les clés de la santé

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24 janvier, 2012

Apprendre tout, être un tout, le tout et le multiple.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 7:54

Les premiers chapitres sur, »Apprendre », ont permis de dégager des voies pour comprendre qu’il faut se libérer de schémas élaborés par d’autres, je dirais même par le « système », des schémas séduisants quand la réussite, le bonheur est au rendez-vous matériel et que vous êtes du bon côté; mais les 3 chaînes matérielles ne sont pas libérées pour autant; les peurs, angoisses existentielles persistent; les élites bourgeoises ont cette caractéristique de la matière immuable, de l’ordre établi et des privilèges de la fortune ou de l’argent; rien ne doit changer; tout est figé et j’ai bien peur que l’ordre financier mondial ait réussi son coup en plombant les dettes des états; un ordre immuable, irréversible où individus, collectivités, départements , régions etc .. viendront quêter leurs crédits, leur pitance contre une obéissance aveugle.Alors seule la connaissance de soi, la prise en compte de son éveil spirituel, de son esprit et de son âme, mère, reine, énergie, sens, lumière, permettra de diriger sa vie, d’être en bonne santé  et de  transmettre les idées porteuses de la trinité biologique féminine et de la bifurcation originelle; alors restera aux hommes et femmes de bonne volonté, ces féminins mâles et féminins femelles, ces gens bien, ces gens bons, ces personnes simples et altruistes à réaliser leur grand tout, ayant émerger leur petit tout; ce rêve se situe à Auroville, mais le réaliser sur 7 milliards d’habitants avec cette imprégnation masculine patriarcale, ses castes, ses classes, ses suffisances, ses égoismes, ses richesses, ses vices, sa cupidité etc.. décidément les mondes ne se ressemblent pas; croire en Dieu, espérer, avoir la foi, ce monde de Jésus utilisé, bafoué, détourné par les monothéismes pour perpétuer le dogme patriarcal; on mets en avant le côté attirant de l’Église, Jésus, Marie, les Moines de Tibbérine, L’Abbé Pierre, Soeur Emmanuelle, Mère Téresa , Saint François d’Assise et tous les autres et on cache le mauvais côté, le pouvoir, le dogme, les dorures du Vatican, les complicités avec les banques, les militaires chiliens, argentins et les autres; la politique et le dogme et l’argent sont inséparables; Au milieu de ce « bordel » comment s’y retrouver; résister, résilier, aimer la vie, se libérer » du monstre doux », mais il faut s’alléger, refuser divertissements, jeunisme et consommation, mais lire, écrire, apprendre et regarder les arbres, les oiseaux, le ciel, la nature comme nos ancêtres et de dénommer tous ces éléments plutôt que des esprits, esprit de l’arbre, esprit oiseau, des frères, frère arbre, frère oiseau; tout est dans tout, du un crée multiple et de multiple renait un,  » du verbe naît la chair ». BF.

23 janvier, 2012

Apprendre c’est comprendre.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 16:38

Mon cheminement, celui qui a commencé après ma double initiation spirituelle, si j’ai bien compris le message, et matérielle d’une connaissance apportant à la santé une triple prévention; matérielle par la nutrition , la nourriture des souches qui vont se renouveler et se multiplier à l’infini, régénérant un corps tous les 7 ans, une prévention énergétique par la connaissance des circuits énergétiques de l’âme, 64 méridiens, 2 pôles, 1 équateur, 2 tropiques, des centres, des chakras, points anatomiques osseux ou points déterminés par des croisements des longitudes et des latitudes; dualité, centres, musiques des points et des cercles, mandalas  et symboles; tous ces points, courants sont à la base de techniques énergétiques, massages, acupuncture, mésothérapie, langages vibratoires, grilles vibratoires, mais aussi la base d’examens de la médecine courante , EMG, EEG, électrocardiogramme et(c..personnellement j’aimis au point une mésothérapie des chakras qui associée aux multiples cicatrices du corps permet de mettre les compteurs à zero, c’est à dire de traiter les antagonismes musculaires, les  noeuds, les contractions, les blocages; cette technique est applicable en cas de douleurs cicatricielles, de dépression ou déprime, de fibromyalgies, de troubles inexpliqués que je qualifie de maladies énergétiques; la technique peu agréable , qui consiste à injecter en intradermique des papules de xylocaine à 1%, est rapide : 15 points antérieurs, plus les cicatrices si possibles  et si les cicatrices n’existent pas, on passe en postérieur: 12 points sur la colonne, le triangle de Michaélis, la kundalini, et les points des courbes cervical, lombaire, dorsal et sacré; le 3ème oeil au centre du front déconnecte ; il est conseillé de se faire accompagner, de ne pas conduire trop tôt surtout si c’est la première fois; l’effet est surprenant, on plane, on est au dessus, on est saôul; on est ayauasqué; le soir on dort bien; la durée est variable, de 15 jours à un mois; mes clientes que j’ai prises en traitement depuis 20 ans le font au moins une fois par an; les plus motivées une fois par mois; je n’ai pas renouveler ou augmenter le nombre pour des raisons de temps, de confiance; on ne peut proposer ce type de traitement qu’aux femmes, les hommes sont douillets, sauf un qui tenait un hôtel à Courchevel et qui est venu une année pour la méso et les antioxydants; la confiance doit être complète; mais les résultats sont surprenants; la première fois que j’ai eu l’idée de la mésothérapie est le cas d’une femme qui se plaignait de sa cicatrice gynécologique et de douleurs pelviennes; après de multiples traitements, examens et interventions, j’ai décidé un jour d’infiltrer sa cicatrice , pensant aux douleurs des amputés; 2 seringues de xylocaine à 1% et 2 ampoules de soludécadron en intradermique et souscutané; spontanément ma cliente dit ne plus ressentir sa douleur; j’ai pensé au réveil et au côté temporaire du traitement; la dame toute contente se rhabille, me dit que toutes ses douleurs pelviennes et cicatricielles ont disparu et que çà faisait longtemps qu’elle ne s’était senti aussi bien; on discute et elle me dit: »c’est bizarre, j’ai plus mal à ma langue », je me fait soignée à Paris par un ORL pour une glossite inflammatoire et mon ORL ne peut rien faire, m’expliquant que c’est toujours après une intervention chirurgicale qu’il rencontre ce type de pathologie; la langue de Madame X a été guérie définitivement après 2 séances de méso cicatricielle; j’avais endormi et réparé les méridiens de la cicatrice transversale de Pfannenstiel; je piquais au pubis et la langue était guérie!!!! j’ai pensé à l’acupuncture et j’ai développé ma technique en associant les points globaux; çà marche mieux si on traite les cicatrices et les points globaux en même temps; cette connaissance, cet apprentissage m’a été offert, donné; les coincidences sont troublantes, comme m’a été donné les RL, Les souches, le VEGF, etc … la soif d’apprendre, de lire, d’écrire; BF.

Apprendre, l’approche globale.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 15:32

Après une approche plus globale  de l’art médical, des recherches personnelles sur la prévention des toxémies gravidiques, sur la ménopause et le vieillissement, sur le suivi des cancers du sein, j’ai accumulé des connaissances et je me suis aperçu de mes faiblesses et mes certitudes sur les radicaux libres étaient entamées; deux événements allaient me faire connaître et apprendre; une dépression d’un an qui me paralysa dans mes idées, qui m’allégea de ma matière, qui m’éleva dans une conscience enfouie et qui développa et confirma les deux plans qui n’avait pas émergé; le deuxième événement est la découverte des cellules souches et de ses conséquences sur la régénérescence permanente du corps mortel, sur le chimérisme  de l’âme, cellules souches de l’autre en nous, cellules souches vivantes transmises en l’état par le trafic foeto-maternel des souches; l’ADN n’est pas l’hérédité qu’on croit; tous ceux qui veulent voir l’âme, les âmes doivent voir en eux leur propre immortalité de leurs souches, même de la 1ère cellule souche, leur reine, leur épiphyse, leur glande pinéale où Descartes situait son âme, quelle coincidence!!les deux événements m’avaient fait découvrir une transcendance, un esprit, un tout, une lumière et une âme, une mère ; mon plan tridimensionnel entre le cerveau et le soma avait explosé; mes radicaux libres me paraissaient dépassés et les nouvelles approches médicales, cellules souches, néoangiogénèse, complétaient le stress oxydatif, mais comme j’aime à le répéter aujourd’hui il faut ne pas tout désoxyder, il faut respecter la mort des cellules, il faut détruire pour reconstruire, créer le chaos pour un ordre nouveau, il faut décréer pour incarner, pour la complexité; les étoiles brûlent et meurent pour la complexité qui s’enrichit en conscience; alors , oui, j’ai appris et je recherche toujours à apprendre, ayant aussi la certitude que tout est ou sera remis en cause par l’apprentissage et la curiosité; la moindre de mes découvertes est une joie; par exemple de trouver dans le livre : »L’Apothicaire » thriller moyenâgeux sur la gnose de Levensbruk, une réponse  sur la vérité ultime: c’est l’Amour avec un grand A invisible, immatériel  qui ressemble étrangement à l’esprit du vol, de la ruche , le nôtre ; de nombreux débats sur Dieu, son existence, la foi, la raison, la nature et la culture, la place de l’homme dans le monde et l’univers se posent aujourd’hui, mais sans réponse puisque le dogme patriarcal empêche toute réflexion sur le sujet; le livre de FOG (Franck Olivier Gisbert) est un condensé des questions que l’on se posent à ce sujet; pour revenir au sujet qui nous préoccupe, apprendre, j’ai contribué, je pense à exciter la curiosité de mes concitoyens sur cette nécessité  d’apprendre, qui est la base de la connaissance. BF.

Apprendre et ne pas être compris.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 13:13

J’ai donc découvert en 1983 les « Radicaux libres », terme barbare que mes confrères ne connaissait pas; j’ai pris rapidement des antioxydants et « miracle », j’allais mieux, je me suis mis un peu au régime  Walford et je retrouvai un poids normal; j’avais appelé mon ancien professeur de biochimie et son épouse biochimiste de formation (Docteur Henry) s’était installé en auriculothérapie et oligothérapie; ces médecines un peu parallèles pour l’époque, dites douces ou alternatives, rejoignaient l’homéopathie,la phytothérapie tolérée pour l’époque; Le Conseil de l’Ordre des Médecins acceptait ces médecines alternatives, comme l’acuponcture ou la mésothérapie; l’ostéopathie ou les chiropracteurs pouvaient pratiquer leur art sous couvert de kinésithérapie; les médecines douces faisaient sourire, mais occupaient un espace laissé libre par les médecins: je veux parler du » terrain »; ce fameux terrain, décrit comme un facteur inconnu, par nos cours de médecine parlant du tabac, de l’alcool etc.. comme des causes de terrain; mais pour la 1ère  fois on me parlait d’un terrain invisible, microscopique, à l’échelon de l’atome; « UN ÉLECTRON CÉLIBATAIRE » allait tout casser, changer un terrain, un corps tout entier allait subir des lois d’oxydo-réduction jusqu’à en mourir, ces RL seraient à la base des maladies, cancers y compris, par mutations imposées; À la fin du livre de Walford, j’étais étonné, médusé, ignorant; toutes mes convictions étaient remises en cause; mon apprentissage personnel et sur mon corps des antioxydants me confirmait une piste sérieuse sur le vieillissement et les pathologies de la grossesse; le placenta étant un organe de 9 mois de vie allait être un champ d’expérience pour une hygiène antioxydante de grossesse; parallèlement , j’abandonnais de nombreuses responsabilités syndicales, politiques pour me consacrer à ma nouvelle » lubie »; les RL et les antioxydants; le congrès d’Arc-et-Senans allait être le sommet de cet engagement, mal compris, mais tout de même sponsorisé par la Sécurité Sociale, Le Conseil Régional, des Assurances, des laboratoires etc .. Le Docteur Weindruch, collaborateur de Walford a été invité, reçu à la Mairie de Besançon par Monsieur Schvindt Robert ; les radicaux libres faisaient peur; immortalité, santé, vieillissement; tout était remis en cause; il n’y aurait plus de malades!!! qu’est-ce qu’on allait faire, devenir sans malades et maladies!!les ennemis des RL , les médecins eux-même se sont ligués; j’avais amusé mon monde, je m’étais fait plaisir, il fallait vite revenir à la Médecine normale; mes résultats sur la grossesse et sur la prévention des toxémies, de l’HTA des femmes enceintes, sur les avortements me rassuraient et pourtant je doutais; mes idées faisaient peur quelque part un chirurgien qui donne des antioxydants avant les opérations, qui tient un discours « végétal » et qui s’investit dans des stages d’homéopathie, d’iridologie, de médecines naturelles, n’est pas sérieux; j’ai à la fois connu une baisse de clientèle et à la fois , j’ai découvert un monde nouveau où les naturopathes étaient en même temps des » cinglés » du tout bio, et j’ai rencontré des égos surpuissants de la spiritualité; ces gens là me faisaient peur, plus que mes collègues peu curieux, mais rassurants d’un certain côté; j’ai pu malgré tout lire des auteurs et médecins qui ont structurés ma pensée ( Bieler, Menetrier, Vincent); j’ai compris des médecines comme l’homéopathie qui n’est qu’une application des lois de formalité causative de Rupert Shelldrake; et j’ai maîtrisé les médecines énergétiques; j’ai donc une approche globale. BF.

Apprendre une autre médecine, ou bien seulement « LA Médecine »

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 12:29

J’ai commencé mes études supérieures en 1963 à 19 ans, 6 années plus tard, j’étais interne des hôpitaux de Lyon, puis j’ai obtenue ma triple spécialité en 1973, thèse en juin et installation en octobre, inscrit au conseil de l’Ordre du Doubs n% 776; je me suis rendu compte assez vite de nos lacunes en matière de prévention; l’approche en obstétrique était rudimentaire, en dehors des consultations mensuelles recommandées , mais non obligatoires; la radiographie , la radioscopie était obligatoire au cours du 3ème mois ( la quantité de Rx n’était pas négligeable); à part le doigt, la trompette pour les BDC ( bruits du coeur du bébé), le mètre, nous n’avions pas d’échographies et les ultra-sons (appareil sonicaid) débutaient; le régime sans sel, hyperprotéique, les cours d’accouchement sans douleur restaient des conseils  habituels; les 10% de grossesses pathologiques , à risque, étaient craintes, car peu de prévention existait; les vasodilatateurs, l’Héparine et le début de l’acide folique furent une avancée; le fer et le magnésium accompagnait les ordonnances; de façon générale la grossesse n’était pas une maladie et les complications liées à cet état gravidique, fréquentes à l’époque , c’était le destin, à pas de chance; même si les procès en responsabilité médicale commençaient; alors pour un médecin, chirurgien, obstétricien , rationnel, cartésien, sûr de sa médecine allopathique et sûr de lui, c’est de ma propre santé que viendra l’apprentissage; à force de responsabilité, de travail, je négligeais ma propre santé , persuadé que le « travail, c’est la santé »; j’avais pris beaucoup de poids et l’énergie me manquait; les déplacements, la nage, l’activité physique devenait pénible; des 1ères vacances à l’île Maurice, 15 jours !!extraordinaire!!je suis fatgué; je reprend l’avion pour Besançon, le jour de mon anniversaire, un 14 avril 1983, et lessivé dans mon fauteuil, je tombe sur Paris-Match  (Peut-être une hôtesse de l’air m’a t-elle apportée une revue); quoi-qu’il en soit, je découvre à la première page, en couverture, une photo d’un homme, d’un chercheur, le Professeur Roy Walford, de Los Angelès, qui expliquait la vie la plus longue, une longévité par une sous-nutrition sans mal-nutrition; il pensait doubler la vie des hommes comme celle des souris de ses laboratoires ; il se basait sur la théorie des « radicaux libres », électrons célibataires, nés de sous formes de l’oxygène des tissus, de l’oxydo-réduction habituelle du métabolisme cellulaire, cascade de l’acide arachidonique des membranes, mitochondries, mouvements, exercices; à tout moment , l’organisme produit des radicaux libres  qui sont d’une certaine façon naturels et nécessaires au mouvement , à la mobilité cellulaire en général; cette conséquence de la vie aérobie est la production parfois excessive de ces RL; notre organisme a mis en place des régulations qui évitent les conséquences destructrices des RL qui peuvent transmettre le processus aux ions, molécules, etc..nous avons des SOD, des Co-enzymes Q10, des catalases, des protecteurs contre les RL; mais l’origine des RL n’est pas seulement endogène, mais surtout exogène; la respîration oxygénée, le stress oxydatif, la pollution de l’eau, de la terre, de l’air, le sport intensif, l’alimentation et spécifiquement la surnutrition, les calories en excès brulées dans les mitochondries et grandes productions de RL; plus on mange, plus on chauffe, plus on produit des fumées oxydantes; c’est là qu’on rejoint la nutrition . BF.

Apprendre, devenir autre,

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 11:26

Après des années d’enfance, d’adolescence, d’études supérieures d’un jeune homme , débarquant de sa campagne, ayant subi une éducation lors des trentes glorieuses, curé, laïcité, ambiance gaullo-socialo-marxiste, mélange né de la Résistance, le CNR, à la base du vote des femmes, de la sécurité sociale, d’avancées sociales importantes et d’investissements et d’infrastructures, une France en reconstruction; l’idée même de chômage, de ne pas travailler, de ne pas réussir, de ne pas monter, était inconcevable, incongrue; mes études médicales terminées, ma thèse en poche, ma spécialité porteuse, souvent décriée, délaissée par les chirurgiens qui nous traitaient de « Guette-aux trous », mon installation réussie, je profitais de ces années d’expérience, de remplacements, de gardes, de travail intense , sans vacances, ; je passais celles-ci en remplacements; ma capacité de travail a plu à mes associés, qui ont tout fait pour mon installation; le partage du travail et des honoraires étaient total; rapidement un déséquilibre s’est installé à mon détriment, mais je n’ai jamais envisagé d’autres solutions pour travailler dans une spécialité aussi exigeante physiquement; les années suivantes ont confirmé mes intuitions; le futur associé , qui avait repris la clientèle du Docteur Q.., a voulu séparer les honoraires et chacun pour soi; 10 ans après, ce gynécologue a pété les plombs et 7 ans après il était opéré d’une tumeur du plancher de la bouche et il a guéri, handicapé du visage et de la parole il s’est réinstallé avec une clientèle réduite et une chute brutale de sa réussite sociale; il est devenu plus sympathique et a adopté une philosophie de vie; le partage dans notre spécialité est capitale; lorsque il a fallu déménager et travailler dans une autre clinique, la création d’une SCP a réglé des problèmes, mais tout le monde ne joue pas le jeu; je suis en retraite active maintenant et je travaille encore pour les autres. Revenons à apprendre, dans une ambiance décrite ci-dessus, dans une médecine allopathique, sûr d’elle-même, efficace, admirée, mise sur piédestal, grâce aux exploits techniques et spectaculaires de la chirurgie, de la PMA pour les gynécologues; la FIV; puis l’ICSI, les techniques e procréation médicale assistée (PMA) ont incontestablement surévalué notre spécialité; quand vous opéré, votre égo est en forme; le Professeur Lantieri décrit en lui cette fascination , cette jouissance qu’ont les chirurgiens à changer l’autre, à le guérir, à le bricoler etc..ma spécialité a cette chance: opérer le matin ou en urgence, la césarienne restant l’acte chirurgical le plus positif, un bébé en plus et une chirurgie tout de même; reste les accouchements, les consultations pléthoriques, les gardes; notre spécialité est risquée; les incidents et accidents sont dramatiques; les hémorragies de la délivrance, les inerties utérines, les toxémies gravidiques, l’éclampsie, les retards de croissance intra-utérins, les troubles psychomoteurs de l’enfant; les embolies amniotiques sont de nature à renverser psychologiquement une aventure définie comme du bonheur et qui peut se retourner en drame souvent mal accepté, car devenu exceptionnel; je travaille toujours dans cet état d’esprit d’une gynécologie efficace, surtout en niveau 2 b où la présence permanente d’une équipe sur place a résolu l’urgence hémorragique; pas de décès depuis 5 ans sur 2500 accouchements annuels; par contre les embolisations sont fréquentes et précoces dans de bonnes conditions, ce qui évitent des hystérectomies d’hémostase; comment encore apprendre dans une ambiance technique d’efficacité, de performances, ; en s’informant dans des recyclages, des revues, conférences, et congrès; on apprend toujours quelque chose, dans ces réunions où les égos de mes confrères surtout hospitaliers, s’exposent à travers des travaux, des conférences très  bien préparées, avec photos, plans, où le maniement des outils informatiques devient essentiel; il faut se faire connaître et entrer dans « La Famille », les élites médicales; je suis frappé par cette nécessité pour un hôpital de garder, récupérer, avoir une clientèle, qui pourrait partir ailleurs ( fermeture de services, ouverture retardée, clientèles et privé à l’hôpital); les médecins n’existent que par cette nécessité de soigner, guérir et donc sont demandeurs de malades; ils ne leur viendrait pas à l’idée de transférer le soin, de transmettre la responsabilité au patient, véritable détenteur de sa santé; la transmission du savoir, le toubib, celui qui sait, est essentielle dans une approche préventive; apprendre la prévention, c’est changer son système de pensée et d’approche médicale; tout ce qu’on n’a pas appris pendant nos études . BF.

22 janvier, 2012

Apprendre, apprendre encore.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 12:48

Dans mon parcours éducatif, outre une enfance partagée entre une grand-mère permissive très âgée, donc peu représentative de la féminité, de la femme attirante, ‘ ma grand-mère , c’était plutôt une sainte, une Marie, une représentation de la vierge, à côté de l’homme; elle craignait son fils, le dernier, le chouchou, qu’elle avait eu tard d’un mari assez insignifiant, alcoolique, petit cadre au Crédit Lyonnais à Saint- Claude; je n’ai pas connu mes grand-pères, ni mon autre grand mère; les hommes mouraient jeunes et souvent de l’alcool ou du cerveau; outre cette enfance chez ma belle-mère , l’éducation scolaire fût d’abord en école privée où les cours et études étaient à la fois normales, mais l’accompagnement religieux était constant ; repas, catéchisme, scoutisme, messes, enfants de choeur, etc.. je me rappelle les nombreux repas au pain sec et à l’eau devant les curés et camarades qui mangeaient à leur faim; l’enfermement dans un placard était fréquent; de mes études jusqu’en 6 ème je retiendrais surtout les cours du professeur As, qui m’a enseigné l’analyse logique, l’orthographe et les mathématiques de base; l(histoire et la géographie allait de pair; à l’époque une intuition m’étais venu: les matières se recoupaient; le passage en 6 ème dans un lycée laique ne fut pas une réussite; l’absence du père et de la mère, le manque de discipline , me désorientait; mes repères étaient cassés; mon déménagement au lycée de Bourg-en-Bresse n’a pas changé mon indiscipline et mes professeurs masculins n’étaient pas à la hauteur de Monsieur As; je n’ai connu en 6 ans qu’un seul professeur qui m’ discipliné, transmis les mathématiques; c’est désolant pour l’Éducation Nationale, mais c’est ainsi; le carriérisme des professeurs surtout les Mecs, passent avant la transmission du savoir; après des études laborieuses, deux baccalauréats moyens, j’ai intégrer mes études médicales; on devient maître de notre destin; la transmission et apprendre ne dépend que de toi; les maîtres font, tu regardes, tu fais si tu est là, présent, tout le temps et on te donne le boulot parce que tu passes ton temps à l’hôpital; la chance à l’époque était de faire ses ses concours hospitaliers (externat et internat) en même temps que les cours de faculté, les fameuses matières fondamentales dénigrés par les cliniciens; pourtant la biochimie resta en moi comme imprimée pour la vie. un boulevard , mes études de médecine, externat, internat,6 années d’ études et thèse en 1973 à 29 ans, spécialiste en gynécologie médicale et chirurgicale et obstétricien; des études classiques, beaucoup de gardes et remplacements, 4 années de travail intense, frais comme un gardon, éduqué comme un chirurgien, carré, sûr de moi, de mon étoile; j’ai intégré le privé rapidement, ne supportant pas la hiérarchie hospitalière et le mandarinat tout puissant; une opportunité s’offrait à Besançon dans une clinique privée en association; j’étais plutôt partageur et les conditions de mon installation étaient très satisfaisantes; mon savoir, mes compétences, ma disponibilité devaient être récompensé; c’était la fameuse méritocratie des pères; j’ai donc appris la médecine classique, allopathique, la chirurgie, l’obstétrique, la gynécologie, c’était le début de la pilule; l’échographie était balbutiante; j’avais appris et compris que je pouvais me reposer un peu sur mes connaissances; le futur décidera autrement; ceci est une autre histoire .BF.

Apprendre, comprendre (suite)

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 11:26

Comment j’ai appris; d’abord comme tout le monde ; dans mes cheminements personnels, petite enfance,divorce de mes parents, élevé par ma grand-mère, puis par ma belle-mère, enfance, adolescence dans une ambiance totalement patriarcale ,mais dans un pays où le CNR et le gaullisme avait crée l’ascenseur social, où les curés et les communistes formaient les esprits ( scoutisme, catéchisme, mutuelles, discours gaullien, les trentes glorieuses nous ont formées un esprit responsable, , travailleur, constructeur,un esprit « CASTOR » Même si le dogme, le schéma patriarcal était dur, violent, pour les garçons c’était nécessaire; j’en suis sorti pas trop mal; mais le monde féminin était ignoré, , où plutôt à côté, comme dans la bible; c’était comme çà depuis des lustres, depuis Abraham, Moise et bien sûr le fameux Gilgamesch; je n’ai eu à l’école des garçons que des professeurs masculins; en terminale  Sciences EX, il y avait 3 filles dans ma classe; mon père , travailleur acharné,, admirateur des grands hommes de l’histoire (Alexandre le Grand, Carolus Magnus ou Charlemagne, Napoléon bien sûr, Gengis Khan, Ramsès le grand etc..) nous réveillait très tôt, jeune bachelier, il avait fait la guerre comme officier, fait faillite ensuite, fait bûcheron, puis cadre dans une entreprise de BTP; il aimait la fête, la bouffe, les femmes, lire, chasser, il aimait la vie profondément sans conscience véritable , mais avec des connaissances suffisantes pour rebondir, résilier; ce n’était pas le genre à déprimer; il n’a pas pas compris lorsque j’ai fait une dépression grave à  44 ans; c’était un pur produit du patriarcat, un obéissant, une crapule gentille, un râleur, un jardinier, un philosophe à ses heures, un bosseur, un séducteur, un père ( il a eu 7 enfants avec 3 femmes ); ma mère qui m’a peu élevé ne correspondait pas au schéma patriarcal; sa 2ème épouse était le type même de sa mère, ma grand-mère, femme d’autrefois; des saintes!! enfants, cuisine, maison, ma belle-mère était en plus institutrice; j’ai ainsi passé mon enfance à la campagne, à la montagne du Jura, en Bresse , suivant les nominations de ma belle-mère et du travail de mon père; toute la vie de la campagne, les arbres, les rivières, les champs, les saisons, la vie paysanne, le jardin, les métiers d’artisans, les volailles, les oeufs, le lait des vaches, les sapins , les monts, les vallées, toute la vie du Haut- Jura défile comme celle de la Bresse, pays du mais, des ventres jaunes, des gaudes, des poulets . j’ai appris, compris, mais pas encore voulu, osé ; par contre je me taisais comme tous les enfants de cette époque privé, à la campagne, de télévision, de musique, de communications, ; seuls mes contes et légendes  et livres divers de la bibliothèque me développait mon imaginaire; j’étais à la fois dans la réalité par mon père et dans une bulle de féminité que je recherchais en vain dans des livres d’art qui montrait des femmes nues aux seins protecteurs et aux sexes non représentés, uniquement soulignés; les mystères de la vie , intuitivement ,étaient là mais les évangiles, les écritures sacrées parlaient de péchés de la chair; alors se posait la question? un monde sans sexualité peut-il exister?.BF.

Apprendre et être autre.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 10:17

Comme je le répète de puis de nombreux articles, l’imprégnation masculine patriarcale testostérone de la société est telle que même certaines sont masculines ou complices; la grossesse change et apporte un jour nouveau à ces femmes qui ne comprennent pas qu’elles changent de monde, exclues par leurs entreprises ou avec de nombreuses difficultés si elles ont un métier libéral; pour changer il faut avoir, je pense vécu une ou des expériences douloureuses qui arrivent en général en groupes, en masses , où tout se regroupent contre vous; mais çà peut-être une maladie, un accident où le beau schéma patriarcal: mariage, enfants, maison, métier, réussite sociale, bonheur familial, le paradis terrestre, « c’est tout du bonheur », « il faut profiter », « bisous », l’agglutination des humains me fait penser aux tumeurs; ce beau schéma explose pour des raisons souvent inexpliquées; où c’est un de membres du socle familial qui craque; turn bull, syndrome karoshi, on pète les plombs, le cerveau explose, le disque dur ne répond plus; il faut attendre une nouvelle neurogénès pour réparer les dégats; ce qui arrive au couple, à l’individu, à une famille est la caricature de la société: explosion des jeux , 3 milliards pour le PMU, 4 milliards pour le Loto, casino, drogues, le cannabis et la cocaine génère des milliards d’euros de profits recyclés dans les paradis fiscaux et l’immobilier; la prostitution, le sexe, les divertissements ( LAS VEGAS !!), les médicaments, les maladies, les cancers, les maladies cardio-vasculaires, neurodégénératives, articulaires, les accidents, les fractures, entorses; on dirait que cet ensemble pathogène de dépressions, de perversions, de déviations, d’accidents, de maladies, de maisons de retraite médicalisée où on entasse Alzheimer, démences séniles, handicapés , cet état très pessimiste, et réel de la société satisfasse tout le monde parce que tout est » business »; le groupe Korian est entré en bourse!!! il gère de nombreuses maisons de retraite. Alors on continue le business et on verse des larmes de crocodile à « Vivement Dimanche prochain . Il faut arrêter l’Hypocrisie; Les marchés, les notateurs, les investisseurs,les fonds de pension , les spéculateurs, les rentiers, les actionnaires, « LE POUVOIR MONDIAL » dénoncé par Danièle Mitterrand chez Drucker, les Bilbergers, les gens d’Otawa, arrêtez votre cirque; votre société est moche, inhumaine, inégale; en son Cécile de Rhodes avait voulu changer le système et çà n’avait pas plu au système très attaché à ses privilèges; manipulations, mensonges, religiosités, psychoses, divertissements, consommation, peurs, frustrations, adoubements, pénitences, génuflexions , formatages, conditionnements sont les apprentissages du « monstre doux »; à nous de s’y opposer et de démontrer qu’une nouvelle approche de la vie est possible et ceci commence par apprendre et comprendre autrement. BF.

Apprendre à être autre.

Classé dans : Non classé — bernardfanton @ 8:51

Du dernier article ressort cete nécessité de changer, d’être autre; ce changement est obligatoire pour la plupart d’entre nous, puisque nos éducations occidentales nous enchaînent dans un triple processus spirituel, matériel et psychologique de l’inconscient; ceux qui ont la chance d’éveiller une conscience libre, pure, altruiste, fraternelle, solidaire d’emblée sont des êtres rares; pour changer , soit la raison, la foi,pevent éveiller cette conscience enfouie par nos chaînes égoistes; les individualités formatées au mariage, au bonheur social, à la réussite matérielle vont dans leur majorité subir les aléas de la vie: chocs , accidents, maladies, échecs matériels, chômage, etc.. quand l’ascenseur social est en panne, lorsque les licenciements arrivent aux cadres, la chute est d’autant brutale; la notion de résilience prend toute sa valeur; encore faut-il relativiser et l’enseignement,les connaissances , la raison permettent une renaissance; tout connaître, être curieux de tout et c’est à ce moment là que tout prend une signification; « TOUT EST DANS TOUT »; c’est en fait mathématique; l’abstraction de la loi des ensembles devient objective et prend toute sa signification et son sens; la symbiose ou intégration chimérique  de sous-ensembles biologiques (Intégration de virus ARN , puis ADN à la base des des cellules eucaryotes, bactéries intégrées à la base des mitochondries etc ..), les théories du chaos, les fractales de Mandelbrot, le système quantique, la théorie des cordes, les espaces à  11 ou 12 dimensions enrouléees sur elles-même, les études des insectes sociaux, les systèmes complexes, les mystères des chiffres, des lettres, de l’alphabet, les formes , les formalités causatives de Rupert Shelldrake, les sons, les couleurs, l’esprit du tableau, de la ruche, les études philosophiques, les théoriciens en tout genre, les discrets,les chercheurs, les inventeurs, les démocrates etc..toutes ces matières doivent être apprises en commençant jeune par des jeux, des cercles  des mandalas, des cartes, des symboles, des peintures, de la musique, des lettres et des chiffres restant symboliques; la comptabilité plus tard; on ne peut comprendre sans apprendre; mes 34 auteurs structurants et tous les autres, çà continue et çà change encore,( voir la néoangiogénèse et la relation esprit-amour; )m’ont apporté un schéma que je propose comme alternatif à la pensée dominante des classes et castes dominantes; méritocratie, ascension sociale, travail, disponibilité resteront des valeurs sûres; la famille, un cadre pourvu qu’il soit féminin; la sensation d’une trinité biologique en soi avec une âme féminine au centre ( réfugjée  dans la glande pinéale, centre de la 1ère cellule souche, et des cellules souches hiérarchisées, centre qu’avais déjà évoqué Descartes), et un corps multiple révélateur des pensées positives ou négatives par le système souffrance-ignorance-connaissance, et un esprit neutre émergée, si le cerveau n’est pas un centre trop puissant, si l’inconscient introverti ne fige pas l’individu dans une recherche permanente d’un soi égoiste; alors cette perception d’une trinité normale, saine, débarrassée de ses chaînes, sera une réalité; mais la recherche, l’apprentissage ne fait que commencer, puisque comprendre, oser, vouloir, se taire et aimer de façon 7 fois différentes  , est la suite logique de la vie.BF;.

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