1473, la bataille de Castillon met fin à la guerre de cent ans; les bordelais aidés par Charles VII battent les anglais; le départ des anglais de Calais ne sera effectif qu’en 1559, après un bref départ en 1337; cette période marque le départ des cantons suisses qui résistent à Charles le Téméraire et depuis la confédération helvétique ne sera jamais inquiétée dans des conflits impériaux, mondiaux etc..il faut parler du début de la Réforme protestante avec Luther (1517 les 95 thèses,1483-1546), puis Calvin à Genève; ;les croisades deviennent secondaires, les combats contre les hérésies, la Réforme, les conflits territoriaux français prennent le pas sur l’expansion; une fois l’unité retrouvée sous Louis XI et Charles VIII, la Renaissance arrive avec ses corollaires , les guerres d’Italie, les grandes découvertes etc..BF.

Mon histoire , mon adolescence.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 10:38

Je vais quitter bientôt Attignat, Bourg-en-Bresse pour Lyon et mes études de Médecine; en résumé une enfance et adolescence marqués par une certaine adaptation aux circonstances de la vie inconfortable, froide dans la réalité hivernale ( mon premier golfe à 15 ans), éduqué pour obéir à un système vertical et patriarcal de la famille et de l’école, parfois de l’entreprise, je ne m’étais pas trop débrouillé , je n’étais pas trop introverti, pas trop déviant, pas trop pervers, j’étais plutôt timide, gentil, naïf peut-être, impressionné par le monde, les mondes que j’ignorais: la ville, les gens aisés, les causeurs, les séducteurs, les expérimentés du bavardage, les doués des grandes écoles, les politiques, les tribuns, les acteurs etc..je sortais de « Ma Campagne »; les langues m’étaient étrangères, mes otites répétitives et mes perforations tympaniques depuis le plus jeune âge y sont pour quelque chose; la musique en général ne m’attire pas; les femmes me captivaient, mais le temps imparti pour des éventuelles séductions fut extrèmement restreint; un peu à Attignat, un peu pendant les vacances à Blanès et très peu aileurs; une fois pendant les colonies; je voyais ma mère très peu, ma belle-mère s’occupait de moi comme un fils; ainsi que de mon frère plus tard; elle n’a eu que des filles; j’étais donc arrivé à fuir le lycée Lalande qui me sortais de la tête, des trous de nez et des yeux; mes 2 Bac en poche, un brevet, j’étais programmé pour médecine; je sortais de Sciences-EX et je m’inscrivis en 1962 à PCB (physique-chimie-biologie), nous avions la capacité de coupler cette année avec la 1ère année de médecine; mais celà représentait un travail énorme; je me suis concentré sur PCB pour passer en médecine l’année suivante; il a fallu s’associer à d’autres étudiants qui avaient redoublé; le schéma ne fut reproduit qu’une seule fois; jusqu’à la suppression du PCB; à l’époque les littéraires s’inscrivaient en propédeutiques, les matheux en grande écoles, les autres en droit; ce qui créaient des communautés très différentes; les restaurants universitaires, les bibliothèques, les bars et cafés , les boites de nuit brassaient, rassemblaient tous ces étudiants venus de tous horizons; j’étais logé dans un premier chez une cousine, la tante Yvonne, puis j’ai intégré une chambre universitaire lorsque j’ai reçu ma bourse; et rapidement , l’année suivante ayant connu Denis Grégoire, fils d’un ORL d’Avignon, j’ai pu habiter un joli petit appartement de 3 pièces cuisine, avec Salle de bains et cuisine, un paradis!! Les parents Grégoire me louait une chambre et cette location ajoutée au transport en bus, aux repas universitaires grevait mon budget très serré; mais çà allait; je ne fumais pas, ne buvait pas et on mangeait parfois « à la maison »; surtout « hallal » parce que çà coûtait moins cher; le matin c’était les cours, le midi le restaurant U avec ses queues interminables, ses plateaux crasseux, ses odeurs de cuisine, son inconfort; j’ai échapper à cette ambiance de RU pour une hépatite virale A pendant un an où la médecine scolaire m’a permis de prendre mes repas rue de la liberté dans un restaurant médicalisé remarquable; un an de nutrition saine, matin et soir qui m’a permis de me rétablir d’une mauvaise hépatite attrapée avec des conserves du RU; transaminases à 2200 ui, jaunisse extrème, température à 40° pendant huit jours, selles blanches etc .. plus de 6 mois pour me remettre; ce mélange de liberté, de communautés estudiantines, de complicités sans entraves, sans ordres établis, de cours universitaires sur des bancs inconfortables, de cours communs partagés collectivement recueillis et échangés  me plaisaient; pas de notes, pas de numéros un, pas d’élites; des étudiants venant d’endroits, de lieux différents, de parents plus ou moins aisés; dans notre bande un seul possédait un véhicule, une 2 CV: il s’appelait Jean et venait de Lons-le Saunier; tout ce mélange dégageait une dynamique très différente de ma campagne et toute mes forces étaient consacrées à cette chance merveilleuse qui s’ouvrait d’un coup et il est vrai que mes études médicales furent l’inverse de mes études secondaires: « un autoroute » .BF

Histoire de france, mon pays.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 9:47

Je ne pourrais séparer mon histoire de celle de mon pays; c’est pourquoi , en dehors d’événements historiques majeurs, je ne pourrais parler de tout; par exemple, les croisades font partie de mon histoire, les grandes découvertes, la Renaissance font partie de l’histoire de l’Europe et du monde; l’histoire de la Chine, des empires et dynasties chinoises sont passionnantes, mais seraient trop longues  pour mon histoire; les interférences des histoires de chaque peuple, de chaque pays, de chaque civilisation, de chaque religion, de chaque continent, de chaque langue,  sont évidentes et la mondialisation économique actuelle reflète encore plus cette nécessité de coopérer, de transmettre, de communiquer entre les peuples; le dernier livre de « Jérémy Rifkin, La Troisième Révolution industrielle » témoigne de cette prospective techno-sociétale du futur; les énergies renouvelables, le lien social, la décentralisation, les bâtiments et logements en micro-centrales indépendantes, les techniques d’internet et les économies d’énergie liées aux nouveaux modes de vie, seront les bases d’un monde connecté, interdépendant, solidaire;  c’est pourquoi l’histoire de France, de ses rois et reines, de ses présidents de la République ensuite est déjà assez longue pour résumer à son niveau une histoire des hommes soumis du Nord au Sud, d’Ouest en Est aux mêmes lois patriarcales, lois des pères ou des ordres;nous avons peu parlé de la guerre des Gaules , de Jules César et de Vercingétorix, de la bataille d’Alésia, vers -50; le site d’Alésia n’est pas toujours retenu et les polémiques entre la Bourgogne et la Franche-Comté à Chaux-les-Crotenay près de Syam continuent ..  Alors des capétiens directs, de Hugues Capet à Philippe le Bel, quels événements à retenir: 1066, La conquête de L ‘Angleterre par Guillaume, duc de Normandie (Rappellons que Les Vikings avaient débarqué en Normandie et assiégé Paris ou Lutèce en 885); c’est la fameuse bataille d’Hastings qui assura à Guillaume le Bâtard la victoire sur Harold roi d’ Angleterre à l’époque; les personnalités  en dehors de Guillaume de Normandie, les rois , Robert II, Henri Ier, Philippe Ier, Louis VI, Louis VII, Philippe II, Louis IX, de cette longue périodede l’An 1000 ( Ier millénéraire et ses effets sur les personnes), la Chevalerie, la naissance du Catharisme, la Croisade des Albigeois, la Papauté d’ Avignon, le procès des Templiers et de Jacques de Molay, grand-Maître de l’ordre; leurs biens seront confisqués par Philippe le Bel et géré par les Hospitaliers; c’est aussi la période des premières Croisades de 1099 vers 1300, du royaume de Jérusalem qui aura duré 2 siècles de 1099 à 1291 , chute de St-Jean d’ Acre; c’est la première guerre de cent ans entre le Plantagenêt marié au début à Aliénor d’Aquitaine divorcée de Philippe; les Anglais s’emparent de la moitié du royaume; Henri Plantagenêt restera inhumé en France; c’est aussi la période de Richard Coeur de Lion et des légendes tournant autour de da vie, ses croisades, sa capture et libération des musulmans, son retour en Angleterre et son combat contre  son frère Jean qui a failli donner la couronne d’ Angleterre à la France (Louis IX); bien sûr il faut évoquer Goedefroy de Bouillon et la prise de Jésuralem en 1099 par les croisés; BF.

19 mars, 2012

Mon histoire, mon enfance, mon adolescence.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 16:13

Le triangle Bourg-en-Bresse, St-Claude, Lajoux , avec des sauts à Lyon, en Espagne et dans le midi à L’Escalet va constituer la base de mon adolescence; mon père m’a repris en mains après les épisodes Sanclaudiens; l’installation à Attignat, à l’école primaire du village, à la campagne, avec ma belle-mère, institutrice et mes demi-soeurs, est à la fois une rupture et une continuité dans l’inconfort, l’éducation républicaine et religieuse, la domination du père; j’avais chaque jour la pression de celui-ci, alors qu’avant c’était une fois toutes les semaines; entre le lycée, le jardin, les travaux divers et variés, il n’était pas question de repos; les livres d’histoire, de contes et légendes me permettaient de m’échapper à l’ordre établi; la présence du père était constante , même lorsqu’il était absent; le lever à l’aurore, y compris le dimanche aux sons de musiques militaires, le plus souvent des champs guerriers des soldats de la garde de Napoléon, les fameux grognards, la journée à faire du jardin, à désherber, à planter, semer, retourner la terre, défricher, couper, ramasser, nettoyer, le soir à faire les devoirs et puis à se coucher au froid  avec des édredons et bouillottes l’hiver; on appellerait aujourd’hui ces conditions de la précarité énergétique; le poids du père se traduisait par des comportements de dureté, de violences parfois envers  moi,mais aussi  envers tous ses proches; les professeurs, les curés, les autres hommes étaient sur la même longueur d’onde; parfois des voisins, membres de la famille , des femmes , des amis semblaient différents, plus doux, plus tendres; j’ai dû me forger une carapace pendant ces 7 années, mais j’avais un modèle familial tout désigné; j’étais programmé, père de famille; travail, responsabilité, une famille, des enfants, ; pour le travail, mon père me récompensait « tout travail mérite salaire »; le soir après une ou deux journées de labeur, je retrouvais  de l’argent sous mon assiette; comme je n’avais pas de très bonnes notes au lycée, mes récompenses « en espèces sonnantes et trébuchantes » ne tenaient qu’à un travail manuel; mon père a toujours embauché des femmes de ménage; en dehors d’Alice, ma nourrice, je me rappelle  de Solange; je devais plus tard m’occuper de ses problèmes de stérilité; et sa fille Alexandra est née à Besançon d’une césarienne un 14 avril ; mon père est le parrain de cette fille ; » le droit de cuissage « faisait partie de ses prérogatives et je n’ai pas de preuves formelles de ses applications à la maison, que des rumeurs ou des soupçons; mon père travaillait beaucoup, de 5 heures à 19 heures et il ne supportait pas les loisirs et la fainéantise; hors de question de grasses matinées et d’heures inutiles; « Ne remets jamais au lendemain ce que tu peux faire la veille »; nous dépassions largement les heures pour terminer un travail commencé le matin; il fallait finir , il fallait être efficace; le travail terminé, , correctement fini rendait mon père heureux, plus que l’amour d’une femme ou d’une épouse; pas de sentiments à la maison; du temps perdu, l’amour platonique; l’amour charnel, la puissance virile, le travail éjaculatoire était réservé au » coq »; l’imprégnation testostérone de la société était normal; les héros, les guerriers, les grands sportifs, il préférait le rugby au foot-ball, plus viril avec ses bagarres d’avant, les sports de luttes , de combats représentaient l’homme; Spartacus, les gladiateurs, Rome , Alexandre le Grand, étaient des exemples. Mon père a eu 7 enfants avec 3 femmes différentes dont 2 mariages; il aimait le principe de la tribu,lui en étant le géniteur, le concepteur, le chef, le patriarche; il a gardé sa chevelure argenté jusqu’à sa mort; mon père était séduisant, beau, je pense, séducteur, mais pas gentil vraiment; généreux, aimant la bonne cuisine, le bon vin; gros fumeur, cigarettes, gauloises, gitanes-maïs, cigares, apéritifs, digestifs, il a su s’arrêter, d’abord de fumer, puis être sobre à la fin de sa vie; malgré des pathologies sévères, prothèse de hanche, prostatectomie, insuffisance cardiaque il a tenu presque 18 ans sans problèmes avec des opérations, traitements et une pile; il est décédé brutalement d’un arrêt cardiaque dans son jardin à 88 ans (il était né le 1er mars 1919); il n’aurait jamais supporté une maison de retraite; que retenir de mon père, une grande intelligence au service des autres, une générosité, un bon vivant, une résistance hors du commun, un sens inné de la vie, une résilience aux épreuves matérielles, une méconnaissance totale de la féminité reléguée au rang des accessoires, de la jouissance des mâles, de la servitude, de la reproduction, mais il pouvait être gentil de façon exceptionnel; le fait d’être né d’une mère à l’ancienne et en plus dernier de 4 enfants de parents âgés ( ma grand-mère Irma a eu mon père à 41 ans), son mariage précoce à 19 ans, ses conquêtes faciles, ses études  (Bac à 18 ans), son service militaire à Saumur (cavalier émérite), la guerre de 1940, ses rapports aux femmes étaient programmés; l’homme domine comme dans les livres, la Bible, le Coran, l’Ancien et le Nouveau Testament; il obéissait à l’ordre patriarcal sans se douter qu’il était formaté, manipulé; je pense qu’il ne s’est jamais posé la question; malgré une retraite facile matériellement, mais plus difficile psychologiquement; « Un monde qui foutait le camp », qui ne ressemblait pas au sien; les femmes , en particulier, ses 5 filles, ses gendres plus féminisés, les loisirs, divertissements, les vacances, ce n’était plus son truc; il votera FN à la fin de sa vie; le monde testostérone familial avait changé, mais il n’ a pas perçu l’adaptation du patriarcat au monde de la finance et du retour du religieux; je pense qu’il n’aurait pas compris; lui; un père exemplaire, dernier maillon de la loi des pères.BF.

L’histoire de France.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 13:17

Comme je l’ai indiqué dans l’article précédent, l’histoire des capétiens et des rois et reines de France qui s’interrompt à la mort de Louis Philippe  et après la révolution de 1848, est une suite de noms, de dates, d’anecdotes qui vont structurer le paysage de notre hexagone; celui-ci n’a pas fondamentalement changer; ses limites sont naturelles, bordées par 2 mers à l’Ouest et au Sud, par 3 chaînes de montagne, à l’Est , au Sud, par les Ardennes au Nord, ; la Gaule de César, la France de Clovis, la France d’aujourd’hui se ressemblent ( malgré les guerres, les pertes de territoires, les gains de territoires); en fait pour conserver notre géographie, notre langue, notre culture, nos traditions, que de conflits, d’alliances, de mariages, de révolutions, de restaurations;  les mérovingiens et les carolingiens ont débuté ce scénario ; les capétiens dont l’origine est Hugues Capet qui a régné à partir de 987, sont la plus grande dynastie royale du monde; elle a donné 37 rois à la France, 13 rois à Naples et la Sicile, 10 rois à l’Espagne, 4 rois à la Hongrie, 3 rois à la Pologne, 2 Grands Ducs au Luxembourg, 3 Empereurs à la Romanie (Constantinople) et par voie illégitime 32 rois au Portugal et 2 empereurs au Brésil. Les Capétiens se divisent en Capétiens directs, de 987 à 1328, à Philippe IV le Bel; puis les Capétiens Valois, issus de Charles de Valois, frère de Philippe le Bel, de Philippe VI de Valois (1328-1350), à Jean II le Bon(1360-1364), à Charles V le Sage (1364-1380), à Charles VI le Fou (1380-1422), à Charles VII le Victorieux (1422-1461), à Louis XI le Prudent (1461-1483), à Charles VIII, l’Affable (1483-1498), au Capétiens Valois et rameau d’Orléans, Louis XII (1498-1515); puis le rameau d’Angoulême, François Ier (1515-1547), Henry II 51547-1559), François II (1559-1560); Charles IX (1560-1574) et Henri III (1574-1589) ; puis après les guerres de religions, les Capétiens Bourbons, Henri IV de Navarre, Louis XIII,(1624-1643) Louis XIV (1643-1715), Louis XV,( 1715-19774)  Louis XVI (1774-1793); l’épisode intermédiaire de la Révolution Française , du Directoire, du Consulat et du Ier Empire( Napoléon Ier); la  restauration avec Louis XVIII , 51814-1824), puis son frère Charles X chassé du trône en 1830, enfin Louis Philippe jusqu’en 1848. Cette période capétienne s’étale sur 861 ans, huit siècles; il serait impossible de tout dire, de tout raconter cette histoire de France, la mienne; on peut évoquer la guerre de cent ans, Jeanne d’Arc, Les Croisades, les guerres de religion, la St-Barthélémy, la poule au pot d’Henry IV et de son Ier ministre Sully, le camp du Drap d’Or sous François Ier, les batailles, gagnées et perdues , Crécy, Marignan, , les paix , Nimègue par exemple, , les ministres importants, Sully, Richelieu, Mazarin, des massacres d’hérétiques, les Cathares, l’inquisition, l’excécution des templiers par Philippe le Bel,  etc.. mon but est de se repérer dans le temps; les dates sont des repères de l’histoire et structurent notre pensée; en parallèle de l’histoire de France se déroule l’histoire des autres pays et peuples; la découverte de l’Amérique, les Conquistadors, les colonies, les empires coloniaux portugais (Brésil, en particulier), espagnols (du Mexique à l’Amérique du Sud), anglais (Inde, Amérique du Nord etc..), français bien sûr (Afrique, Canada, Asie), l’esclavage, le progrès technique, , le confort, les monuments, les châteaux, les cathédrales etc..que d’événements, que de misères, que de famines, que de guerres, que d’assassinats,guerres de successions pour le pouvoir; le pouvoir des hommes sur les hommes!!les lois patriarcales , de Mani, des patriarches d’Israel, des ordres d’Adalbéron etc . ont été appliqué sans failles pendant ces siècles; .BF.

17 mars, 2012

Mon histoire, mon enfance et adolescence.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 15:07

De cette enfance et adolescence, que retenir,; un triangle restreint , St-Claude-Lajoux-la Main-morte, est devenu un nouveau triangle, Bourg-en-Bresse-St-Claude-Lajoux, puis ce triangle avec mes études de médecine deviendra, Lyon-Attignat-Lajoux, et plus tard, Besançon-Viriat-Lajoux; pour l’instant des souvenirs de Bourg-en-Bresse; des trajets, une route  dans les deux sens,une voie, en voiture, à pied, en stop, en vélo, Bourg-Attignat et Attignat-Bourg, des milliers de fois; plus tard j’allais effectué des trajets de remplacements Lyon-Montluçon, pendant 4 ans à un rythme presque hebdomadaire; j’ai peut-être pris cette habitude de me déplacer sans cesse pour des voyages incessants, répétitifs, reliant des lieux, des endroits, nomade d’un jour, sédentaire un autre jour; je me déplacerais sans cesse, pour un jour me sédentariser à Besançon; mais je changerais  souvent d’appartement ou maison et de plus habiter un château pendant 17 ans à Pagney dans le bas-Jura; pour l’instant je navigue dans ce 2ème triangle; souvenirs de Bourg-en-Bresse, sa cathédrale de Brou,  son cloître , construite par Marguerite de Savoie, son avenue Alsace et Lorraine, ses hôtels de France et  de l’Europe, ses marchés, ses voisinages avec les Dombes, ses relations proches avec Lyon, et le Beaujolais, ; Bourg-en-Bresse représente un souvenir de lycée-études-sports ou pour mon père, metro-boulot-dodo; les entrepôts Maillard et Duclos et leurs bureaux alternaient avec des moments plus agréables que j’ai pu et commencé à apprécier en terminales; à l’époque, mon 1er Bac en mains, les professeurs et l’administration plus relaxes, me permettait de quitter le lycée à mes heures; en particulier, entre 2 cours nous pouvions aller au café; les « pions » venaient avec nous ; nous jouions au 421, tarot et belote; je gagnais régulièrement mon argent de poche aux jeux; je prenais mes petits déjeuners avec des croissants le matin et mon père ne l’a jamais su; mes gains m’assuraient un petit train de vie; je passais plus de temps à ces occupations qu’à mes études;le passage du 2ème Bac fut donc plus difficile; les rapports avec mon père devenaient plus intellectuels et les études de médecine une certitude; je pense que mon père était  content d’une orientation naturelle plutôt qu’une incertitude d’avenir; son fils ainé ferait des études d’ingénieur, son 2ème fils serait médecin; ses filles, moins ambitieuses , feraient comme leur mère, institutrice ou secrétaire; quand à sa fille ainée, elle ferait des études de droit; les études des garçons, de toute façon, étaient prioritaires à cette époque; la Bresse, les Dombes, l’Ain, les grenouilles, les étangs, le maïs, la chasse ont été des domaines où j’ai pu m’épanouir; bien entendu, le fait d’habiter la campagne  représentait à la fois un handicap et des avantages pour un futur métier futur; je m’apercçois aujourd’hui que cette admiration pour la ville, les citadins, les hommes politiques, ceux qui savent, ceux qui sont à l’aise , n’était qu’un leurre;il me faudra longtemps pour m’apercevoir de cette dévaluation, de ce manque de confiance lié à mon enfance campagnarde; et pourtant le contact permanent avec le réel, la nature, le concret, l’animal, le végétal et le minéral est une richesse incommensurable ; le passage de l’adolescence à l’âge adulte est pour bientôt. BF.

L’histoire du monde, des hommes et de la France.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 13:36

Mon histoire personnelle va bientôt se superposer avec celle de la France, puisque je ne pourrais pas parler de toute l’histoire des peuples; nos origines, l’Afrique, puis l’Indus, les Aryens, les Sumériens, les Egyptiens, les Grecs, les Palestiniens, les Phéniciens, les Romains, les Gaulois, les Francs, Les Mérovingiens, les Carolingiens; déjà, à travers tous ces peuples, puis par la civilisation occidentale, les grandes découvertes, l’Amérique, l’Inde, la Chine ,l’Asie et toutes les îles, continents, nous pourrons aborder ou simplement évoquer, ces civilisations précolombiennes, des empires chinois, des peuples indiens, noirs, asiatiques, australiens, africains etc… Le monde est global, interdépendant; la terre est une, Gaia est unique pour nous, mais d’autres planètes terres peuvent exister au milieu de nos milliards de galaxies; la probabilité de plusieurs planètes avec de l’eau a été démontré. Les capétiens  vont donc continuer cette saga franque, puis française depuis Hugues Capet jusqu’à (987) à Louis Philippe (1848); nous sommes des descendants de la civilisation gallo-romaine et franque; nos racines et origines sont aryennes, chrétiennes et occidentales, mais en réalité la continuité patriarcale depuis les lois de Mani, -7500 ans avant JC, loi des pères, avec les lois de Moise, les dix commandements, les lois des rois d’Israël, Saül, David et Salomon, puis des rois francs, Charles Martel, Pépin le Bref et Charlemagne avec les ordres d’Adalbéron 1er est devenu l’ordre établi, les applications des intériorités et la persistance des classes, castes de la masculinité des hommes; l’ordre testostérone règne, domine, à travers ses états, administrations, ses armées, ses ordres ésotériques, ses franc-maçons, ses associations, (lions clubs, par exemple), ses amitiés masculines etc..alors s’indigner, se révolter, changer le monde, réformer est une vaste mascarade; presque 1000 années de rois, reines, de France, associés au catholicisme ont dominé le peuple de France; les révoltes, famines, religions hérétiques, cathares, , n’ont rien changé dans le paradigme du pouvoir patriarcal; c’est pourquoi nous  nous contenterons de citer l’histoire à travers des noms de rois, de reines qui ont marqué le temps historique, les guerres, les batailles, les conquêtes, les colonies, sans changer fondamentalement les choses; à aucun moment de l’histoire de France et des hommes , je n’ai senti cette volonté de changer de paradigme; peut-être des hommes comme Bouddha,Jésus, Ghandi, les Saints, St-Vincent de Paul, St-François d’Assises, les moines de Tibbérine, ont-ils perçus à travers leur foi, leur engagement, leurs expériences, cette féminité naturelle , invisible  du don mystérieux; alors l’histoire des humains ne peut-être que celle des vainqueurs, des envahisseurs, des colonisateurs, des hommes de pouvoir, d’argent, les « grands hommes ». BF

15 mars, 2012

Mon histoire, mon enfance et mon adolescence;

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 18:13

Avant d’entrer dans mes études universitaires, quels souvenirs marquants de ces 17 années d’ enfance et adolescence; j’ai parlé de St-Claude, de La Maint-Morte, de Lajoux, d’Attignat ,de Bourg-en-Bresse; j’ai oublié les pipiers de St-Claude, oui, la pipe en bruyère, de toutes les formes, avec son concours, ses maîtres; je peux en parler puisque mon beau-frère est pipier; il a repris les pipes Genod; son grand-père était pipier; son père  belge, Monsieur Craen, a épousé la mère de Jacques, et celui-ci  4ème enfant de sept, a repris l’entreprise; il tient toujours un magasin à St-Claude et fabrique les pipes « Karabach » à perçage courbe; la famille Craen est incontournable, elle fait partie de notre saga et nous , les « Fantons » de la leur; le père est belge; il meurt jeune d’un cancer à l’estomac; une partie de sa famille vallonne, vient en vacances à Lajoux;les Craen louent à Lajoux « la maison longue » en face de l’Hôtel de la Haute Montagne; ils sont sept enfants, dont jacques le 4ème qui épousera ma demi-soeur Catherine ou Caty; s’il fallait parler de cette famille, ce serait une saga à elle toute seule; des enfants, des familles, des divorces, de l’Australie, au Canada, en France, en ¨Provence », à St-Claude, ; les drames récents, le décès de Vincent, le frère ainé, d’un cancer de os (myéloblastome), deux avant le décès de Sébastien, le fils de Vincent , le neveu de Jacques, décédé à 37 ans d’une dissection aortique non diagnostiqué à Paris; la femme de Vincent,, est atteinte d’une sclérose en plaques depuis de nombreuses années (après leur vie à Tahiti); ils étaient employés à TWA racheté par Air France; les drames et les maladies ne sont pas des secrets professionnels; le frère de Sébastien, Florian travaille en Chine pour Hermès et a 3 enfants; tout ce beau monde s’est retrouvé à Tolède pour le mariage de Julien, mon fils ainé de mon premier mariage; les Craen sont indissociables de mon histoire; Lajoux, St-Claude, Chaumont aujourd’hui; les fils de Jacques et Caty, Fabien et Benoit, ont faits de nombreux passages à Madrid; Benoit  habite Ibiza, a eu 2 filles de femmes espagnoles; il faudrait parler des frères et soeurs de cette grande famille; une nièce habite Lajoux; les enfants de Vincent ont racheté une maison au village, celle de la mère Arthur, petit bar tabac où siégait un jeu, dit » la grenouille »; ce jeu a refait surface pour la fête de Lajoux, « La Rubatée »; rubater veut dire gratter des sabots au printemps pour les vaches qui veulent sortir de l’hibernage; d’autres familles de Lajoux ont été et restent encore présentes, les Benoit-Jeannin, les Coutiers, les Davoux, les Paiens; mais les Craens et les Fantons restent , pour des raisons affectives un socle indéfectible; Vincent est enterré à Mijoux dans un petit cimetière de Montagne, à côté d’une petite église désaffectée où nous allions à la messe le dimanche à pied depuis Lajoux; les Paiens, les Craens nous descendaient parfois avec un moyen de transport original: un « roulement à billes », sorte de véhicule avec des freins, un volant, une direction et des roues à bille; on pouvait monter à 4 ou 5 personnes; la route descendait de Lajoux à Mijoux, avec 5 lacets à 180°; la vitesse de cet « engin » était impressionnante; l’engin était remonté par des voitures des parents; il n’y a jamais eu d’accidents; malgré un tournant près du village, surnommé le »Tournant du malheur », où quelques automobilistes ont trouvé la mort; on peut à propos de routes que St-Claude et Lajoux sont reliés par la route de Genève, avec ses fameux lacets de Septmoncel, La Roche Percée, Le Saut du Chien, Le Chapeau de Gendarme (anticlinal de renommée mondiale); on peut rejoindre St-Claude et Lajoux par Chaumont, La Main-Morte, Haut-Crêt, Lamoura; comme on le constate , mon enfance, adolescence, âge adulte et encore aujourd’hui sont liés étroitement à cette région. BF.

13 mars, 2012

L’histoire du monde , de la vie et des hommes.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 15:34

Après les carolingiens, les Capétiens; ceux-ci doivent leur nom à Hugues 1er ou Hugues Capet (Maison de France). ils règnent de 987 à 1848 , officiellement, on divise les rois de France en 3: Les Capétiens directs, de 987 à 1314, mort de Philippe le Bel ; puis Les Valois de 1328 , Philippe VI à Henri III 1589, enfin Les Bourbons avec Henri IV de 1593 à 1848 , Louis Philippe; en 850 ans les capétiens ont perdu leurs trônes de France, de Parme(1860), des Deux-Siciles (1861) et d’Espagne (1932); Le pouvoir capétien repose sur l’alliance de l’église et du roi; Les trois ordres d’Adalbéron sont bien en place; Les Évèques, les clercs, les purs forment le 1er ordre, le Roi, les Nobles, les Militaires (Maréchal, Sénéchal), les élites forment le 2ème ordre, les serfs, les travailleurs, les agriculteurs forment le 3 ème ordre, le 2ème ordre protège le 1er et le 3ème, le 3ème nourrit et obéit aux 2 premiers, le 1er prie, prêche, conseille, confesse les 2 derniers; cette classification en classes sociales supérieures et inférieures rappelle les lois patriarcales de Mani, reprises par Abraham, pharaon, Moise et les héritiers Mahomet, les Papes, les Imans, les Rabbins, tous les pères spirituels et temporels;depuis cette époque,le système impoeté d’Orient, va s’imposer en Occident sous une forme masquée; l’église avance et place ses pions; elle fait croire aux puissants , à la force physique, qu’elle est à son service; en réalité l’église détient lez vrai pouvoir, celui de la connaissance, des écrits, du savoir, de la parole, surtout « la parole divine »; le roi est aux mains des évêques et du pape, même si parfois des dissensions graves se manifestent; le problème des divorces en particulier; Henri VIII d’Angleterre changera de catholicisme pour ses divorces et l’Anglicanisme protestant se subsitera comme religion d’Etat au papisme. en France, à part la conversion d’Henri IV au catholicisme, le différend avec Napoléon Bonaparte, la Révolution de 1789, la séparation de l’Eglise et de l’Etat, la concurrence de l’ecole privée et publique ,les problèmes sont ceux de la concurrence entre membres d’un même système. Le patriarcat ne se partage pas; le pouvoir dans ses principes est destiné au chef, aux numéros un, aux meilleurs; l’élitisme est sa base de fonctionnement; si on veut changer le monde, changer les choses, changer tout de suite, avec un système de pensées à l’identique, à quoi bon faire;les révolutions arabes démocratiques débouchent sur La charia?? alors ,le patriarcat a de beaux jours devant lui;nos capétiens , successeurs des carolingiens nous ont laissé un héritage sous sa forme originelle? puis sous ses formes déguisées de banquiers freundiens catho- judéo-franmaçonniques; mais cette déclaration est réelle » je ne suis qu’un pauvre banquier au service de Dieu »iL ne reste aux rois  et aux chefs, plus qu’à vivre à rédit et se lier les mains aux futurs banquiers hollandais, juifs, vénitiens et arabes, chinois aujourd’hui; les  bases du pouvoir des « intériorités est en place », spirituelle, matérielle et psychologique; Dieu, l’Argent et l’Inconscient.freund n’était pas né lorsque hugues Capet prend le trône de France.BF.

12 mars, 2012

Mon histoire, mon enfance et mon adolescence.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 12:35

Blanés-des-Mar, dernier village de la Costa Brava, le début d’une plage immense, qui se dessine jusqu’à Barcelone et au sud; il faut  arriver à Tarragona pour retrouver des rochers; ce village de pêcheurs, de Gambas et de crevettes, va devenir au fil des ans une station touristique importante; notre pinède sera envahie par des immeubles et appartements neufs ; pour le moment où nous débarquons à Blanès, la pinède se situe au sud sur des kilomètres; il faut 15 minutes pour se rendre au port; les jeunesses franquistes campent en bout de la pinède; une rivière ,à sec en été , limite la pinède; des joncs, des maïs bordent le camp; j »ai appris chez les scouts à isoler les tantes avec des aiguilles de pin; nous pouvons dormir sur des épaisseurs avec nos matelas qui nous servent en plus à la plage; celle-ci est immense, du sable fin et une descente rapide vers le fond; on est peu nombreux et plus tard , des campings vont se développer; nous passons 5 semaines  à se baigner, à pêcher les vives, poissons venimeux(;sa piqûre peut entraîner des paralysies, des allergies; sa chair est excellente); à bronzer; on se mettait de l’huile d’olive avec du citron; ma peau est devenu presque noire; le soir nous allions à la plage discuter avec les carabiniers; il nous autorisait parfois à dormir; un militaire, Enrique, est tombé amoureux de ma soeur Arlette, ce qui nous donne l’occasion d’un déplacement à Gérona; La visite de la Costa Brava fut fréquente, Tossa, en particulier; le jardin botanique de Blanès est remarquable; entre la côte à visiter, Barcelone et Tarragone, nous étions très occupé; notre plaisir était de consommer des churros et d’acheter des petits poissons et crabes en fer forgé; pendant 2 années le camping était gratuit; les années suivantes, l’installation d’un premier camping par un couple de pêcheurs reconvertis, assura  pour des sommes modiques, l’eau, l’alimentation, les toilettes et les douches; nous étions repartis pour 5 années de vacances en Espagne; que retenir , des premiers amours, Monika , une jolie luxembourgeoise ; la famille Decker est venu plusieurs années en camping;on attendait leur venue comme le »Messie »; ces moments amoureux , ces soirées sur la plage, ces baignades dans une mer tantôt calme, tantôt déchaînée, dans des vagues immenses , sur nos matelas , ces moments inoubliables, ces repas en commun, ces promenades , tous ces souvenirs peuplent mon histoire; je ne peut pas tout raconter de ces 6 années, ce qui est important et déterminant, c’est la perception de mon corps devenu bronzé, musclé et je mesurais 1 mètre 83; j’étais transformé, mais toujours timide, courtois, réservé et curieux des jeunes filles, surtout celles qui me paraissaient inaccessibles; j’ai découvert l’Espagne, un pays où des circonstances  et des coïncidences futures, en feront une destinée permanente; encore aujourd’hui, je me rends à Madrid régulièrement chez Elsa, ma fille adoptive en quelque sorte, en fait témoin de son mariage; mon fils julien s’est marié à Tolède, après avoir connu son épouse à Madrid et y avoir vécu 4 ans; ma soeur Isabelle, la dernière née de mon père y vit depuis 15 ans; mon neveu Benoit vit à Ibiza depuis 16 ans en ayant vécu à Madrid  une année; nos amis espagnols restent nombreux, Agustin, Maria etc.; je devais épouser en 1ères noces , Anne-Marie ou Anna Maria, étudiante en Espagnole, et nos retrouvailles à Madrid à la gare d’Atocha, lieu d’attentat des islamistes d’Al Quaida, scellèrent notre union; j’avais pris le train depuis Blanès , puis Barcelone; je reviendrais sur cet épisode qui concerne déjà mes études universitaires. BF.

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